Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 19:36

Je prends souvent le bateau de nuit pour me rendre en Angleterre. Je pars du Havre et arrive à Southampton. Quoi, direz-vous, alors qu'on peut aller là-bas en moins de trois heures par Eurostar ! Mais pour des tas de raisons, trop longues à expliquer ici, j'ai choisi le ferry. La semaine dernière, vers les dix heures du soir, je décide à prendre un dernier verre au bar avant d'aller me coucher. Je m'installe à une table et je parcours mon journal….
Peu à peu la bar se remplit, si bien que, quand il n'y a plus beaucoup de places libres, trois filles s'approchent et me demandent si elles peuvent s'installer à ma table.


” Pas de problème, bien sûr “, je réponds et je me replonge dans mon journal.
D'une oreille distraite, je les entends parler d'elles ; elles sont étudiantes et vont faire un séjour linguistique en Angleterre. A un moment, l'une d'elles laisse tomber un petit sac. Je le ramasse rapidement et le lui tends. Remerciements, échange de quelques paroles banales. Finalement, me voici intégré à leur petit groupe et nous bavardons quelques minutes.


J'en profite pour les détailler un peu. Il y a une petite blonde aux cheveux bouclés, l'air sympa. Bientôt j'apprendrai qu'elle se nomme Christine. Puis vient Tania, blonde aussi, mais plus boulotte, s'amusant de tout et riant fort. La dernière, Julie, est une belle plante, châtain, drôlement bien faite. Je remarque ses seins qui tendent son chemisier et je me dis que j'aimerais bien les avoir dans la main…


Soudain, un haut-parleur annonce que le bar va fermer et invite les consommateurs à se diriger vers un autre bar qui reste ouvert toute la nuit. Je vois les trois filles se concerter rapidement, sans doute pour savoir si elles vont y aller, et quand j'annonce que je vais en profiter pour rejoindre ma cabine, Tania me propose un dernier verre “Vite fait “, ajoute-t-elle, dans leur cabine. D'accord ! Je les suis.


J'entre dans la cabine. Tous ceux qui fréquentent les ferries de nuit connaissent la cabine standard : quatre couchettes, deux à droite l'une au dessus de l'autre et la même disposition de l'autre côté d'un étroit passage. Au fond une porte donne accès à une minuscule salle de bain. On me fait signe de m'asseoir sur le bord d'une couchette, et une fille se met de chaque côté pendant que la troisième doit rester debout, faute de sièges et de place. Nous mettons à l'aise, j'enlève ma veste tellement il faut chaud, pendant que Tania plonge dans un sac pour en servir des bouteilles de soda. Nous échangeons encore quelques mots quand - est-ce le tangage?- Christine est précipitée contre moi. Sa poitrine heurte mon visage et je sens ses seins s'écraser sur mes joues. Il me semble qu'elle tarde un peu à se relever en se frottant trop ostensiblement sur moi, mais ce n'est peut-être qu'une impression. Sans chercher à s'excuser et sans avoir l'air gênée, elle éclate de rire et me dit :
“Ca t'a plu ? Ils sont comment, mes seins ? On pourrait s'amuser un peu ensemble ? ”


Bien entendu, je comprends à quoi elle m'invite et je réponds que j'aimerais bien mais que je dois aller me coucher, ayant une journée chargée en vue. J'ai à peine fini ma phrase que Christine se penche vers moi et m'embrasse: sa langue cherche à s'insinuer dans ma bouche et à se mêler à la mienne. J'essaie de protester que je ne peux pas, que je dois partir, mais je ne dois pas être très convaincant. Elle continue son baiser qui devient plus passionné et plus ardent et me serre dans ses bras. Je commence à peser le pour et le contre, à me dire que j'ai une occasion qui s'offre à moi quand la lampe s'éteint brusquement, laissant la cabine à peine éclairée par une lumière qui vient de le petite salle de bain. Les deux autres filles de jettent sur moi de tout leur poids et m'allongent , presque de force, sur la couchette. Dans la lutte qui s'engage, je sens tout de suite qu'il ne s'agit pas d'une véritable agression, car, bien que je ne parvienne pas à me dégager, elles ne cherchent pas à me faire mal. Au contraire, des mains parcourent mon corps, m'écartent les jambes et s'attardent entre elles, pendant qu'une langue fouille ma bouche. Un corps qui pèse sur moi m'empêche de remuer les bras.


Soudain, tout bascule, j'ai l'impression de tomber dans l'horreur : j'entends un bruit métallique, je sens deux bracelets d'acier se refermer sur mes poignets. Je lutte un instant pour me dégager, mais avant que je puisse le faire, les menottes sont attachées aux montants de la couchette et je me retrouve prisonnier. Je hurle :
” Ca ne va pas ? Qu'est-ce que vous voulez ?”


Tania me dit : ” Ne bouge pas, n'aie pas peur, c'est pour ton plaisir, tu vas voir.”
En même temps , on me met un bâillon, si bien que je ne peux plus protester et crier. Une main me caresse doucement le sexe à travers mon pantalon. Encore quelques secondes pendant lesquelles j'essaie de me décider : vais-je me débattre, essayer d'appeler au secours, crier à l'enlèvement ou au viol ? Les caresses sur mon sexe se font plus insistantes. Peut-être n'est-ce pas un enlèvement mais une mise en scène sexuelle ? Vais-je me prêter de bon cœur à une aventure si inattendue ?

Tania et Christine m'abandonnent un instant, me confiant aux mains expertes de Julie qui glissent sur tout mon corps. Je vois les deux filles se dévêtir rapidement ; deux paires de seins se balancent juste devant les yeux ; puis deux minous, l'un complètement rasé, l'autre étalant toute sa fourrure, s'exhibent devant moi. Julie détache ma ceinture, ouvre mon pantalon , et sa main, passant dans mon caleçon, me masse les couilles et cherche à branler ma queue de plus en plus raide. Elle me demande de me soulever un peu pour qu'elle finir de baisser mes vêtements, ce que je fais. Ensuite, elle s'accroupit entre mes jambes et me lèche les couilles tout en continuant à me branler. Puis sa langue monte toute la langueur de ma queue, s'attarde longuement sur le gland ; enfin sa bouche s'ouvre et elle avale tout mon membre dressé, palpitant et déjà mouillé. Je laisse échapper un grognement de plaisir qui montre à quel point j'apprécie l'attention dont je suis le centre. Ma queue grandit et durcit encore à chaque coup de langue. Julie m'avale si profondément que je sens le fond de sa gorge. Julie est une bonne pipeuse qui me suce avec art. Elle laisse doucement sortir ma queue de sa bouche, tout en gardant le bout entre ses lèvres, et lentement elle redescend. Elle accélère peu à peu, inexorablement, pendant que ses mains caressent mes couilles ou qu'un doigt s'égare par moments sur mon anus et sans le pénétrer fait mine de me violer l'œillet. Ca m'excite fortement, j'ai envie que ça ne s'arrête jamais. La bouche et les lèvres de Julie travaillent sur toute la longueur de ma queue. Je commence à tressaillir, mon ventre est parcouru de frissons, je suis prêt à éclater dans sa bouche. Julie sent venir la décharge, elle s'arrête, se retire de ma bouche et me laisse la queue tendue, palpitante et brûlante.


” Pas encore ! ” me dit-elle doucement.

Elle me quitte, et va allumer la lumière principale. Allongées sur la couchette, Tania et Christine sont en position de 69. Tania est sur le dessus, a quatre pattes, et ses seins se balancent doucement sur le ventre de Christine. J'aime voir ces seins qui frôlent l'abdomen de Christine, ça m'excite particulièrement. Christine se tortille comme un serpent quand la tête qui s'agite sur son bas ventre décrit des cercles en léchant les lèvres et la fente humide. J'entends Christine feuler chaque fois que la langue s'enfonce dans sa chatte. De son côté Christine donne du bon temps à Tania. Elle caresse sa vulve : je n'en ai jamais vu qui soit aussi gonflée que celle-ci. Son clitoris est énorme, et chaque manipulation que Christine fait déclenche des cris qui doivent résonner dans tout le bateau. Ses mains enserrent les hanches de Tania et parfois une main caresse doucement ses fesses et va parfois appuyer sur l'anus. Sous cette caresse, la dos de Tania s'arque encore plus, comme si elle voulait engloutir ce doigt au fond d'elle même. Puis Christine se penche davantage et sa langue vient maintenant titiller, sucer, lécher, aspirer, explorer tous les recoins du sexe de Tania. Je vois sa langue entrer en elle, et ressortir chargée de jus, puis parcourir la fente et s'enrouler autour du clitoris. Tout cela tire de Tania des soupirs, son souffle est court, son corps se cambre sous les caresses, et voilà qu'elle jouit avec force, les jambes serrées, qui écrasent presque Christine. Et quand son cri, celui d'un animal, s'éteint, elle reste pantelante, en sueur, effondrée sur le corps de sa partenaire.


Un tel spectacle me fait bander de plus belle, mon sexe est congestionné, à travers mon bâillon, je demande avec insistance qu'on vienne s'en occuper, puis que mes mains menotées doivent rester inactives. Une fois de plus la lumière principale de la cabine s'éteint, nous laissant dans la pénombre. Tania s'approche alors de moi en disant :
” Laisse-toi faire. Tu vas avoir le petit plaisir que tu attends. “


Elle entoure ma tête de ses bras et brusquement me pose un bandeau sur les yeux. Quelques secondes s'écoulent. Silence. Rien ne se passe. Aussitôt je sursaute quand des doigts me frôlent partout, tirent sur la pointe de mes seins, descendent sur mon ventre mais contournent mon sexe dressé avant de passer entre mes cuisses. Un souffle chaud sur ma queue, une bouche qui l'avale et qui va et vient sur un rythme lent.
Brusquement, plus rien, et aussitôt après une autre bouche, plus petite, enserre mon gland et l'affole de mille petits coups. Mon ventre est prêt à exploser quand tout cesse encore une fois. Une sensation bizarre…. Des cheveux qui balaient mon corps, mille petites chatouilles qui déclenchent mille frissons.
Plus rien encore.


Le bruit du zip d'un sac qu'on ouvre, de l'eau qui coule, d'autres bruits que je ne peux pas identifier.
” Allonge-toi .” Je m'exécute. ” Ne bouge surtout pas. “
Une main attrape doucement mon sexe et le redresse bien droit. En même temps je sens quelque chose de doux, humide, crémeux qui se répand autour de ce mât dressé et qu'on applique d'un léger coup de main. Un peu affolé je voudrais demander ce qui se passe, ce qu'on me fait. Une peur me saisit à nouveau, celle d'être tombé sur des folles qui vont me torturer puis me tuer. Je crie à travers le bâillon. Une voix me répond :
” Du calme, tu vas apprécier. Tous les hommes aiment ce traitement très particulier. Je vais te raser. “
Je comprends maintenant, l'eau, le gel qu'on étale … Cette main qui étale le gel fait un effet immédiat, en une fraction de seconde, je suis prêt à jouir, la queue tellement raidie qu'elle me fait mal. Déjà le rasoir commence à passer, je sens l'acier froid qui passe sur ma peau et Christine commente :
” Tu vois, il vaut mieux faire plusieurs passages en douceur, qu'un seul plus appuyé … Relaxe-toi et prend ton pied… Je pars de l'intérieur des cuisses pour remonter vers les couilles. “
Une main les soulève délicatement et elle frôle mon gourdin, ce qui me fait bander de plus belle et m'envoie des frissons agréables dans tout le ventre.
” La base de la queue voilà un endroit difficile… Il ne faut pas se tromper, un coup de rasoir trop appuyé et adieu coquette pour toujours. “
J'entends le rasoir filer sur les poils, un léger crissement, et je ressens un tiraillement tout aussi léger quand la lame mord dedans. Ceci s'ajoute à la situation extraordinaire dans laquelle je suis, menotté, bâillonné et aveuglé. Tout cela contribue à l'excitation folle qui s'est emparée de me moi avec toutes les caresses délicieuses que j'ai subies depuis que je suis rentré dans la cabine. Je sens mon sexe battre du même rythme que mon cœur, tendu, dur, dressé, impérieux et prêt à cracher toute sa charge trop longtemps retenue.
A un moment j'entends Christine dire :
“J'ai la chatte qui me démange en faisant ça…. Tania, viens me branler le bouton, s'il te plaît. “
Quelques secondes plus tard, j'entends la respiration de Christine s'accélérer et elle s'écrie :
” Plus fort, vas-y… oh oui ! mets un doigt dans mon trou… je vais jouir! “
Elle lève le rasoir et aussitôt je l'entends crier, un long cri fauve qui sort du fond d'elle même, pendant que sa main, qui tenait ma queue, se crispe, me serre avec violence et m'arrache un cri de douleur. Une autre main, plus petite, vient me caresser doucement comme pour me demander de pardonner et apaiser la douleur, puis j'entends Christine dire qu'elle a joui comme une salope, qu'elle est OK et qu'elle va reprendre le rasage…
Le fer du rasoir se fait plus doux quand il approche des couilles. Je sens la main, celle de Christine peut-être, qui me soulève doucement les couilles que le gel de rasage rend glissantes.
” Il faut faire attention quand on rase là, la peau est très plissée à cet endroit. “
Elle n'arrête pas de me soulever les couilles, de tirer doucement dessus… Quant à moi, je bande maintenant plus fort que jamais, je pousse des geignements chaque fois que la main touche ma queue en feu, mon cœur bat comme s'il allait exploser. ” Que vois-je là ? ” s'exclame mon figaro.
” Monsieur, prend son pied, voilà qu'il mouille de plus en plus. “
Ca ne m'étonne pas, avec toute la tension que j'ai dans mon sexe. Il est même plutôt étonnant que tout le paquet ne soit pas déjà parti d'un coup, je me dis.
Le rasoir s'arrête, une bouche chaude entoure ma queue, et je sens une langue qui recueille les gouttes et s'attarde sur l'arrière du gland, ce qui déclenche un nouvel orage de feu en moi… Le rasoir reprend sa course encore quelques secondes et j'entends Christine annoncer :
” Ca y est. Tes couilles sont douces comme du velours. Quelle belle queue tu as. Sans les poils elle est bien plus longue. Un bel épieu jouissif… Les filles, qui va se faire enfiler en premier ? “
Encore quelques manœuvres, je sens une serviette chaude qui vient entourer mon mât dressé, puis une main étale une crème avec une infinie douceur… et une grande lubricité.
Une main frôle ma tête et soudain mon bandeau tombe, me laissant un peu ébloui.
” Tu as été bien sage, je vais te libérer . “
Une seconde après, je vois Tania enlever mon bâillon, puis les menottes. Tout en me frottant les mains un peu engourdies, je regarde autour de moi, d'abord mon ventre… Ca me fait tout drôle, j'ai un ventre de pré-adolescent. Mais c'est vrai que sans les poils on dirait que je suis monté comme un cheval. Et tout le traitement délicieux que je viens d'avoir me fait bander comme de l'acier. Un regard sur les trois filles : elle sont nues, se caressent et s'embrassent. je vois même Julie qui fouille dans le sexe de Christine et la masturbe : ses doigts brillants, pleins de cyprine vont et viennent dans sa chatte. Tania a un godemiché dans la main et l'enfonce doucement dans Julie qui tend son ventre en avant pour mieux se faire pénétrer…
” Maintenant, “dit Christine, ” tu dois être prêt à exploser. Nous allons voir ça. Allonge-toi.”.

A peine suis-je allongé que Julie monte sur la couchette et vient se placer juste au dessus de ma queue. Lentement elle descend et d'une main place mon membre à l'entrée de sa chatte, et descend encore jusqu'à m'avaler en entier. C'est est trop : voici presque une heure qu'elles me taquinent et m'amènent au bord de l'explosion. Le contact du velours du vagin qui se serre autour de moi me fait partir sans que je puisse me retenir : mes couilles se contractent, je sens la semence les parcourir, monter dans le manche et jaillir avec force, inonder Julie, couler sur son ventre et entre ses cuisses. Ses deux copines se précipitent pour lécher mon sperme encore chaud, le laper jusqu'à la dernière goutte. Elles se jettent sur ma queue pour en pomper les ultimes gouttes, ce qui m'arrache des cris de jouissance. La bouche dégoulinante, les lèvres pleines de sperme qui retombe en longs filets, Christine vient m'embrasser, me donnant à goûter ma propre semence que je partage avec elle dans une étreinte passionnée . Quand nos bouches se séparent, un filet blanchâtre les unit encore une seconde avant de se déchirer… Très vite, je redeviens raide..

Julie m'enjambe en me tournant vers moi si bien que j'ai ses seins qui se balancent juste devant mes yeux, et à nouveau elle me chevauche. Son sexe vient s'empaler sur le mien , en me faisant crier de bonheur, quand je sens sa chaleur et sa douceur qui enserrent ma queue. C'est comme si elle avait une petit main dans sa chatte, qui saisirait ma queue et la branlerait, une main chaude, douce, crémeuse qui me caresse et dont les pulsations à chaque va-et-vient m'arrachent un gémissement de plaisir. Christine vient se placer accroupie à côté d'elle, saisit le godemiché que Tania lui tend et l'enfonce doucement dans l'anus de Julie..


“Pas besoin de lubrifier, elle est déjà pleine de jus!”.
L'engin étire lentement le trou, y pénètre, ressort, pénètre à nouveau, mais un peu plus loin cette fois. Le gode s'enfonce de plus en plus , arrachant à Julie des cris de douleur d'abord, mais rapidement de plaisir. Parfois, pour varier un peu Christine fait tourner le gode, de façon à donner à Julie de nouvelles sensations. Ainsi pénétrée devant et derrière, Julie se tortille dans tous les sens en criant, en gémissant, prête à jouir. C'est qu'en même temps, ma queue ne reste pas inactive dans ce fourreau et je baise au rythme du gode qui lui emplit le cul. Enfin, Tania monte sur la couchette, écarte ses jambes et s'accroupit au dessus de ma bouche, se baisse et j'ai une chatte chaude et humide qui se pose sur ma bouche. Je la lèche lentement avec de grands coups de langue qui couvrent toute la cramouille, puis j'enfonce ma langue dans sa fente et je fait des va-et-vient de plus en plus rapides. Je lui pelote les seins, je les malaxe, je les caresse, je les serre. Ils sont durs et je passe le doigt sur les mamelons gonflés et dressés; je les titille, je les excite. Je sens le jus de Tania qui se met à couler sur mes joues. En même temps, Tania commence à gémir et, brutalement, ses jambes se serrent autour de ma tête, tous ses muscles se tendent au point que j'ai du mal à respirer et elle gémit encore plus. Ca semble durer des heures avant qu'elle ne se relâche et que je puisse reprendre mon souffle..
La cabine est remplie de l'odeur musquée des chattes en chaleur et des jus qui en coulent..
Je ne vois pas ce qui se passe sur mon ventre, mais Julie est en pleine folie sexuelle. Le gode lui distend le cul, la défonce tandis que moi, je lui pistonne la chatte. Julie veut profiter du moindre centimètre de chair vivante qu'elle sent palpiter dans son con.
“Oui, baise-moi, plus fort. Vas plus profond. Ah! c'est bon. Elle est grosse et elle me défonce bien. Je sens ta bite qui remonte jusqu'au fond.”
J'ai la queue tendue, énorme, me semble-t-il, qui lui laboure la chatte. C'est une pénétration sauvage. Des frissons courent dans mes couilles, je les sens se contracter et je sais que mon foutre va exploser comme un fou. Je me déverse dans son vagin, un long jet interminable, encore, encore, longuement, comme si je n'avais pas déchargé depuis des semaines. La chatte que je remplis est agitée de spasmes, de contractions qui bloquent mon jet, ce qui prolonge et intensifie mon orgasme. Je dois avoir l'air tellement étrange que Christine me demande:.
“Ca va?”.


Je ne réponds pas , je me contente de geindre doucement, tout mon corps encore parcouru de tremblements, allongé sans réaction sur la couchette. Je sens mon sperme chaud qui recoule doucement du vagin et s'étale sur mes cuisses et sur mon ventre..
C'est alors que Julie jouit à son tour, un long feulement. Elle me griffe les bras, des grognements accompagnés de spasmes qui traversent tout son corps, serrent de plus belle ma queue encore enfoncée dans elle.
“Je n'ai jamais joui comme ça!”, s'exclame-t-elle. “Dans la chatte et dans le cul en même temps, c'est du feu que vous y avez mis”.


La nuit est déjà avancée, je me sens bien, calme et repu, mes ardeurs sont émoussées. Mes les filles n'en ont encore pas eu assez. Reprenant peu à peu mes esprits et ma force, allongé sur la couchette, je les vois s'engager dans une partouze lesbienne. Sans sembler d'occuper de moi, elles se sucent les seins, se frottent les unes contre les autres et leurs mamelons sont droits et d'un rose foncé qui montre à quel point ils sont engorgés. Elles se lèchent sur tout le corps en poussant de petits cris de plaisir, se mangent goulûment la chatte..
Christine est sur la couchette, à côté de loi, en train de se masturber. Elle sait qu'il faut alterner les caresses délicates du clito et les coups pistons au plus profond de la chatte. Les jambes écartées pour se donner un meilleur accès à sa fente, ses doigts s'enfoncent dans sa moule. Ils en ressortent luisants de sa mouille et, poussant de petits cris, elle cherche son clito qu'elle enduit de mouille et qui durcit dès qu'un doigt commence à le frôler. Les reins cambrés, tout son corps tressaille à chaque fois qu'elle touche son clito en feu. Elle va de plus en plus vite, je vois ses yeux se fermer, j'entends sa respiration s'accélérer..
” Ahhh ! Je vais jouir!”.

Sa chatte est luisante de mouille, elle se frotte le clito sans ménagement pendant que l'autre main s'enfonce presque toute entière dans sa chatte béante. .
J'approche une main des ses seins : les mamelons sont aussi durs qu'un rocher. Une brève caresse suffit, ce contact déclenche son orgasme. Elle crie, un cri profond qui vient du fond de son ventre, un cri intense que modulent les spasmes orgasmiques qui courent dans tout son corps et le secouent pendant plus d'une minute. Tout en regardant Christine s'envoyer en l'air, je n'ai pas manqué le spectacle qu'offre les deux autres filles en train de se gouiner. Tania et Julie sont l'une sur l'autre, Tania lèche le clito de sa copine, lui donne de petits coups de langue ou bien tourne rapidement autour et Julie, pour répondre, tend le ventre vers cette bouche. Puis Tania descend vers la fente gonflée de Julie qui s'entrouvre sous la pression de langue , si bien que celle-ci s'enfonce facilement dans la fente rose. J'entends Julie geindre et dire:.
“Vas-y, bouffe-moi la chatte, rentre dedans… Fais-moi jouir.”.
Parfois Tania cesse la pénétration un instant et sa langue s'égare sur tout le ventre de Julie, du clitoris jusqu'à l'anus dans une lente caresse. Puis elle revient dans le tunnel, la langue tendue pour pénétrer plus loin tandis que Julie avance les hanches et ouvre largement les jambes pour mieux se faire baiser. Quand elle geint de plaisir à nouveau, Tania ajoute un doigt à la langue qui sonde et excite la chatte de Julie. La main de Tania va de plus en plus vite, le pouce frotte doucement sur l'anus, un autre doigt titille le clitoris, la langue au milieu, pointue, dure qui s'active dans la fente. Quand je vois Julie qui serre convulsivement les jambes plusieurs fois, je comprend que ça ne va pas être long. Soudain, ses reins se cambrent, ses cuisses se serrent emprisonnant la main qui la pénètre, sa respiration s'arrête, un long gémissement sort de ses lèvres. Fatigué et vidé, je l'étais avant cette déferlante de jouissance, mais après avoir vu ces filles prendre leur pied, mon membre s'est redressé et a repris vie..
Christine se tourne vers moi et me dit:.
” Je vais te redonner des forces, tu vas en avoir besoin.”
Elle me caresse lentement le dos et sa main descend sur mes fesses, passe entre elles avec insistance si bien que je sens la peau de mes couilles se tendre à chaque pression de la main. Puis elle me prend les couilles dans la main, les caresse, les cajole pendant que l'autre main me branle doucement. Quand elle sent mes hanches qui commencent à bouger au rythme de ses caresses, elle sait que je suis prêt et qu'elles peuvent extraire toute l'énergie qui me reste en passant le reste de la nuit à s'amuser avec moi.
“Prends-nous toutes les trois ensemble!”.
Les trois filles s'allongent en travers sur une couchette, les jambes pendants et largement écartées pour m'offrir leurs trois chattes à baiser. Je comprends que je dois passer de l'une à l'autre, m'enfoncer dans la première, m'activer quelques secondes avant de me retirer pour passer à la deuxième qui attend de recevoir ma queue, puis à la troisième avant de revenir à la première..
“Allez, viens!”.
Trois chattes gonflées de désir s'offrent à moi, celle de Tania cachée derrière sa toison blonde, celle de Christine, soigneusement rasée, comme une fillette pre-pubère, mais, comme je l'ai déjà vu, un appétit d'ogre, et la chatte de Julie encore dégoulinante de jus. Elles sont toutes si chaudes et si mouillées que je peux les enfiler sans autre préliminaires. C'est d'ailleurs ce qu'elles veulent, se faire baiser à couilles rabattues, se faire défoncer la chatte, se faire inonder de foutre chaude. Je m'approche de Tania, la queue en avant, et d'un seul coup je l'embroche, à fond, complètement, tout au fond si bien qu'elle ne peut retenir un petit cri. Je ressors et rendre dans elle à nouveau, de grands coups de boutoir qui font trembler ses seins. Mes couilles claquent sur ses fesse à chaque coup quand ma queue disparaît dans la chatte avant de réapparaître couverte de mouille.
Je me retire et m'enfonce aussitôt dans Christine, sans douceur, un coup de bite qui la fait tressaillir. Je la baise avec des coups rapides et profonds. Ca lui plaît, elle en redemande.
'”Oui, c'est bon comme ça! Défonce-moi! plus fort ! Plus fort !”.
Quant je passe à Julie, je vois que sa chatte est tellement béante que le gland de mon sexe n'a pas même besoin d'ouvrir les lèvres pour pouvoir rentrer. C'est presque comme si je pénétrais dans une caverne. Mais là, comme c'est chaud ! Elle est tellement en chaleur qu'elle me brûle la queue. je la besogne quelques coups puis retourne enfiler Tania. Les deux autres filles en profitent pour se gouiner, une main sur les seins, l'autre enfoncée dans la chatte..
Quand j'en ai fini ( provisoirement) avec Tania, je passe à la cramouille du milieu que je bourre de coups profonds qui font feuler Christine. En même temps, j'attrape le godemiché qui traîne sur la couchette et je l'enfonce dans le sexe de Julie.
C'est devenu une orgie folle, une démence sexuelle complète dans laquelle mon sexe n'est plus qu'un piston avec une seule utilité: baiser pour jouir, baiser pour jouir et jouir encore. Christine se tourne un peu vers Julie et lui caresse le bouton, engorgé, droit, raide comme une petite bite. Pilonnée par le gode qui lui met à vif tous les nerfs de sa moule et par les manipulations et les caresses du clito qui lui enflamment le ventre, Julie jouit, sans pouvoir se contrôler, elle éclate, le souffle coupé, le corps tordu par l'intensité du plaisir . Ses jambes battent l'air, ses muscles se tordent dans tout son ventre, et enfin, elle reste allongée, immobile, tout en gémissant encore de plaisir.

Je suis maintenant en train d'aller et venir dans Christine et j'y mets toute mon énergie. Mon ventre vient claquer sur sa chatte quand mon manche, dur comme un roc la pénètre jusqu'au fond. En même temps, je lui donne des tapes sur les fesses et elle crie:.
“Encore, encore, tape!”.
Je la frappe plus fort, ses fesses deviennent rouges tout en lui donnant de grands coups de bite, et elle aime ça! Ma main bien à plat claque sur ses fesses, tout son corps se contracte et elle explose dans un des paroxysmes d'orgasme les plus violents que j'aie jamais rencontrés.

Il y a encore Tania qui réclame sa jouissance. Pendant que je m'occupais de ses copines, elle n'a pas perdu son temps. Elle est train de se branler, deux ou trois doigts enfoncés dans sa chatte, des doigts gluants de son jus qui s'enfoncent et ressortent à toute vitesse. Julie est venue lui donner un coup de main, ou plus exactement des coups de langues sur les seins..
” Tourne-toi, je vais te prendre par derrière… Dans le cul..
Je m'écarte un peu, elle se tourne, se met à quatre pattes sur la couchette, puis pose le visage et les épaules sur le matelas, laissant son derrière bien en l'air. Le vois son visage de profil, transformé par le plaisir ; ses cheveux sont en désordre total, ses seins semblent écrasés sur le matelas si bien qu'ils débordent de chaque côté de son corps ; son joli petit cul pointe vers moi pour se faire pénétrer par ma queue bien gonflée. Julie passe un doigt sur son clitoris , doucement mais sans arrêter si bien que son ventre ne cesse pas non plus de s'agiter convulsivement..
Pour ma part, je plonge un doigt dans son vagin trempé de mouille pour le lubrifier et je le presse sur son anus..
” Ouiiii, ” rugit-elle..
J'enfonce mon doigt, juste d'une phalange, puis, lentement, un peu plus et je commence à aller et venir. Chacun de mes mouvements augmente ses convulsion et ses cris. Elle jouit non stop, tous les muscles de sont corps tendus par l'excitation . Mais je n'ai pas encore fini avec elle..
Je dis à Julie :.
” Branle-la dans le trou et sur le clito.”.
Je regarde un doigt, puis deux Julie qui vont et viennent dans la chatte luisante de mouille pendant que son pouce s'active sur le clitoris. On n'entend plus que le bruit caractéristique que fait une chatte bien trempée quand on va et vient dedans et Tania qui crie sa jouissance..
Maintenant je place mon manche sur son anus, et je commence à pousser. C'est un des moments que je préfère, quand mon gland cherche à ouvrir l'orifice - que ce soit celui d'une chatte ou d'un cul. C'est pour moi une sensation forte quand mon bout force le passage et que je le sens s'enfoncer, serré dans l'étui qu'il est en train de forcer. Tania crie plus fort, j'arrête deux ou trois secondes et je donne une nouvelle poussée. Une ou deux autres secondes, et encore une nouvelle poussée, et à chaque fois, je m'enfonce un peu plus dans Tania. Bientôt, je peux aller et venir et, sans essayer d'être doux, je la baise à fond, aussi fort que je peux, comme si ça devait être la dernière fois de ma vie. Tania, de son côté, pousse aussi fort qu'elle peut pour mieux recevoir et sentir mon épieu qui la défonce. Christine s'est approchée pour mieux jouir du spectacle et pendant que Julie lui branle le con comme une folle. Tania a du mal à respirer tellement elle est tendue par les vagues d'orgasme qui la traversent et ses cris sont de plus en plus fort..
Encore quelques coups et je sais que je vais jouir, je commence à gémir moi aussi si bien que les filles comprennent que j'ai presque fini. Alors Christine me dit :.
” Finis dans ma bouche.”.
Une bonne idée ! Je m'arrache du cul de Tania, la laissant aux mains expertes de Julie qui va la faire feuler encore de longues minutes, et j'enfile ma queue dans la bouche chaude de Christine. J'ai juste le temps d'enfoncer mon mandrin palpitant avant de cracher ma sauce dans sa bouche dans un des meilleurs orgasmes de ma vie. Je baise Christine dans la bouche encore et encore, elle suce et me boit jusqu'à la dernière goutte, pendant que des traînées de foutre lui coulent des lèvres. Epuisé, haletant, je reste ainsi dans sa bouche quelques minutes jusqu'à ce que ma queue devienne molle.


La nuit est déjà bien avancée, nous sommes tous fatigués après cette baise mémorable.

Nous sommes restés ensemble jusqu'à ce que le bateau arrive au port, mais sans faire grand chose autre que quelques caresses. J'ai quand même eu droit à une belle pipe que m'a faite Julie et les deux autres filles ont encore trouvé le temps et la force de se faire orgasmer une fois de plus..


Inutile de vous dire que je n'étais pas vraiment en forme le lendemain matin pour aller à mon rendez-vous de travail ! Et mes trois copines ? On se voit aussi souvent qu'on le peut et, croyez-moi, à chaque fois, on s'envoie en l'air fabuleusement des nuits entières.



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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