Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 23:56

J’ai 25 ans et depuis quelques temps, j’ai compris qu’au fond de moi je suis la pire des salopes. Epouse d’un jeune entrepreneur du bâtiment, je profite des absences de mon mari, en visite sur les chantiers de l’entreprise pour me livrer tout entière aux assauts des ouvriers demeurés à l’atelier. Sitôt la grosse berline allemande de mon époux disparue au bout de la rue, je file dans les locaux techniques de la boite pour y retrouver Manuel, Carlos et Philippe, qui m’attendent de pied ferme. Ces salopards savent bien que le feu qui me brûle le cul doit être éteint sans tarder, sous peine de me mettre de mauvaise humeur pour la journée!


Aujourd’hui, les trois obsédés m’ont réservé une petite surprise. Ils ont fait venir dans leur petit local la dernière recrue de l’entreprise, une jeune stagiaire envoyée par l’ANPE de la commune pour suivre une formation en secrétariat. A tout juste 18 ans, Olivia, est une petite rousse piquante qui n’est jamais en reste quand il s’agit de s’amuser. Bien que purement hétérosexuelle pour ma part, je la trouve charmante et pour tout dire assez excitante. Il faut reconnaître qu’elle fait tout pour aguicher les ouvriers depuis sa venue et que ses tenues n’ont rien de sage. Elle porte aujourd’hui un petit short rouge qui laisse presque apparaître la naissance de ses fesses au-dessus de fort jolies cuisses. Ou plutôt ” elle portait un petit short “.


A mon entrée dans l’atelier, je découvre en effet la petite traînée, totalement nue, occupée à sucer la bite tendue de Carlos, les deux autres ouvriers serrés dans ses mains. Les vicieux l’ont à demi-couchée sur un établi et profitent des caresses buccales et manuelles qu’elle prodigue courtoisement à leurs membres bandés. En me voyant entrer, Carlos s’adresse à moi :

- Bonjour patronne ! On n’a pas pu attendre ce matin. Alors la petite s’est dévouée pour nous vider les couilles. Approchez donc et regardez comme elle suce bien ! C’est la reine des pipeuses, une vraie pompe à bite. Elle a déjà tiré le jus de mes potes et elle a tout avalé à chaque fois. Une vraie gourmande je vous dis !


A demi-étonnée seulement, je m’approche du quatuor lubrique et commence à ressentir un émoi intense au fond de mon slip. Il faut dire que la scène ne manque pas de sel. Tout à leur plaisir, les deux ouvriers masturbés restent sans voix, laissant seulement échapper de rauques gémissements de temps à autre. Ils sentent monter dans leurs pieux de chair le plaisir qui va les emporter une seconde fois. Il faut que j’intervienne.

- Olivia, faites-moi une place sur l’établi à vos côtés et lâchez ses bites immédiatement ! Vous pouvez garder Carlos dans la bouche si vous voulez. Je sais qu’il est endurant.


Au ton de ma voix, elle comprend que je ne plaisante pas. Je suis tout de même la patronne.

Au grand dam de ses partenaires, elle cesse donc de caresser les bites. Le désarroi de Manuel et Philippe sera de courte durée. Je m’installe aux côtés de la jeune stagiaire, sur le ventre moi aussi, la jupe remontée sur le dos et la culotte à mes pieds. Je l’invite à laisser glisser ses jambes le long du meuble pour les poser sur le sol de bois, jonché de sciure. Elle obéit sans un mot.


- Maintenant, venez derrière nous et coincez vos queues de salopards dans nos chattes, ce sera bien mieux que les mains de cette traînée. Elle va continuer à sucer le dard de Carlos pour le moment, mais il faudra qu’elle me laisse son jus. Je n’ai pas encore eu ma dose, moi !


Les deux queutards ne se font pas prier. Déjà, je sens glisser sur mon petit abricot rasé le bout du gland de Philippe. Le vicieux cherche à badigeonner ma fente tout entière avec la mouille que je commence à sécréter. Son nœud, bien lubrifié grâce aux manipulations d’Olivia coulisse sur le sillon rose de ma chatte. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent peu à peu sous la divine caresse. Je suis certaine que ce cochon fait durer le plaisir pour mieux me préparer à jouir. Je sens ma vulve qui s’écarte doucement pour laisser entrer l’engin qui va me bourrer à fond d’ici peu. Philippe est le mieux membré des trois ouvriers. L’autre jour, quand il m’a fourré sa queue tout au fond du cul, j’ai joui comme jamais. Mon petit trou s’en souvient encore. Aujourd’hui, il va falloir qu’il se contente de ma moule.

Je ne vois pas les gestes de Manuel dans le dos d’Olivia, mais à la manière dont la jeune salope ahane maintenant tout en suçant la tige de Carlos sous mes yeux, je comprends qu’elle apprécie à sa juste valeur le traitement que l’ouvrier inflige à son ventre. Manuel est le plus jeune des trois étalons, c’est aussi le plus impulsif. Je sais qu’il est logé dans la chatte d’Olivia depuis un moment déjà. Aux mouvements de l’établi sous moi, je peux l’imaginer en train de bourrer la stagiaire embrochée.


Ca y est, Philippe est lui aussi entièrement fiché en moi ! Son gros gland baveux est planté dans ma moule, son pieu noueux dilate mes chairs. Il est vraiment gros, très gros. Je pense que la situation l’excite également beaucoup et que ça se ressent sur l’intensité de son érection. Je ne l’ai jamais senti combler mon ventre avec autant de vigueur. Il emplit tout mon orifice et entame un va-et-vient qui s’annonce prometteur. A chaque mouvement de sa queue dans mon trou, il m’arrache déjà un petit soupir. Pourtant, je ne suis pas encore au point de non-retour atteint par ma voisine.


Les cris d’Olivia, à moitié étouffés par l’engin qui lui obstrue la bouche, peinent à emplir l’atelier mais laissent aisément deviner quel est l’état de la petite salope. J’entends distinctement le chuintement du sexe de Manuel qui coulisse dans ses entrailles. L’ouvrier, lui aussi, exprime son plaisir en gémissant bruyamment. Pourtant, c’est d’ordinaire un gars plutôt discret Manuel, pas vraiment le genre démonstratif. Quand je le fais jouir avec mon cul, ma chatte ou ma bouche, il sait rester digne et se laisse rarement aller aux sentiments.


Carlos a pris la tête d’Olivia à pleines mains et lui fourre la bouche à grands coups de reins. Quelle endurance ce Carlos ! D’ailleurs, c’est simple, il est aussi endurant que Philippe est bien membré, c’est tout dire. Il lui est arrivé de me pilonner la vulve pendant plus d’une demi-heure sans juter. Les autres étaient verts de jalousie, eux qui peinent à me limer durant plus de quelques minutes. Ca doit bien faire un quart d’heure qu’il profite de la bouche distendue de la secrétaire et il n’a toujours pas lâché son foutre. Et dire qu’en plus de ça, il peut remettre le couvert plus de trois ou quatre fois d’affilée ! Un bel étalon en vérité.


Philippe me trique toujours aussi délicatement. La taille de sa queue dans ma grotte ne facilite pas les grandes envolées. Il est serré par l’anneau de chairs qui l’accueille. Je ne suis pourtant pas particulièrement étroite. Du moins, mon trou est devenu beaucoup plus accueillant depuis qu’il subit quotidiennement les exercices que lui imposent les ouvriers pervers. On s’habitue à tout. D’ailleurs, je ne suis pas certaine que Philippe se plaigne d’être trop serré dans mon conduit vaginal. Bien au contraire, il a l’air d’apprécier l’étroitesse de la porte, tout comme il a adoré me limer le cul l’autre jour. Je sens son gland gonflé qui bute au fond de ma chatte, de plus en plus rapidement, à mesure que l’espace se conforme aux dimensions de sa queue.


Carlos vient de sortir d’Olivia. C’est le signe que sa jouissance approche. Il n’a pas oublié qu’il doit me réserver les longues giclées de foutre que sa queue va expulser tout à l’heure. Des ouvriers comme ces trois là, on n’en fait plus. Dévoués à leur patronne et toujours prêts à rendre service. Je suis gâtée.

La longue queue du Portugais vient cogner contre mes lèvres, qui s’ouvrent avec empressement pour accueillir le membre, luisant de la bave d’Olivia. C’est à mon tour d’être embrochée, par-devant et par-derrière. Une bite courte et épaisse dans la vulve, une tige longue et fine dans la bouche, je suis comblée par mes amants.

A ma gauche, Olivia peut enfin laisser libre cours à son plaisir. L’atelier résonne maintenant de ses cris. A chaque fois que le ventre de Manuel vient buter sur son cul elle lâche des mots trop longtemps retenus :

- Oh oui, salaud ! Tu me tringles bien. Bourre, bourre encore, remplis-moi le trou ! Je suis un garage à bites. Viens, viens ! Pine-moi à fond, je suis ton trou, rien qu’à toi.


Ces mots crus dans la bouche de la jeune stagiaire ont pour effet immédiat de décupler notre ardeur à tous. Philippe se fait plus violent dans mon ventre, Carlos plus gros dans ma bouche et Manuel pilonne encore plus fort la vulve d’Olivia. L’établi est secoué de toutes parts. Le mouvement coordonné des trois ouvriers nous donne l’impression de naviguer sur un océan déchaîné par le désir de jouir.


C’est Manuel qui donne le signal du plaisir. Pour une fois, il crie son extase quand il gicle au fond d’Olivia. Nous ne pouvons ignorer qu’il vient de la remplir de son jus. Les cris simultanés de la secrétaire nous le confirment. Philippe suit de près son camarade. Quand il jouit à son tour, je sens son nœud qui cogne de tous côtés contre les parois de mon vagin dans un mouvement désordonné. Sa semence vient s’écraser au fond de ma chatte à plusieurs reprises avec une violence inouïe, marquant le début de mon premier orgasme de la mâtinée.


Je suis complètement désarticulée sur le meuble, les jambes pantelantes, les bras ballants quand Carlos, à son tour, me lance dans la gorge de longues giclées de foutre brûlant. J’avale consciencieusement la sève qui commence à couler dans ma bouche, entre deux gémissements d’extase. Le liquide chaud s’écoule en moi tandis que je sens la bite de Philippe retrouver peu à peu des proportions plus normales dans ma fente.


La journée commence bien !



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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