Dimanche 7 décembre 7 07 /12 /Déc 18:47

Mandy est une jeune étudiante blondinette qui suit des cours particuliers avec Harry, un professeur de mathématiques quinquagénaire, pour améliorer ses résultats. Il faut dire qu’elle pense plus à la gaudriole qu’à potasser ses cours. Depuis qu’elle est entrée à l’université, elle ne fait pas vraiment d’étincelles, hormis dans les slips des garçons. Elle a découvert le sexe à peu près au moment où elle a quitté le domicile parental pour intégrer le campus d’une faculté prestigieuse. C’est devenu une vraie chaudasse qui a beaucoup de mal à passer une journée sans baiser. Son prof l’a compris et il ne voit pas bien pourquoi il ne pourrait pas en profiter lui aussi, malgré ses cinquante ans bien tassés. Pourquoi serait-il le seul homme de son entourage à ne pas bénéficier de ses faveurs ? Aujourd’hui, c’est décidé, il tente sa chance.


Quand Mandy entre chez lui, il ne lui laisse pas le temps de réagir. La dernière fois, il a bien senti qu’elle n’était pas totalement insensible à son charme. Il l’a testée et il sait bien qu’il ne prend pas beaucoup de risques. Au lieu de l’embrasser affectueusement sur la joue comme à son habitude, il pose ses lèvres de vieux pervers sur celles de Mandy et lui ouvre la bouche avec sa langue fureteuse. Comme il l’espérait, elle ne résiste pas. Elle en a sans doute autant envie que lui. Sinon, pourquoi aurait-elle enfilé une jupe aussi courte et un tee-shirt aussi moulant ?


L’étudiante vicieuse prend juste le temps de retirer la bandoulière de son sac de ses épaules et de jeter celui-ci dans un coin de la pièce. Déjà, le couple improbable se retrouve sur le lit du prof. Mandy est chaude, elle écarte les cuisses sans rechigner quand le vieux lui colle sa main entre les jambes, écartant les plis de sa jupe écossaise pour aller toucher son slip. L’homme est heureux de sentir sous ses doigts la motte rebondie et déjà un peu humide de la jeune fille. Il touche l’auréole de mouille qui s’étale sur le coton et dégage finalement la vulve trempée du slip qui la protégeait jusqu’alors. Du bout du pouce, il monte tout de suite en haut de la fente et masse un peu le clitoris de Mandy qu’il découvre bien décalotté. C’est gagné, l’étudiante gémit et halète.


Le prof de maths pousse son avantage. Il connaît son point fort, son incroyable jeu de langue. Il ôte rapidement ses vêtements, s’allonge sur le lit et, d’autorité, place la chatte de Mandy au-dessus de sa bouche. Elle ne s’est pas fait prier pour enjamber son visage et plaquer sa foune sur les lèvres du pervers. D’une main, celui-ci lui masse les nichons après avoir relevé son tee-shirt sur ses épaules. En appui sur ses genoux, l’étudiante savoure les sensations divines que lui procure le cunnilingus indécent. Peu à peu, elle se retourne pour redonner à son amant une partie du plaisir qu’il lui offre. En position de 69, les baiseurs se mangent mutuellement le sexe. Harry est au paradis quand il sent les lèvres humides de son élève entourer son gros gland rougi.

Mandy pompe avec agilité le manche de son compagnon.



Elle apprécie la vigueur et la taille de l’engin qui lui remplit les joues. Elle fait tout son possible pour satisfaire un homme qui pourrait être son père et ça l’excite gravement. Elle tète le chibre durant quelques minutes mais il lui en faut plus. C’est elle qui change de position pour donner le trou de son ventre à son vieux cochon préféré. Harry bande de plus belle en comprenant qu’il va enfin pouvoir l’enfiler comme il en rêve depuis si longtemps. Sa queue coulisse sans peine entre les lèvres de la chatte de Mandy. La fille relève les cuisses au maximum pour qu’il puisse la prendre bien à fond. Couché derrière elle, il la pilonne violemment tandis qu’elle se masse elle-même le clito pour ajouter à son plaisir.


 L’étudiante impudique n’en peut plus. Elle s’empale littéralement sur la pine du prof. Les bras en arrière, les pieds posés à plat, elle monte et descend sur le pieu de chair, gueulant son plaisir à chaque fois que le gland ultra-gonflé lui cogne au fond du vagin. Ses déhanchements ravissent Harry qui sent qu’il va avoir du mal à se contenir longtemps. Il ne veut pas décevoir sa maîtresse et prend l’initiative de changer de position. Il profite de ce court moment de répit pour se calmer un peu mais reprend son rythme dès qu’il se trouve débout derrière Mandy. La fille est à genoux sur le lit, lui, derrière, la prend en levrette. C’est là qu’il savoure pleinement sa victoire, quand il la tient par les hanches et laboure son ventre de femelle en chaleur.


Prudent, le vieux salaud sort un peu à regret du cocon chaleureux qui lui enserrait si bien la pine. Il se met devant la jeune salope et lui fourre à nouveau son phallus dans la bouche. Il va se finir dans sa gueule. Les yeux de Mandy pétillent d’excitation pendant qu’elle jouit. Elle sait ce qu’elle va prendre. Ca ne la dérange pas, elle a l’habitude d’avaler le foutre chaud de ses petits camarades.


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Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 23:56

J’ai 25 ans et depuis quelques temps, j’ai compris qu’au fond de moi je suis la pire des salopes. Epouse d’un jeune entrepreneur du bâtiment, je profite des absences de mon mari, en visite sur les chantiers de l’entreprise pour me livrer tout entière aux assauts des ouvriers demeurés à l’atelier. Sitôt la grosse berline allemande de mon époux disparue au bout de la rue, je file dans les locaux techniques de la boite pour y retrouver Manuel, Carlos et Philippe, qui m’attendent de pied ferme. Ces salopards savent bien que le feu qui me brûle le cul doit être éteint sans tarder, sous peine de me mettre de mauvaise humeur pour la journée!


Aujourd’hui, les trois obsédés m’ont réservé une petite surprise. Ils ont fait venir dans leur petit local la dernière recrue de l’entreprise, une jeune stagiaire envoyée par l’ANPE de la commune pour suivre une formation en secrétariat. A tout juste 18 ans, Olivia, est une petite rousse piquante qui n’est jamais en reste quand il s’agit de s’amuser. Bien que purement hétérosexuelle pour ma part, je la trouve charmante et pour tout dire assez excitante. Il faut reconnaître qu’elle fait tout pour aguicher les ouvriers depuis sa venue et que ses tenues n’ont rien de sage. Elle porte aujourd’hui un petit short rouge qui laisse presque apparaître la naissance de ses fesses au-dessus de fort jolies cuisses. Ou plutôt ” elle portait un petit short “.


A mon entrée dans l’atelier, je découvre en effet la petite traînée, totalement nue, occupée à sucer la bite tendue de Carlos, les deux autres ouvriers serrés dans ses mains. Les vicieux l’ont à demi-couchée sur un établi et profitent des caresses buccales et manuelles qu’elle prodigue courtoisement à leurs membres bandés. En me voyant entrer, Carlos s’adresse à moi :

- Bonjour patronne ! On n’a pas pu attendre ce matin. Alors la petite s’est dévouée pour nous vider les couilles. Approchez donc et regardez comme elle suce bien ! C’est la reine des pipeuses, une vraie pompe à bite. Elle a déjà tiré le jus de mes potes et elle a tout avalé à chaque fois. Une vraie gourmande je vous dis !


A demi-étonnée seulement, je m’approche du quatuor lubrique et commence à ressentir un émoi intense au fond de mon slip. Il faut dire que la scène ne manque pas de sel. Tout à leur plaisir, les deux ouvriers masturbés restent sans voix, laissant seulement échapper de rauques gémissements de temps à autre. Ils sentent monter dans leurs pieux de chair le plaisir qui va les emporter une seconde fois. Il faut que j’intervienne.

- Olivia, faites-moi une place sur l’établi à vos côtés et lâchez ses bites immédiatement ! Vous pouvez garder Carlos dans la bouche si vous voulez. Je sais qu’il est endurant.


Au ton de ma voix, elle comprend que je ne plaisante pas. Je suis tout de même la patronne.

Au grand dam de ses partenaires, elle cesse donc de caresser les bites. Le désarroi de Manuel et Philippe sera de courte durée. Je m’installe aux côtés de la jeune stagiaire, sur le ventre moi aussi, la jupe remontée sur le dos et la culotte à mes pieds. Je l’invite à laisser glisser ses jambes le long du meuble pour les poser sur le sol de bois, jonché de sciure. Elle obéit sans un mot.


- Maintenant, venez derrière nous et coincez vos queues de salopards dans nos chattes, ce sera bien mieux que les mains de cette traînée. Elle va continuer à sucer le dard de Carlos pour le moment, mais il faudra qu’elle me laisse son jus. Je n’ai pas encore eu ma dose, moi !


Les deux queutards ne se font pas prier. Déjà, je sens glisser sur mon petit abricot rasé le bout du gland de Philippe. Le vicieux cherche à badigeonner ma fente tout entière avec la mouille que je commence à sécréter. Son nœud, bien lubrifié grâce aux manipulations d’Olivia coulisse sur le sillon rose de ma chatte. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent peu à peu sous la divine caresse. Je suis certaine que ce cochon fait durer le plaisir pour mieux me préparer à jouir. Je sens ma vulve qui s’écarte doucement pour laisser entrer l’engin qui va me bourrer à fond d’ici peu. Philippe est le mieux membré des trois ouvriers. L’autre jour, quand il m’a fourré sa queue tout au fond du cul, j’ai joui comme jamais. Mon petit trou s’en souvient encore. Aujourd’hui, il va falloir qu’il se contente de ma moule.

Je ne vois pas les gestes de Manuel dans le dos d’Olivia, mais à la manière dont la jeune salope ahane maintenant tout en suçant la tige de Carlos sous mes yeux, je comprends qu’elle apprécie à sa juste valeur le traitement que l’ouvrier inflige à son ventre. Manuel est le plus jeune des trois étalons, c’est aussi le plus impulsif. Je sais qu’il est logé dans la chatte d’Olivia depuis un moment déjà. Aux mouvements de l’établi sous moi, je peux l’imaginer en train de bourrer la stagiaire embrochée.


Ca y est, Philippe est lui aussi entièrement fiché en moi ! Son gros gland baveux est planté dans ma moule, son pieu noueux dilate mes chairs. Il est vraiment gros, très gros. Je pense que la situation l’excite également beaucoup et que ça se ressent sur l’intensité de son érection. Je ne l’ai jamais senti combler mon ventre avec autant de vigueur. Il emplit tout mon orifice et entame un va-et-vient qui s’annonce prometteur. A chaque mouvement de sa queue dans mon trou, il m’arrache déjà un petit soupir. Pourtant, je ne suis pas encore au point de non-retour atteint par ma voisine.


Les cris d’Olivia, à moitié étouffés par l’engin qui lui obstrue la bouche, peinent à emplir l’atelier mais laissent aisément deviner quel est l’état de la petite salope. J’entends distinctement le chuintement du sexe de Manuel qui coulisse dans ses entrailles. L’ouvrier, lui aussi, exprime son plaisir en gémissant bruyamment. Pourtant, c’est d’ordinaire un gars plutôt discret Manuel, pas vraiment le genre démonstratif. Quand je le fais jouir avec mon cul, ma chatte ou ma bouche, il sait rester digne et se laisse rarement aller aux sentiments.


Carlos a pris la tête d’Olivia à pleines mains et lui fourre la bouche à grands coups de reins. Quelle endurance ce Carlos ! D’ailleurs, c’est simple, il est aussi endurant que Philippe est bien membré, c’est tout dire. Il lui est arrivé de me pilonner la vulve pendant plus d’une demi-heure sans juter. Les autres étaient verts de jalousie, eux qui peinent à me limer durant plus de quelques minutes. Ca doit bien faire un quart d’heure qu’il profite de la bouche distendue de la secrétaire et il n’a toujours pas lâché son foutre. Et dire qu’en plus de ça, il peut remettre le couvert plus de trois ou quatre fois d’affilée ! Un bel étalon en vérité.


Philippe me trique toujours aussi délicatement. La taille de sa queue dans ma grotte ne facilite pas les grandes envolées. Il est serré par l’anneau de chairs qui l’accueille. Je ne suis pourtant pas particulièrement étroite. Du moins, mon trou est devenu beaucoup plus accueillant depuis qu’il subit quotidiennement les exercices que lui imposent les ouvriers pervers. On s’habitue à tout. D’ailleurs, je ne suis pas certaine que Philippe se plaigne d’être trop serré dans mon conduit vaginal. Bien au contraire, il a l’air d’apprécier l’étroitesse de la porte, tout comme il a adoré me limer le cul l’autre jour. Je sens son gland gonflé qui bute au fond de ma chatte, de plus en plus rapidement, à mesure que l’espace se conforme aux dimensions de sa queue.


Carlos vient de sortir d’Olivia. C’est le signe que sa jouissance approche. Il n’a pas oublié qu’il doit me réserver les longues giclées de foutre que sa queue va expulser tout à l’heure. Des ouvriers comme ces trois là, on n’en fait plus. Dévoués à leur patronne et toujours prêts à rendre service. Je suis gâtée.

La longue queue du Portugais vient cogner contre mes lèvres, qui s’ouvrent avec empressement pour accueillir le membre, luisant de la bave d’Olivia. C’est à mon tour d’être embrochée, par-devant et par-derrière. Une bite courte et épaisse dans la vulve, une tige longue et fine dans la bouche, je suis comblée par mes amants.

A ma gauche, Olivia peut enfin laisser libre cours à son plaisir. L’atelier résonne maintenant de ses cris. A chaque fois que le ventre de Manuel vient buter sur son cul elle lâche des mots trop longtemps retenus :

- Oh oui, salaud ! Tu me tringles bien. Bourre, bourre encore, remplis-moi le trou ! Je suis un garage à bites. Viens, viens ! Pine-moi à fond, je suis ton trou, rien qu’à toi.


Ces mots crus dans la bouche de la jeune stagiaire ont pour effet immédiat de décupler notre ardeur à tous. Philippe se fait plus violent dans mon ventre, Carlos plus gros dans ma bouche et Manuel pilonne encore plus fort la vulve d’Olivia. L’établi est secoué de toutes parts. Le mouvement coordonné des trois ouvriers nous donne l’impression de naviguer sur un océan déchaîné par le désir de jouir.


C’est Manuel qui donne le signal du plaisir. Pour une fois, il crie son extase quand il gicle au fond d’Olivia. Nous ne pouvons ignorer qu’il vient de la remplir de son jus. Les cris simultanés de la secrétaire nous le confirment. Philippe suit de près son camarade. Quand il jouit à son tour, je sens son nœud qui cogne de tous côtés contre les parois de mon vagin dans un mouvement désordonné. Sa semence vient s’écraser au fond de ma chatte à plusieurs reprises avec une violence inouïe, marquant le début de mon premier orgasme de la mâtinée.


Je suis complètement désarticulée sur le meuble, les jambes pantelantes, les bras ballants quand Carlos, à son tour, me lance dans la gorge de longues giclées de foutre brûlant. J’avale consciencieusement la sève qui commence à couler dans ma bouche, entre deux gémissements d’extase. Le liquide chaud s’écoule en moi tandis que je sens la bite de Philippe retrouver peu à peu des proportions plus normales dans ma fente.


La journée commence bien !



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 16:42

Manuela est une bourgeoise riche et comblée si ce n'est au niveau sexe. Elle a épousé un riche industriel de Madrid de quinze ans son aîné. Elle a de beaux enfants et de nombreuses amies mais il lui manque quelque chose pour être heureuse et ce quelque chose c'est une bonne queue entre les cuisses… Rien qu'en pensant à la chose Manuela mouille sa culotte achetée dans un magasin de lingerie de luxe !

Elle a jusqu'à maintenant refusé de prendre un amant, son éducation la pousse à refuser l'idée… Mais tiendra t'elle encore longtemps ? Car son corps lui réclame de la luxure… Du plaisir… Oh bien sur il y a les masturbations, nombreuses… Mais cela ne fait que renforcer son imagination…


Un beau jour, Pédro, son mari lui annonce avoir engagé un jardinier et le lui présente. Il s'appelle Raoul : brun les cheveux mi longs, le regard noir, les muscles saillants… Un bel homme jeune et viril… Manuela est sous le charme…


Les semaines qui suivent sont pour la bourgeoises des semaines de voyeurisme intense : cachée derrière les rideaux de la villa, elle mate sans vergogne le bel éphèbe torse nu et en sueur travailler le jardin… Pendant ses longues séances d'observations, Manuela se touche le clitoris, elle s'envoie en l'air rien qu'en regardant travailler le jardinier !


La nuit elle en rêve, le jour elle n'attend qu'une chose le moment où Raoul embauche !

Une journée où la chaleur est écrasante tant au niveau de la météo que de l'entre cuisse de Manuela, la jeune dame décide d'apporter un rafraîchissement au jardinier. Elle s'est vêtue pour l'occasion d'une robe courte et légère cachant juste l'essentiel pour ne pas être indécente. Le jeune homme est contant de voir arriver Manuela avec un grand verre de jus de fruit frais. Il est aussi agréablement surpris par la beauté de la dame de maison qu'il avait eu peu l'occasion de voir jusqu'à présent.


Raoul la remercie et pour la remercier lui offre une rose qu'il vient de couper dans le jardin… La bourgeoise est complètement subjuguée et semble hypnotisé par les yeux du beau brun. Celui-ci s'apercevant du fait saisie l'aubaine au vol en enlaçant Manuela pour l'embrasser.


Les tabous de la dame tombent alors, cet homme est trop tentant, trop viril pour qu'elle résiste.

L'homme est entreprenant et sait y faire avec les femmes si bien que la riche propriétaire se laisse complètement aller à ses attouchements. Il lui palpe les seins, lui mordille les tétons, lui caresse le clitoris, lui enfonce quelques doigts dans la chatte… Puis dans l'anus… Manuela a la tête qui tourne, elle n'a jamais subit un assaut à la fois si subtil et si poussé ! Jamais par exemple on ne lui avait mit un doigt au cul… Mais que cela est bon… Que cela est vicieux… La caresse anale est si bien faite qu'elle en jouit une première fois.


Raoul arrache la robe de Manuela, il lui déchire la luxueuse culotte et ni une ni deux la saillie violemment… Sous la force du rut déchaîné de ce male, la bourgeoise jouit une seconde fois… Puis Raoul la penche sur la table de jardin et commence ses va et viens, ceux-ci vont durer longtemps, il la prend dans plusieurs positions qui donnent à la dame encore d'autres orgasmes… Elle ne les compte plus !


Pour finir l'orgie de sexe tant espéré, Manuela prend l'initiative de présenter son cul au jardinier, elle n'a jamais été enculée et en rêve pourtant souvent… L'homme ne se fait pas prier et encule avec vigueur une Manuela complètement déchaînée, elle a un orgasme immense, foudroyant… Elle éructe, crie et gémie… Elle griffe, frappe et ahane !


Raoul dans un soubresaut jouit en elle, il éjacule une dose importante de sperme dans son cul. La bourgeoise est aux anges, elle a à moitié perdu connaissance sous la force du coït !


Le jardinier, c'est sur, aura une augmentation pour le zèle dont il vient de faire preuve !



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 16:12

La chaleur étouffante avait paralysé tout mouvement dans la savane. Le soleil apposait un filtre jaunâtre au paysage fait d'herbes hautes et d'arbres épars. Me balançant mollement sur mon hamac, je somnolais à moitié et pensais à ce qui s'était passé dans ma vie ces derniers jours.


Médecin depuis une dizaine d'années, mon cabinet de généraliste ne désemplissait pas et je bénéficiais d'une bonne réputation au sein de la petite ville de Bretagne dans laquelle j'exerçais. Tout allais bien dans ma vie professionnelle, par contre dans ma vie privée, c'était le désert. Très pris d'abord par mes études, ensuite par mon travail, je n'avais pu garder les quelques conquêtes que j'avais fais durant toutes ces années.

A l'approche de la quarantaine, une remise en cause s'imposait dans ma vie. Il fallait que je bouge sinon j'allais finir par m'encroûter et vieillir prématurément.


Des amis, médecins comme moi avaient choisis une autre voie. Leur diplôme en poche, ils avaient rejoints médecins sans frontières et m'avaient souvent vantés leurs vies aventurières et passionnantes. Je pris, après avoir pesé le pour et le contre, la décision de suivre leur exemple et de postuler pour un poste au sein de l'organisation.

Quelques mois plus tard, me voici en poste au nord du Togo, près du parc national de la Kéran. Je dois visiter plusieurs petits villages pour faire un rapport sur l'état sanitaire des lieux. M'accompagnent dans ma mission : Samuel qui est en quelque sorte mon guide sur le terrain et Sifa une jeune femme du pays tout juste sortie de la fac de médecine qui devra à mon départ s'occuper de la population locale.


Sifa est une fille formidable, non seulement elle est merveilleusement belle, mais en plus de cela elle a un caractère enjoué et pétillant. Toujours le sourire aux lèvres, curieuse de tout, cette Togolaise est un vrai bonheur.

Les premiers jours ne furent pas faciles pour moi. Peu habitué à une telle chaleur, je fatiguais vite et était souvent désespéré par le peu de moyen à notre disposition pour intervenir médicalement. Heureusement Sifa, qui pourtant était moins expérimenté que moi, trouvait toujours une solution aux différents problèmes.


Malmené par les moustiques, ma peau me grattait et m'irritait. Gentiment, Sifa passait tous les soirs dans ma tente pour me passer un baume anti-moustiques qui m'apaisait. A chaque fois, au contact de ses doigts sur ma peau, j'avais du mal à contenir mon émotion et a son départ, seul dans mon lit de camp, je dois avouer que je me masturbais en pensant aux formes généreuses de son corps.


Les jours passants, une complicité naquis entre Sifa et moi. Moins fragile qu'au début, mon corps s'habituait aux rigueurs de la région et mon humeur s'en ressentait. Rigolant et nous amusant souvent ensemble, il me semblait rajeunir de quelques années. Tout les soir, Sifa continuait à me rendre visite sous la tente et tout les soirs, l'envie de la prendre dans mes bras se faisait plus pressente.


Le problème avec les filles pétillantes de vies comme elle, est qu'on ne sait jamais si il faut prendre ses taquineries et œillades au sérieux ! Se laissait elle draguer ou bien étais ce qu'une simple camaraderie ?

La situation devint plus claire pour moi le jour où nous nous sommes arrêté pour nous baigner dans un petit cour d'eau potable. Samuel resté au camion pour garder celui-ci, nous n'étions que tout les deux pour la baignade. Je me mis vite en maillot et piquais une tête dans l'eau. Je fis quelques brasses en songeant au bien fou que me procurait la fraîcheur de se bain. Je me retourne pour en faire la réflexion à Sifa quand je l'aperçois qui entre totalement nue dans l'eau ! Echauffé par la vue de se corps de déesse, mon sang ne fait qu'un tour ! Ses seins dardent fièrement, ses fesses cambrées sont un appel au vice ! Les gouttelettes d'eau sur sa peau d'ébène font encore plus ressortir la douceur qui en émane. Elle nage autour de moi, me lance des regards coquins et provocateurs… Je dois avoir l'air d'un grand bêta, figé comme hypnotisé par son apparition en tenue d'Eve.

Le silence c'est installé entre nous, je n'ose rien dire, captivé par la magie du moment. La jeune fille de son côté accentue ses mouvements sensuels, elle m'allume carrément.

Le charme de l'instant se rompt quand nous entendons au loin des bruits d'animaux ! L'endroit n'est peut être pas si sûr et nous devons sortir de l'eau et rejoindre notre véhicule.

Sifa sort la première, attrape sa serviette, se tourne vers moi et constate que mon maillot est déformé par une érection impressionnante !

• Oh oh ! On dirait que ce bain t'a mis en forme !

Ne sachant que dire, je rougis timidement !

• C'est bien dommage de devoir quitter cette baignade, j'aurais bien aimé que nous nous amusions tout les deux !

• Nous amuser ? Tu veux dire que…

• Chut ! N'en parlons plus pour l'instant, nous verrons ça plus tard sous la tente !

Le reste de la journée passa trop lentement à mon goût, tellement pressé de me retrouver seul en tête à tête avec Sifa.


Le soir enfin venu, ma déesse Africaine me rejoignis sous la tente. Elle portait un grand tissu autour du corps qu'elle fit tomber à ses pieds une fois l'ouverture de la tente refermée. Dans la même tenue que lors de sa baignade de tout à l'heure, c'est-à-dire totalement nue, elle s'approcha de moi pour que je la prenne dans mes bras.


Sa peau comme je l'avais deviné était douce et ferme. Elle me regardait droit dans les yeux tandis que je la caressais. Les pointes de ses tétons étaient tendues au maximum et alors que j'apposais mes lèvres dessus afin de les sucer, elle poussa un soupir et me dit :

• Prend moi, cela fait trop longtemps que j'en ai envie, que j'ai envie de toi…

Je l'ai alors couchée tendrement sur mon lit, me suis déshabillé et l'ai pénétrée, facilement tant sa grotte d'amour était inondée.

Il ne lui fallu pas longtemps pour avoir un premier orgasme, puis un second ! Cette fille au corps parfait était faite non seulement pour donner du plaisir, mais également pour en ressentir elle-même énormément.

Je jouis une première fois en elle puis reprenant nos esprits nous nous sommes un peu expliqués sur nos désirs respectifs et nous sommes aperçus que nous étions tombés amoureux l'un de l'autre.

Coquine, pendant que nous parlions de nos sentiments, elle me tripotait la verge de façon nonchalante et quand au bout d'un moment la dureté revint, elle se baissa pour la prendre en bouche et me dit :

• Miam, je vais enfin y goûter !


Cette nuit là, et tout les soirs qui suivirent, nous les avons passé à faire l'amour, explorant nos corps et nos fantasmes.


Aujourd'hui je suis un homme heureux, j'ai décidé de rester avec Sifa, nous allons nous marier et je pense avoir beaucoup d'enfants ! Le premier d'ailleurs arrivera d'ici quelques mois, Sifa me l'a annoncé ce matin.



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 15:32

Cela c'est déroulé un de ces jours bénie où la chance vous tombe dessus sans que vous ne sachiez pourquoi !

Enfin quand je dis que cela c'est passé un jour, je dirai plutôt une nuit !

Il devait être quelque chose comme une heure du matin, je revenais d'une soirée foot chez des potes qui s'était prolongée par une discussion animée autour de quelques canettes de bière.


N'habitant qu'à quelques rues de là je rentrais à pied chez moi (il valait mieux car bien que modérée, mon ingurgitation d'alcool n'aurait pas été bien perçu par les agents de la maréchaussée !). Je m'apprêtais à pousser la porte de l'immeuble qui abrite mon appartement quand j'aperçois sous l'abris bus en face de mon trottoir une fille avec sur la tête des oreilles de bunny (vous savez comme dans playboy !). Etonné je reste bêtement planté quelques secondes quand je remarque qu'elle a un air affolé et pas tranquille du tout. Je m'approche donc d'elle pour voir ce qui ne vas pas et si elle a besoin d'aide. Elle me répond qu'elle est très ennuyée parce qu'à cette heure ci il n'y a pas de bus et qu'elle ne sait pas comment rentrer chez elle.


Dans ma tête je me demande comment cette jolie (je la vois de prêt désormais) fille c'est retrouvée dans cette situation… Je lui dit que je l'aiderai volontiers mais que je ne peu pas prendre ma voiture, non pas que je sois complètement rond, mais j'arrive d'une soirée entre garçons alors forcément… Par contre je peux l'héberger chez moi jusqu'à demain matin et cela en tout bien tout honneur.


Ma proposition la soulage d'un poids qui semble lui peser, faut dire que je la comprends, une jolie fille ainsi accoutrée à cette heure de la nuit, cela peut attirer les convoitises de vicelards pas très fréquentables !


Dans l'escalier qui mène à mon deux pièces, je reluque discrètement ma colocataire d'un soir : blonde, un bon mètre soixante quinze, une joli minois et un corps parfaitement proportionné avec de jolies formes la où il faut ! A priori elle doit avoir à peu près le même age que moi c'est-à-dire vingt cinq ans. Arrivé à l'appart je lui propose de boire quelque chose ce qu'elle accepte volontiers. Elle m'explique qu'elle fait partie d'une agence spécialisée dans l'enterrement de la vie de vieux garçons et que justement elle se trouvait dans une de ces soirées où elle était sortie d'un gâteau géant ainsi déguisée. Le problème est que la personne qui l'accompagnait avait du partir plus tôt à cause de sa femme fiévreuse qui l'avait appelé et que personne par la suite n'avait pu la ramener chez elle, la soirée ayant tournée à la beuverie la plus complète ! Et pour compléter sa malchance son bonnet « bunny » c'était coincé et elle n'était pas arrivée à se l'enlever, ne forçant pas de peur de le casser ce qu'il lui aurait été enlevé de sa paye par son employeur !


Désormais en confiance, la jolie blonde rigolait de son aventure avec moi. Visiblement nos personnalités s'accordaient et j'ai pensé que je ne lui déplaisais pas. Nous avons discuté deux bonnes heures en rigolant énormément. Petit à petit j'en ai plus appris sur Coralie : étudiante en droit, elle avait vingt trois ans et finissait normalement cette année de brillante études. Pour se payer son appartement elle travaillait chez un copain qui avait monté cette boite spécialisée dans l'organisation de surprises lors de soirées. Elle était célibataire depuis quelques mois et cela lui pesait… Je m'étonnais qu'une si jolie fille soit seule surtout en faisant ce petit boulot là où elle était amenée à connaître de nombreux jeunes hommes. Mais elle éclaira ma lanterne en me disant qu'il ne fallait pas mélanger boulot et travail, que son employeur de l'accepterai pas car il en allait de l'image de l'entreprise. De plus ses études lui prenaient beaucoup de temps en ce moment et elle n'avait guère de temps pour sortir avec ses amis.


Je lui proposais de l'aider à défaire son bonnet de « bunny », ce n'était pas facile, la fermeture éclair semblait bel et bien coincée. Alors que je m'acharnais à la tâche, Coralie rigolait beaucoup, mon humour semblait faire mouche et au bout d'un moment me pris les mains et me regardant droit dans les yeux me dit :

Visiblement tu n'y arriveras pas… Mais ne préfèrerais tu pas sauter sur l'occasion pour faire l'amour à une pauvre bunny esseulée ?


Tu parles que je sautais sur l'occasion… Et une bonne occasion même ! Je n'avais jamais eu justement l'occasion de sauter une si jolie fille…


Elle me fit son show, dansant et s'effeuillant de façon sensuelle et érotique… Dans mon pantalon c'était déjà la fête et mon boxer avait du mal à contenir mon objet de virilité…


Coralie savait y faire dans l'art d'allumer un homme, la belle « bunny » se dandinait lascivement devant mes yeux prêts à sortir de leur orbite ! Enfin elle s'approcha de moi et me dévêtis lentement, en commençant par déboutonner ma chemise, caressant mon torse musclé par les séances de musculation. Mon corps semblait lui plaire et j'en suis flatté, elle eu l'air même agréablement surprise quand elle découvrit mon vit en superbe érection !Ses yeux aussi pétillaient d'envie et elle se jeta sur mon chibre de façon affamée, elle me bouffait véritablement le sexe, bavant et léchant, suçant et aspirant… Pendant qu'elle s'occupait de moi je la palpais de partout, sa peau douce était vraiment agréable, ses fesses étaient un appel au vice et ses seins… Ah ! Ses seins… Vraiment merveilleux et si réactif aux caresses…


Désormais en position de soixante neuf nous nous gourmandions l'un et l'autre, le goût de sa cyprine était vraiment excellent, doux et même sucré, jamais je n'avais bu un tel nectar par le passé ! Ses petits cris alors qu'elle lapait la verge me faisait un effet de folie et je sentais monter en moi une sensation de virilité, de puissance. J'avais envie de prendre cette fille de toutes mes forces, de toute mon envie, j'avais envie de lui donner un plaisir immense…

Je la mis en position et la pourfendais de ma verge dure comme du fer, elle criait, gémissait, mes vas et viens se faisaient tantôt rapides tantôt plus lents, j'alternais les assauts brutaux et les assauts plus tendre, la couvrant soit de bisous et de léchouilles, soit de mordillements et de mots crus. Je n'étais plus alors l'homme que je suis, j'étais transformé soit en une espèce de bête sauvage, soit en un doux Casanova qui par ses caresses subtiles sublimait le plaisir de ma belle.


Coralie me dit par la suite avoir eu orgasmes sur orgasmes. Durant cette nuit et la journée qui suivit nous avons fait l'amour pendant des heures et des heures. Nous nous reposions de temps en temps, nous câlinant tendrement. Le dernier orgasme que nous avons ressenti alors que nous étions au bout de nos forces fut terrible et dévastateur. Ma jolie bunny m'appelait mon lapin ! Elle me fit le plus beau des cadeaux en m'avouant n'avoir jamais ressentis un tel plaisir de sa vie…


Nous nous revoyons depuis régulièrement, nous ne sommes pas vraiment ensemble car Coralie doit être concentrée sur ses examens mais par la suite nous nous sommes juré d'essayer de vivre ensemble une vie à deux… Il me tarde, même si j'appréhende un peu, de vivre avec ma belle bunny…



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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