Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 19:36

Je prends souvent le bateau de nuit pour me rendre en Angleterre. Je pars du Havre et arrive à Southampton. Quoi, direz-vous, alors qu'on peut aller là-bas en moins de trois heures par Eurostar ! Mais pour des tas de raisons, trop longues à expliquer ici, j'ai choisi le ferry. La semaine dernière, vers les dix heures du soir, je décide à prendre un dernier verre au bar avant d'aller me coucher. Je m'installe à une table et je parcours mon journal….
Peu à peu la bar se remplit, si bien que, quand il n'y a plus beaucoup de places libres, trois filles s'approchent et me demandent si elles peuvent s'installer à ma table.


” Pas de problème, bien sûr “, je réponds et je me replonge dans mon journal.
D'une oreille distraite, je les entends parler d'elles ; elles sont étudiantes et vont faire un séjour linguistique en Angleterre. A un moment, l'une d'elles laisse tomber un petit sac. Je le ramasse rapidement et le lui tends. Remerciements, échange de quelques paroles banales. Finalement, me voici intégré à leur petit groupe et nous bavardons quelques minutes.


J'en profite pour les détailler un peu. Il y a une petite blonde aux cheveux bouclés, l'air sympa. Bientôt j'apprendrai qu'elle se nomme Christine. Puis vient Tania, blonde aussi, mais plus boulotte, s'amusant de tout et riant fort. La dernière, Julie, est une belle plante, châtain, drôlement bien faite. Je remarque ses seins qui tendent son chemisier et je me dis que j'aimerais bien les avoir dans la main…


Soudain, un haut-parleur annonce que le bar va fermer et invite les consommateurs à se diriger vers un autre bar qui reste ouvert toute la nuit. Je vois les trois filles se concerter rapidement, sans doute pour savoir si elles vont y aller, et quand j'annonce que je vais en profiter pour rejoindre ma cabine, Tania me propose un dernier verre “Vite fait “, ajoute-t-elle, dans leur cabine. D'accord ! Je les suis.


J'entre dans la cabine. Tous ceux qui fréquentent les ferries de nuit connaissent la cabine standard : quatre couchettes, deux à droite l'une au dessus de l'autre et la même disposition de l'autre côté d'un étroit passage. Au fond une porte donne accès à une minuscule salle de bain. On me fait signe de m'asseoir sur le bord d'une couchette, et une fille se met de chaque côté pendant que la troisième doit rester debout, faute de sièges et de place. Nous mettons à l'aise, j'enlève ma veste tellement il faut chaud, pendant que Tania plonge dans un sac pour en servir des bouteilles de soda. Nous échangeons encore quelques mots quand - est-ce le tangage?- Christine est précipitée contre moi. Sa poitrine heurte mon visage et je sens ses seins s'écraser sur mes joues. Il me semble qu'elle tarde un peu à se relever en se frottant trop ostensiblement sur moi, mais ce n'est peut-être qu'une impression. Sans chercher à s'excuser et sans avoir l'air gênée, elle éclate de rire et me dit :
“Ca t'a plu ? Ils sont comment, mes seins ? On pourrait s'amuser un peu ensemble ? ”


Bien entendu, je comprends à quoi elle m'invite et je réponds que j'aimerais bien mais que je dois aller me coucher, ayant une journée chargée en vue. J'ai à peine fini ma phrase que Christine se penche vers moi et m'embrasse: sa langue cherche à s'insinuer dans ma bouche et à se mêler à la mienne. J'essaie de protester que je ne peux pas, que je dois partir, mais je ne dois pas être très convaincant. Elle continue son baiser qui devient plus passionné et plus ardent et me serre dans ses bras. Je commence à peser le pour et le contre, à me dire que j'ai une occasion qui s'offre à moi quand la lampe s'éteint brusquement, laissant la cabine à peine éclairée par une lumière qui vient de le petite salle de bain. Les deux autres filles de jettent sur moi de tout leur poids et m'allongent , presque de force, sur la couchette. Dans la lutte qui s'engage, je sens tout de suite qu'il ne s'agit pas d'une véritable agression, car, bien que je ne parvienne pas à me dégager, elles ne cherchent pas à me faire mal. Au contraire, des mains parcourent mon corps, m'écartent les jambes et s'attardent entre elles, pendant qu'une langue fouille ma bouche. Un corps qui pèse sur moi m'empêche de remuer les bras.


Soudain, tout bascule, j'ai l'impression de tomber dans l'horreur : j'entends un bruit métallique, je sens deux bracelets d'acier se refermer sur mes poignets. Je lutte un instant pour me dégager, mais avant que je puisse le faire, les menottes sont attachées aux montants de la couchette et je me retrouve prisonnier. Je hurle :
” Ca ne va pas ? Qu'est-ce que vous voulez ?”


Tania me dit : ” Ne bouge pas, n'aie pas peur, c'est pour ton plaisir, tu vas voir.”
En même temps , on me met un bâillon, si bien que je ne peux plus protester et crier. Une main me caresse doucement le sexe à travers mon pantalon. Encore quelques secondes pendant lesquelles j'essaie de me décider : vais-je me débattre, essayer d'appeler au secours, crier à l'enlèvement ou au viol ? Les caresses sur mon sexe se font plus insistantes. Peut-être n'est-ce pas un enlèvement mais une mise en scène sexuelle ? Vais-je me prêter de bon cœur à une aventure si inattendue ?

Tania et Christine m'abandonnent un instant, me confiant aux mains expertes de Julie qui glissent sur tout mon corps. Je vois les deux filles se dévêtir rapidement ; deux paires de seins se balancent juste devant les yeux ; puis deux minous, l'un complètement rasé, l'autre étalant toute sa fourrure, s'exhibent devant moi. Julie détache ma ceinture, ouvre mon pantalon , et sa main, passant dans mon caleçon, me masse les couilles et cherche à branler ma queue de plus en plus raide. Elle me demande de me soulever un peu pour qu'elle finir de baisser mes vêtements, ce que je fais. Ensuite, elle s'accroupit entre mes jambes et me lèche les couilles tout en continuant à me branler. Puis sa langue monte toute la langueur de ma queue, s'attarde longuement sur le gland ; enfin sa bouche s'ouvre et elle avale tout mon membre dressé, palpitant et déjà mouillé. Je laisse échapper un grognement de plaisir qui montre à quel point j'apprécie l'attention dont je suis le centre. Ma queue grandit et durcit encore à chaque coup de langue. Julie m'avale si profondément que je sens le fond de sa gorge. Julie est une bonne pipeuse qui me suce avec art. Elle laisse doucement sortir ma queue de sa bouche, tout en gardant le bout entre ses lèvres, et lentement elle redescend. Elle accélère peu à peu, inexorablement, pendant que ses mains caressent mes couilles ou qu'un doigt s'égare par moments sur mon anus et sans le pénétrer fait mine de me violer l'œillet. Ca m'excite fortement, j'ai envie que ça ne s'arrête jamais. La bouche et les lèvres de Julie travaillent sur toute la longueur de ma queue. Je commence à tressaillir, mon ventre est parcouru de frissons, je suis prêt à éclater dans sa bouche. Julie sent venir la décharge, elle s'arrête, se retire de ma bouche et me laisse la queue tendue, palpitante et brûlante.


” Pas encore ! ” me dit-elle doucement.

Elle me quitte, et va allumer la lumière principale. Allongées sur la couchette, Tania et Christine sont en position de 69. Tania est sur le dessus, a quatre pattes, et ses seins se balancent doucement sur le ventre de Christine. J'aime voir ces seins qui frôlent l'abdomen de Christine, ça m'excite particulièrement. Christine se tortille comme un serpent quand la tête qui s'agite sur son bas ventre décrit des cercles en léchant les lèvres et la fente humide. J'entends Christine feuler chaque fois que la langue s'enfonce dans sa chatte. De son côté Christine donne du bon temps à Tania. Elle caresse sa vulve : je n'en ai jamais vu qui soit aussi gonflée que celle-ci. Son clitoris est énorme, et chaque manipulation que Christine fait déclenche des cris qui doivent résonner dans tout le bateau. Ses mains enserrent les hanches de Tania et parfois une main caresse doucement ses fesses et va parfois appuyer sur l'anus. Sous cette caresse, la dos de Tania s'arque encore plus, comme si elle voulait engloutir ce doigt au fond d'elle même. Puis Christine se penche davantage et sa langue vient maintenant titiller, sucer, lécher, aspirer, explorer tous les recoins du sexe de Tania. Je vois sa langue entrer en elle, et ressortir chargée de jus, puis parcourir la fente et s'enrouler autour du clitoris. Tout cela tire de Tania des soupirs, son souffle est court, son corps se cambre sous les caresses, et voilà qu'elle jouit avec force, les jambes serrées, qui écrasent presque Christine. Et quand son cri, celui d'un animal, s'éteint, elle reste pantelante, en sueur, effondrée sur le corps de sa partenaire.


Un tel spectacle me fait bander de plus belle, mon sexe est congestionné, à travers mon bâillon, je demande avec insistance qu'on vienne s'en occuper, puis que mes mains menotées doivent rester inactives. Une fois de plus la lumière principale de la cabine s'éteint, nous laissant dans la pénombre. Tania s'approche alors de moi en disant :
” Laisse-toi faire. Tu vas avoir le petit plaisir que tu attends. “


Elle entoure ma tête de ses bras et brusquement me pose un bandeau sur les yeux. Quelques secondes s'écoulent. Silence. Rien ne se passe. Aussitôt je sursaute quand des doigts me frôlent partout, tirent sur la pointe de mes seins, descendent sur mon ventre mais contournent mon sexe dressé avant de passer entre mes cuisses. Un souffle chaud sur ma queue, une bouche qui l'avale et qui va et vient sur un rythme lent.
Brusquement, plus rien, et aussitôt après une autre bouche, plus petite, enserre mon gland et l'affole de mille petits coups. Mon ventre est prêt à exploser quand tout cesse encore une fois. Une sensation bizarre…. Des cheveux qui balaient mon corps, mille petites chatouilles qui déclenchent mille frissons.
Plus rien encore.


Le bruit du zip d'un sac qu'on ouvre, de l'eau qui coule, d'autres bruits que je ne peux pas identifier.
” Allonge-toi .” Je m'exécute. ” Ne bouge surtout pas. “
Une main attrape doucement mon sexe et le redresse bien droit. En même temps je sens quelque chose de doux, humide, crémeux qui se répand autour de ce mât dressé et qu'on applique d'un léger coup de main. Un peu affolé je voudrais demander ce qui se passe, ce qu'on me fait. Une peur me saisit à nouveau, celle d'être tombé sur des folles qui vont me torturer puis me tuer. Je crie à travers le bâillon. Une voix me répond :
” Du calme, tu vas apprécier. Tous les hommes aiment ce traitement très particulier. Je vais te raser. “
Je comprends maintenant, l'eau, le gel qu'on étale … Cette main qui étale le gel fait un effet immédiat, en une fraction de seconde, je suis prêt à jouir, la queue tellement raidie qu'elle me fait mal. Déjà le rasoir commence à passer, je sens l'acier froid qui passe sur ma peau et Christine commente :
” Tu vois, il vaut mieux faire plusieurs passages en douceur, qu'un seul plus appuyé … Relaxe-toi et prend ton pied… Je pars de l'intérieur des cuisses pour remonter vers les couilles. “
Une main les soulève délicatement et elle frôle mon gourdin, ce qui me fait bander de plus belle et m'envoie des frissons agréables dans tout le ventre.
” La base de la queue voilà un endroit difficile… Il ne faut pas se tromper, un coup de rasoir trop appuyé et adieu coquette pour toujours. “
J'entends le rasoir filer sur les poils, un léger crissement, et je ressens un tiraillement tout aussi léger quand la lame mord dedans. Ceci s'ajoute à la situation extraordinaire dans laquelle je suis, menotté, bâillonné et aveuglé. Tout cela contribue à l'excitation folle qui s'est emparée de me moi avec toutes les caresses délicieuses que j'ai subies depuis que je suis rentré dans la cabine. Je sens mon sexe battre du même rythme que mon cœur, tendu, dur, dressé, impérieux et prêt à cracher toute sa charge trop longtemps retenue.
A un moment j'entends Christine dire :
“J'ai la chatte qui me démange en faisant ça…. Tania, viens me branler le bouton, s'il te plaît. “
Quelques secondes plus tard, j'entends la respiration de Christine s'accélérer et elle s'écrie :
” Plus fort, vas-y… oh oui ! mets un doigt dans mon trou… je vais jouir! “
Elle lève le rasoir et aussitôt je l'entends crier, un long cri fauve qui sort du fond d'elle même, pendant que sa main, qui tenait ma queue, se crispe, me serre avec violence et m'arrache un cri de douleur. Une autre main, plus petite, vient me caresser doucement comme pour me demander de pardonner et apaiser la douleur, puis j'entends Christine dire qu'elle a joui comme une salope, qu'elle est OK et qu'elle va reprendre le rasage…
Le fer du rasoir se fait plus doux quand il approche des couilles. Je sens la main, celle de Christine peut-être, qui me soulève doucement les couilles que le gel de rasage rend glissantes.
” Il faut faire attention quand on rase là, la peau est très plissée à cet endroit. “
Elle n'arrête pas de me soulever les couilles, de tirer doucement dessus… Quant à moi, je bande maintenant plus fort que jamais, je pousse des geignements chaque fois que la main touche ma queue en feu, mon cœur bat comme s'il allait exploser. ” Que vois-je là ? ” s'exclame mon figaro.
” Monsieur, prend son pied, voilà qu'il mouille de plus en plus. “
Ca ne m'étonne pas, avec toute la tension que j'ai dans mon sexe. Il est même plutôt étonnant que tout le paquet ne soit pas déjà parti d'un coup, je me dis.
Le rasoir s'arrête, une bouche chaude entoure ma queue, et je sens une langue qui recueille les gouttes et s'attarde sur l'arrière du gland, ce qui déclenche un nouvel orage de feu en moi… Le rasoir reprend sa course encore quelques secondes et j'entends Christine annoncer :
” Ca y est. Tes couilles sont douces comme du velours. Quelle belle queue tu as. Sans les poils elle est bien plus longue. Un bel épieu jouissif… Les filles, qui va se faire enfiler en premier ? “
Encore quelques manœuvres, je sens une serviette chaude qui vient entourer mon mât dressé, puis une main étale une crème avec une infinie douceur… et une grande lubricité.
Une main frôle ma tête et soudain mon bandeau tombe, me laissant un peu ébloui.
” Tu as été bien sage, je vais te libérer . “
Une seconde après, je vois Tania enlever mon bâillon, puis les menottes. Tout en me frottant les mains un peu engourdies, je regarde autour de moi, d'abord mon ventre… Ca me fait tout drôle, j'ai un ventre de pré-adolescent. Mais c'est vrai que sans les poils on dirait que je suis monté comme un cheval. Et tout le traitement délicieux que je viens d'avoir me fait bander comme de l'acier. Un regard sur les trois filles : elle sont nues, se caressent et s'embrassent. je vois même Julie qui fouille dans le sexe de Christine et la masturbe : ses doigts brillants, pleins de cyprine vont et viennent dans sa chatte. Tania a un godemiché dans la main et l'enfonce doucement dans Julie qui tend son ventre en avant pour mieux se faire pénétrer…
” Maintenant, “dit Christine, ” tu dois être prêt à exploser. Nous allons voir ça. Allonge-toi.”.

A peine suis-je allongé que Julie monte sur la couchette et vient se placer juste au dessus de ma queue. Lentement elle descend et d'une main place mon membre à l'entrée de sa chatte, et descend encore jusqu'à m'avaler en entier. C'est est trop : voici presque une heure qu'elles me taquinent et m'amènent au bord de l'explosion. Le contact du velours du vagin qui se serre autour de moi me fait partir sans que je puisse me retenir : mes couilles se contractent, je sens la semence les parcourir, monter dans le manche et jaillir avec force, inonder Julie, couler sur son ventre et entre ses cuisses. Ses deux copines se précipitent pour lécher mon sperme encore chaud, le laper jusqu'à la dernière goutte. Elles se jettent sur ma queue pour en pomper les ultimes gouttes, ce qui m'arrache des cris de jouissance. La bouche dégoulinante, les lèvres pleines de sperme qui retombe en longs filets, Christine vient m'embrasser, me donnant à goûter ma propre semence que je partage avec elle dans une étreinte passionnée . Quand nos bouches se séparent, un filet blanchâtre les unit encore une seconde avant de se déchirer… Très vite, je redeviens raide..

Julie m'enjambe en me tournant vers moi si bien que j'ai ses seins qui se balancent juste devant mes yeux, et à nouveau elle me chevauche. Son sexe vient s'empaler sur le mien , en me faisant crier de bonheur, quand je sens sa chaleur et sa douceur qui enserrent ma queue. C'est comme si elle avait une petit main dans sa chatte, qui saisirait ma queue et la branlerait, une main chaude, douce, crémeuse qui me caresse et dont les pulsations à chaque va-et-vient m'arrachent un gémissement de plaisir. Christine vient se placer accroupie à côté d'elle, saisit le godemiché que Tania lui tend et l'enfonce doucement dans l'anus de Julie..


“Pas besoin de lubrifier, elle est déjà pleine de jus!”.
L'engin étire lentement le trou, y pénètre, ressort, pénètre à nouveau, mais un peu plus loin cette fois. Le gode s'enfonce de plus en plus , arrachant à Julie des cris de douleur d'abord, mais rapidement de plaisir. Parfois, pour varier un peu Christine fait tourner le gode, de façon à donner à Julie de nouvelles sensations. Ainsi pénétrée devant et derrière, Julie se tortille dans tous les sens en criant, en gémissant, prête à jouir. C'est qu'en même temps, ma queue ne reste pas inactive dans ce fourreau et je baise au rythme du gode qui lui emplit le cul. Enfin, Tania monte sur la couchette, écarte ses jambes et s'accroupit au dessus de ma bouche, se baisse et j'ai une chatte chaude et humide qui se pose sur ma bouche. Je la lèche lentement avec de grands coups de langue qui couvrent toute la cramouille, puis j'enfonce ma langue dans sa fente et je fait des va-et-vient de plus en plus rapides. Je lui pelote les seins, je les malaxe, je les caresse, je les serre. Ils sont durs et je passe le doigt sur les mamelons gonflés et dressés; je les titille, je les excite. Je sens le jus de Tania qui se met à couler sur mes joues. En même temps, Tania commence à gémir et, brutalement, ses jambes se serrent autour de ma tête, tous ses muscles se tendent au point que j'ai du mal à respirer et elle gémit encore plus. Ca semble durer des heures avant qu'elle ne se relâche et que je puisse reprendre mon souffle..
La cabine est remplie de l'odeur musquée des chattes en chaleur et des jus qui en coulent..
Je ne vois pas ce qui se passe sur mon ventre, mais Julie est en pleine folie sexuelle. Le gode lui distend le cul, la défonce tandis que moi, je lui pistonne la chatte. Julie veut profiter du moindre centimètre de chair vivante qu'elle sent palpiter dans son con.
“Oui, baise-moi, plus fort. Vas plus profond. Ah! c'est bon. Elle est grosse et elle me défonce bien. Je sens ta bite qui remonte jusqu'au fond.”
J'ai la queue tendue, énorme, me semble-t-il, qui lui laboure la chatte. C'est une pénétration sauvage. Des frissons courent dans mes couilles, je les sens se contracter et je sais que mon foutre va exploser comme un fou. Je me déverse dans son vagin, un long jet interminable, encore, encore, longuement, comme si je n'avais pas déchargé depuis des semaines. La chatte que je remplis est agitée de spasmes, de contractions qui bloquent mon jet, ce qui prolonge et intensifie mon orgasme. Je dois avoir l'air tellement étrange que Christine me demande:.
“Ca va?”.


Je ne réponds pas , je me contente de geindre doucement, tout mon corps encore parcouru de tremblements, allongé sans réaction sur la couchette. Je sens mon sperme chaud qui recoule doucement du vagin et s'étale sur mes cuisses et sur mon ventre..
C'est alors que Julie jouit à son tour, un long feulement. Elle me griffe les bras, des grognements accompagnés de spasmes qui traversent tout son corps, serrent de plus belle ma queue encore enfoncée dans elle.
“Je n'ai jamais joui comme ça!”, s'exclame-t-elle. “Dans la chatte et dans le cul en même temps, c'est du feu que vous y avez mis”.


La nuit est déjà avancée, je me sens bien, calme et repu, mes ardeurs sont émoussées. Mes les filles n'en ont encore pas eu assez. Reprenant peu à peu mes esprits et ma force, allongé sur la couchette, je les vois s'engager dans une partouze lesbienne. Sans sembler d'occuper de moi, elles se sucent les seins, se frottent les unes contre les autres et leurs mamelons sont droits et d'un rose foncé qui montre à quel point ils sont engorgés. Elles se lèchent sur tout le corps en poussant de petits cris de plaisir, se mangent goulûment la chatte..
Christine est sur la couchette, à côté de loi, en train de se masturber. Elle sait qu'il faut alterner les caresses délicates du clito et les coups pistons au plus profond de la chatte. Les jambes écartées pour se donner un meilleur accès à sa fente, ses doigts s'enfoncent dans sa moule. Ils en ressortent luisants de sa mouille et, poussant de petits cris, elle cherche son clito qu'elle enduit de mouille et qui durcit dès qu'un doigt commence à le frôler. Les reins cambrés, tout son corps tressaille à chaque fois qu'elle touche son clito en feu. Elle va de plus en plus vite, je vois ses yeux se fermer, j'entends sa respiration s'accélérer..
” Ahhh ! Je vais jouir!”.

Sa chatte est luisante de mouille, elle se frotte le clito sans ménagement pendant que l'autre main s'enfonce presque toute entière dans sa chatte béante. .
J'approche une main des ses seins : les mamelons sont aussi durs qu'un rocher. Une brève caresse suffit, ce contact déclenche son orgasme. Elle crie, un cri profond qui vient du fond de son ventre, un cri intense que modulent les spasmes orgasmiques qui courent dans tout son corps et le secouent pendant plus d'une minute. Tout en regardant Christine s'envoyer en l'air, je n'ai pas manqué le spectacle qu'offre les deux autres filles en train de se gouiner. Tania et Julie sont l'une sur l'autre, Tania lèche le clito de sa copine, lui donne de petits coups de langue ou bien tourne rapidement autour et Julie, pour répondre, tend le ventre vers cette bouche. Puis Tania descend vers la fente gonflée de Julie qui s'entrouvre sous la pression de langue , si bien que celle-ci s'enfonce facilement dans la fente rose. J'entends Julie geindre et dire:.
“Vas-y, bouffe-moi la chatte, rentre dedans… Fais-moi jouir.”.
Parfois Tania cesse la pénétration un instant et sa langue s'égare sur tout le ventre de Julie, du clitoris jusqu'à l'anus dans une lente caresse. Puis elle revient dans le tunnel, la langue tendue pour pénétrer plus loin tandis que Julie avance les hanches et ouvre largement les jambes pour mieux se faire baiser. Quand elle geint de plaisir à nouveau, Tania ajoute un doigt à la langue qui sonde et excite la chatte de Julie. La main de Tania va de plus en plus vite, le pouce frotte doucement sur l'anus, un autre doigt titille le clitoris, la langue au milieu, pointue, dure qui s'active dans la fente. Quand je vois Julie qui serre convulsivement les jambes plusieurs fois, je comprend que ça ne va pas être long. Soudain, ses reins se cambrent, ses cuisses se serrent emprisonnant la main qui la pénètre, sa respiration s'arrête, un long gémissement sort de ses lèvres. Fatigué et vidé, je l'étais avant cette déferlante de jouissance, mais après avoir vu ces filles prendre leur pied, mon membre s'est redressé et a repris vie..
Christine se tourne vers moi et me dit:.
” Je vais te redonner des forces, tu vas en avoir besoin.”
Elle me caresse lentement le dos et sa main descend sur mes fesses, passe entre elles avec insistance si bien que je sens la peau de mes couilles se tendre à chaque pression de la main. Puis elle me prend les couilles dans la main, les caresse, les cajole pendant que l'autre main me branle doucement. Quand elle sent mes hanches qui commencent à bouger au rythme de ses caresses, elle sait que je suis prêt et qu'elles peuvent extraire toute l'énergie qui me reste en passant le reste de la nuit à s'amuser avec moi.
“Prends-nous toutes les trois ensemble!”.
Les trois filles s'allongent en travers sur une couchette, les jambes pendants et largement écartées pour m'offrir leurs trois chattes à baiser. Je comprends que je dois passer de l'une à l'autre, m'enfoncer dans la première, m'activer quelques secondes avant de me retirer pour passer à la deuxième qui attend de recevoir ma queue, puis à la troisième avant de revenir à la première..
“Allez, viens!”.
Trois chattes gonflées de désir s'offrent à moi, celle de Tania cachée derrière sa toison blonde, celle de Christine, soigneusement rasée, comme une fillette pre-pubère, mais, comme je l'ai déjà vu, un appétit d'ogre, et la chatte de Julie encore dégoulinante de jus. Elles sont toutes si chaudes et si mouillées que je peux les enfiler sans autre préliminaires. C'est d'ailleurs ce qu'elles veulent, se faire baiser à couilles rabattues, se faire défoncer la chatte, se faire inonder de foutre chaude. Je m'approche de Tania, la queue en avant, et d'un seul coup je l'embroche, à fond, complètement, tout au fond si bien qu'elle ne peut retenir un petit cri. Je ressors et rendre dans elle à nouveau, de grands coups de boutoir qui font trembler ses seins. Mes couilles claquent sur ses fesse à chaque coup quand ma queue disparaît dans la chatte avant de réapparaître couverte de mouille.
Je me retire et m'enfonce aussitôt dans Christine, sans douceur, un coup de bite qui la fait tressaillir. Je la baise avec des coups rapides et profonds. Ca lui plaît, elle en redemande.
'”Oui, c'est bon comme ça! Défonce-moi! plus fort ! Plus fort !”.
Quant je passe à Julie, je vois que sa chatte est tellement béante que le gland de mon sexe n'a pas même besoin d'ouvrir les lèvres pour pouvoir rentrer. C'est presque comme si je pénétrais dans une caverne. Mais là, comme c'est chaud ! Elle est tellement en chaleur qu'elle me brûle la queue. je la besogne quelques coups puis retourne enfiler Tania. Les deux autres filles en profitent pour se gouiner, une main sur les seins, l'autre enfoncée dans la chatte..
Quand j'en ai fini ( provisoirement) avec Tania, je passe à la cramouille du milieu que je bourre de coups profonds qui font feuler Christine. En même temps, j'attrape le godemiché qui traîne sur la couchette et je l'enfonce dans le sexe de Julie.
C'est devenu une orgie folle, une démence sexuelle complète dans laquelle mon sexe n'est plus qu'un piston avec une seule utilité: baiser pour jouir, baiser pour jouir et jouir encore. Christine se tourne un peu vers Julie et lui caresse le bouton, engorgé, droit, raide comme une petite bite. Pilonnée par le gode qui lui met à vif tous les nerfs de sa moule et par les manipulations et les caresses du clito qui lui enflamment le ventre, Julie jouit, sans pouvoir se contrôler, elle éclate, le souffle coupé, le corps tordu par l'intensité du plaisir . Ses jambes battent l'air, ses muscles se tordent dans tout son ventre, et enfin, elle reste allongée, immobile, tout en gémissant encore de plaisir.

Je suis maintenant en train d'aller et venir dans Christine et j'y mets toute mon énergie. Mon ventre vient claquer sur sa chatte quand mon manche, dur comme un roc la pénètre jusqu'au fond. En même temps, je lui donne des tapes sur les fesses et elle crie:.
“Encore, encore, tape!”.
Je la frappe plus fort, ses fesses deviennent rouges tout en lui donnant de grands coups de bite, et elle aime ça! Ma main bien à plat claque sur ses fesses, tout son corps se contracte et elle explose dans un des paroxysmes d'orgasme les plus violents que j'aie jamais rencontrés.

Il y a encore Tania qui réclame sa jouissance. Pendant que je m'occupais de ses copines, elle n'a pas perdu son temps. Elle est train de se branler, deux ou trois doigts enfoncés dans sa chatte, des doigts gluants de son jus qui s'enfoncent et ressortent à toute vitesse. Julie est venue lui donner un coup de main, ou plus exactement des coups de langues sur les seins..
” Tourne-toi, je vais te prendre par derrière… Dans le cul..
Je m'écarte un peu, elle se tourne, se met à quatre pattes sur la couchette, puis pose le visage et les épaules sur le matelas, laissant son derrière bien en l'air. Le vois son visage de profil, transformé par le plaisir ; ses cheveux sont en désordre total, ses seins semblent écrasés sur le matelas si bien qu'ils débordent de chaque côté de son corps ; son joli petit cul pointe vers moi pour se faire pénétrer par ma queue bien gonflée. Julie passe un doigt sur son clitoris , doucement mais sans arrêter si bien que son ventre ne cesse pas non plus de s'agiter convulsivement..
Pour ma part, je plonge un doigt dans son vagin trempé de mouille pour le lubrifier et je le presse sur son anus..
” Ouiiii, ” rugit-elle..
J'enfonce mon doigt, juste d'une phalange, puis, lentement, un peu plus et je commence à aller et venir. Chacun de mes mouvements augmente ses convulsion et ses cris. Elle jouit non stop, tous les muscles de sont corps tendus par l'excitation . Mais je n'ai pas encore fini avec elle..
Je dis à Julie :.
” Branle-la dans le trou et sur le clito.”.
Je regarde un doigt, puis deux Julie qui vont et viennent dans la chatte luisante de mouille pendant que son pouce s'active sur le clitoris. On n'entend plus que le bruit caractéristique que fait une chatte bien trempée quand on va et vient dedans et Tania qui crie sa jouissance..
Maintenant je place mon manche sur son anus, et je commence à pousser. C'est un des moments que je préfère, quand mon gland cherche à ouvrir l'orifice - que ce soit celui d'une chatte ou d'un cul. C'est pour moi une sensation forte quand mon bout force le passage et que je le sens s'enfoncer, serré dans l'étui qu'il est en train de forcer. Tania crie plus fort, j'arrête deux ou trois secondes et je donne une nouvelle poussée. Une ou deux autres secondes, et encore une nouvelle poussée, et à chaque fois, je m'enfonce un peu plus dans Tania. Bientôt, je peux aller et venir et, sans essayer d'être doux, je la baise à fond, aussi fort que je peux, comme si ça devait être la dernière fois de ma vie. Tania, de son côté, pousse aussi fort qu'elle peut pour mieux recevoir et sentir mon épieu qui la défonce. Christine s'est approchée pour mieux jouir du spectacle et pendant que Julie lui branle le con comme une folle. Tania a du mal à respirer tellement elle est tendue par les vagues d'orgasme qui la traversent et ses cris sont de plus en plus fort..
Encore quelques coups et je sais que je vais jouir, je commence à gémir moi aussi si bien que les filles comprennent que j'ai presque fini. Alors Christine me dit :.
” Finis dans ma bouche.”.
Une bonne idée ! Je m'arrache du cul de Tania, la laissant aux mains expertes de Julie qui va la faire feuler encore de longues minutes, et j'enfile ma queue dans la bouche chaude de Christine. J'ai juste le temps d'enfoncer mon mandrin palpitant avant de cracher ma sauce dans sa bouche dans un des meilleurs orgasmes de ma vie. Je baise Christine dans la bouche encore et encore, elle suce et me boit jusqu'à la dernière goutte, pendant que des traînées de foutre lui coulent des lèvres. Epuisé, haletant, je reste ainsi dans sa bouche quelques minutes jusqu'à ce que ma queue devienne molle.


La nuit est déjà bien avancée, nous sommes tous fatigués après cette baise mémorable.

Nous sommes restés ensemble jusqu'à ce que le bateau arrive au port, mais sans faire grand chose autre que quelques caresses. J'ai quand même eu droit à une belle pipe que m'a faite Julie et les deux autres filles ont encore trouvé le temps et la force de se faire orgasmer une fois de plus..


Inutile de vous dire que je n'étais pas vraiment en forme le lendemain matin pour aller à mon rendez-vous de travail ! Et mes trois copines ? On se voit aussi souvent qu'on le peut et, croyez-moi, à chaque fois, on s'envoie en l'air fabuleusement des nuits entières.



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 18:41

Je suis une jeune métisse de 24 ans actuellement cadre commercial chez un grand distributeur de la place. Ayant reçu une éducation assez stricte surtout a cause de mon père qui ne voulait absolument pas que je m ' intérrresse a autre chose que mes études, j' estime aujourd' hui n' avoir jusqu'à l' année dernière pas eut de vie sexuelle à propement parler.Ce pendant je sentais bien qu'il y avait quelques choses qui clochait car j'étais toujours obligée de me masturber sous la couette pendant que mon copain est sous la douche car il n' arrivait pas à me faire jouir. Je vous avoue que je me surprenait souvent à rêver de bites bien chaudes et dures et surtout ayat un diamètre imposant qui m'entourent et je me vois me frotter les joues contre ces peaux à la fois très douces et bien tendues. Je rêve également de sentir ces bites me fourrer dans tous les trous et finir par me baigner de foutre bien chaud.


Dans ces moments là, je recommence à me caresser et je jouis terriblement mais ces séances de masturbation me laissent toujours un petit gout d' inachevé. C'est ainsi qu l'année derniere j'ai décidé de vivre ma libido sans que mon copain le sache car il aurait eut du mal de savoir qu'il n'est pas à la hauteur. Il faut dire que je l'aime et ne voudrais pas du tout le perdre mais il y allait de mon équilibre mental. Il me fallait des bites! Un samedi soir, je m'habillais donc d' une jupe mini ras la touffe et d'un top dont le prix m'aurait plus couvert que le morceau de tissuu dont il etait fait.J 'etais ainsi tres sexy. J 'avais mis en plus une perruque blonde ce qui me donnait l'air d'une pute et c'était parfait. Il faut dire que j'ai une plastique assez admirable ce qui fait souvent dire à mon copain que je suis la fille la mieux foutue qu'il ait rencontré. Je fais du 100d de poitrine et bien que mes seins soient très gros ils sont cependant étonnament fermes et possèdent des tétons qui se replient à l'intérieur quand j'ai un peu froid. Habillée de cette manière provocante et vulgaire, je poussais la porte d'une boite dans la zone du port ou je savais que les marins de permission allait souvent s'amuser et assez éloigne d'ou j'habite pour ne pas qu'on me reconnaisse.

Je m' assis au bar et commandait une double vodka histoire de me rechauffer un peu et surtout de me donner du courage. Très bientot un homme d'environ 35 ans m'approcha et me demanda si je ne voulais rien d'autre à boire
- C'est de grosses bites dont j' ai besion plutot, lui fis-je sans tourner autour du pot!
Il parut d'abord un peu surpris et me demanda combien je voulais. Il me prenait pour une pute!
- Du 25cm au moins sur du 10 et tous les menus du buffet sont gratuits.lui repondis-je en le fixant bien dans les yeux tandis que mon index se promenait sur sa poitrine toute velue.
Sur ce il m' embrassa à pleine bouche en m'enfoncant bien sa langue dans ma gorge et me dit!
- Tu vas en avoir et bien à fond dans le cul je te promet ma salope. Attends moi je reviens dans deux secondes.
Dix minutes après il était la. Il me prit simplement par la main et m' emmena dans une salle qui semblait être une salle de jeu et qui se trouvais dans l'arrière salle. Il y avait une table ronde au milieu de salle.


Il me fis asseoir sur la table. Ensuite, il m'écarta bien les jambes et les mis autour de lui en m'embrassant fougueusement comme au bar .Puis il glissa ses mains sous ma jupe et emit un '' putain la salope'' éloquent quand il s'apercut que je n'avais rien en dessous. Il glissa un index dans ma fente et s'apercut que j'étais déjà toute mouillée, trempée à vrai dire. Sans tarder, il se défit ,fit tomber son pantalon et me présenta un énorme mandrin au gland surdimensionné qui pointait vers le plafond!


-Tu la veux hein, tu vas l' avoir bien a fond!
Il me releva alors les jambes bien haut et m'enconna d'un coup. Moi qui n'avait jamais baisé en dehors d'un lit, le faire dans un bar avec un parfait inconnu qui m' emplissais entièrement et dont je sentais les énormes couilles battre contre mes fesses bien écartées sur le bois de la table, tout ca mettais mes sens en ébullition. Il me pillonna sans ménagement et je jouis une premiere fois sous lui en criant ma joie d'être une salope qui vit ses envies.Il se retire alors et me retourna sur la table pour me prendre en levrette. Je mouillais tellement que sa bite faisait des floc flocs à chaque fois qu'il me l'enfoncais jusqu'a la garde dans mon con dilate. Je n'en pouvais plus de crier .Il me prit les fesses a deux mains , me les malaxa , m'introduit un doigt dans le cul en me disant que j' etais bien bonne et que ce n'était encore rien que j'allais bien jouir tout à l'heure quand les autres allaient arriver pour profiter de ce si beau cul. Je jouis encore une fois en meme temps qu'il me déversait son foutre chaud au fond de la chatte en me donnant des claques sur les fesses. Il resta comme ça! En moi pendant une bonne minute puis il se retira en me laissant un grand vide dans le ventre!


- Il se rhabilla puis parti sans même me dire quoique ce soit...



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 15:51

Je me présente je m'appel franck et j'ai 33ans. L'aventure qui mes arrivé est réel.
travaillant dans le dépannage informatique je rencontre beaucoup de gens, je vais souvent chez les même client donc pour des problèmes banale un grand groupe fait appel à nos service,le service planning de chez nous m'envoie règler tout ca;
Le lundi matin j'arrive à l'acceuil du groupe en question pour me présenter et je tombe sur une jeune femme assez jolie à mon gout,et très agréable en plus elle me propose un café et me donne les détails des soucis je m'affaire sur ceux là,et à la fin de la journée je lui dit quil faut que je revienne ,mais que je ne pourrai pas avant le vendredi elle me dit qu'elle peut attendre jusque là.


Le vendredi je retourne donc chez mon client, j'arrive donc après 3heures de route pour être acceuilit d'un charmant sourire mon hotesse était splendide quel plaisir.je fait mon travail jusque tard dans l'après midi et je vais voir cathy c'est comme ca quel s 'appel pour lui demander si elle connais un hôtel car je n'ai pas envie de me taper de la route mainteneant, elle réfléchit et me dit que si je veux elle peut m'ébergé,.


Nous partons donc chez elle en chemin nous bavardons et elle me dit qu'il ny que sa mère et sa soeur chez elle que son père est en déplacement à l'étranger, je suis un peu mal à l'aise elle en profite pour me taquiner .
Arriver chez elle, je suis présenter à sa mère qui est tres belle femme bien foutu mais des yeux de cochonne, et a sa jeune soeur qui n'est pas mal non plus.
Nous buvons l'apéro et ensuite nous dinons détendus, avec une conversations qui dérape vite sur le cul,inutile de vous dire que je bande, ensuite nous sommes allez au salon boire un café et la tout à commencé cathy à mis une cassettte video qui n'était en en fait qu'un film de cul plus exactement un film amateur ou on voyait la mère et cathy se faire baiser comme des chiennes je me suis mi à rebander cathy à posé sa main sur ma queue à travers mon pantalon à ensuite ouvert ma braguette et c'est mise à me branler , ensuite a demandé a sa soeur de venir lui lècher la chatte et la mère, filmer tout ça comme souvenir,ensuite la petite soeur ma pomper pendant que cathy la lèchait et la doigtait, elle était soit disant vierge mais très chaude et elle sucait bien! cathy ma dit de prendre la petite soeur qui avait la chatte bien humide: vas y défonce lui ca chatte de pucelle tu vas aimer ca ma petite salope de soeur.


Je me suis introduit délicatement forcant l'hymen de la vierge pour ensuite la défoncer à grand coup de queue.
vas y défonce moi éclate moi la moule je suis une salope comme ces deux là. Jai jouit très fort et les deux autres mon nettoyer la queue, et la chatte de la vierge;
je me suis fait sucer par la mère
'suce bien salope tu aimes ca la queue'
'j'adore il men faut tout les jours' m a t'elle répondu
cathy se faisait doigter par la petite soeur de 18ans
moi j'ai lècher la veille ,je lui défoncer la chatte pendant 10mn,ensuite je l'ai enculer comme un sauvage,
'tu aime te faire enculer '
'haaa oui vasy ramone moi comme une pute'!


Cathy est arrivée ,avec un god de bonne taille et l'a enfoncé dans la chatte a ça mère cette salope hurlait à la mort
je me suis retiré je lui tout gicler sur le cul et sa jeune fille à tout lècher j'ai été prendre une douche et quand je suis revenu cathy ma sucé en me disant je veux la total je suis vierge du cul et on ma jamais gicler sur le visage je l'ai prise par devant et ensuite je lui ai défoncé la pastille qui à vite cèder ensuite j ai retiré ma queue et j'ai tout déchargé sur sa gueule de chienne en chaleur.


Tout le week end à été comme ça j'ai aussi défoncer la cul de la petite soeur au reveil elle est venue me demander de lui décapsuler le cul ce que j'ai fait gentillement,le dimanche le mari et père est rentre sans se prendre la tête il à demandé si elles allaient bien, elles lui ont simplement repondu qu'elles ne l'attendait que pour une double pénétration le mari et moi avons pris en même temps la mère moi dans cul lui dans sa chatte,et cathy,et la petite fraichement dépuceler pour la plus grande joie de la famille on à baisé comme des sauvages et je suis partis complètement crever mais lèger je retourne souvent chez le client et bizarement toujours le vendredi pour passer des week end super



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 02:30

D'une vierge effarouchée à une femme épanouie.

Me voilà donc dans la salle de bain, nue, plus que je ne l'ai jamais été sans doute. Je viens d'être humiliée, utilisée et je ne sais pas ce que je ressens. C'est quasiment automatiquement que je rentre dans la douche. Je fais couler l'eau très chaude et essaye de me relaxer. Tout se bouscule dans ma tête mais l'eau m'apaise, je me regarde dans cette vapeur et ne me vois plus la même. Je commence à prendre conscience de ce qui m?est arrivé. Ma virginité s'est envolée d'une manière que je n'aurais pas imaginée mais j'y aie pris du plaisir. Mon corps m'appelle, il aime ces nouveaux plaisirs mais je sais que c'est mal. Je vais me venger ! Je me savonne tout le corps, je ne peux m'empêcher d'insister lorsque mes mains passent sur mes seins, et encore moins lorsque je touche enfin mon sexe, dépourvu de toute pilosité. Il est si doux que mes doigts s'y attardent. Pour la première fois et presque malgré moi, je commence à me caresser. Je sais que

je ne dois pas mais mes membres agissent sans mon consentement. Mes doigts écartent mes lèvres doucement, je frôle mon clito, il me répond tout de suite. L'eau chaude caresse toujours mon corps pendant que je descends vers mes profondeurs. Mon autre main me caresse les seins. Je voudrais avoir plus de mains, c'est tout mon corps qui me remercie d'enfin m'occuper de lui. Je brûle à nouveau de l'intérieur et le plaisir me vient de partout. Je presse doucement un de mes tétons bien bandés et suis revenu sur mon clito pour atteindre l'orgasme. Mes jambes tremblent, tous mes muscles se contractent et je ne peux m'empêcher de gémir.
Je ne sais pas ce qui m'arrive mais il est assez inquiétant de constater comme je déconnecte complètement et comme mes sens prennent le contrôle depuis ce matin. Je finis de me laver et fille dans ma chambre. Je dois traverser le couloir nue mais heureusement, il n'y a personne. Ma robe gît devant ma porte, je la ramasse et me glisse vite sous les draps après avoir enfilé mon pyjama.
- Van, on va manger, il faut que tu te lèves maintenant, et puis les vacances c'est pas pour dormir…
- Hmmmmmmmmm
J'ai dormie comme un loir. Les douces senteurs de la cuisine facilitent mon réveil. Je me sens bien ce matin et je me lève du bon pied. Cette journée sera bonne, je vais effacer tous ces tracas d'hier. Une bonne mise au point avec ma soeur et je vais essayer d'oublier toute cette affaire. J'enfile mon maillot, passe en coup de vent à la salle de bain pour me débarbouiller et rejoins le reste de la tribu. Mon frère à une petite mine mais il était là avant moi. Ma soeur me regarde avec un sourire qui en est presque inquiétant. Mes parents me racontent leurs fresques d'hier, si ils savaient… Je sourie et acquiesce sans pouvoir m'échapper du poids du regard fraternel. Nous mangeons quand soudain l'horizon s'assombrit.
- Marc nous a invité à assister à un grand spectacle à son hôtel, il passera nous prendre vers 15 h, ça ne vous pose pas de problème?
- Bien sûr que non ma chérie, c'est les vacances, amusez-vous !
- Moi j'irai pas…
- Van et moi sommes décidée en tout cas !
Dimi qui n'y va pas, et cette garce ne me laisse pas le choix. Son regard est fixé sur la caméra qui est à coté d'elle depuis le début de cette conversation, le message est clair. Le reste du repas se passe sur un ton léger mais je suis songeuse, qu'est ce qu'elle me prépare encore? Elle reste tout le début d'après midi sur la terrasse avec les parents de sorte que je ne puisse pas l'interpeller. Voyant l'heure arriver, je vais dans ma chambre et enfile un short, le plus long en fait. En dessous j?ai pris soin de mettre ma culotte la plus sage (parmi les sages) et un simple T-shirt couvrant un soutien gorge sans fantaisie aucune. Ma soeur est à la sortie de ma chambre et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit :
- C'est peine perdue, c'est pas en t'habillant ridicule que tu vas t'en sortir… Il y aura d'autres premières aujourd'hui. Et le pire c'est que je ne suis plus sure de te faire payer quelque chose ! Je me demande si je ne te rends pas service? Mais bon, c'est drôle alors…
Je suis encore sans voix, qu'est ce que je peux répondre? Je commence à me rendre compte comme elle a pris le dessus. Avant de songer à me venger, je ferais mieux de me concentrer sur mon salut. Et ma seule chance c'est de retrouver la cassette. Ca sera désormais mon objectif numéro 1. La sonnette me sort des mes considérations stratégique. Je suppose que c'est l?autre porc !
- Ah te voilà… Tu as l'air en forme !
- Oui, ça va pas mal du tout… Notre jouet est prêt ?
- Oui, elle arrive… VAN !!!!!!
J'avance dans le hall, je n'ose pas lever les yeux. Un jouet? Non mais ça va pas ou quoi?
- T'es en forme cochonne? J'espère parce qu?on va bien s'amuser aujourd?hui…
Je reste silencieuse, il n'y pas de commentaire à faire devant des stupidités pareilles.
- Elle ne parle plus… Elle devrait en profiter, elle ne sera peut-être pas en mesure de le faire toute la journée !
Et les voilà repartis dans un fou rire ! Ils s'entendent bien, pourquoi ils s'acharnent sur moi ? Je suis invitée à les suivre jusque dans la voiture. On me fait asseoir devant, à côté du sac de testostérones. A peine sur la route qu'il pose sa main sur ma cuisse. Il discute de tout et de rien avec ma soeur tout en me caressant les jambes. Si ce n'était pas lui ça ne serait pas désagréable mais je reste en pleine possession de mes moyens. Apres 5 bonnes minutes de routes, ma soeur l?interrompt :
- C'est encore loin l'hôtel ?
- Je ne sais pas… Encore 5 minutes !
- Bon il est temps alors ! Donne moi tes sous vêtement de pucelle, ils ne te vont plus de toute façon !
- Quoi? Comment veux tu que je?
- C'est simple, tu enlèves ton T-shirt et ton short, tu enlèves ce qu'il y a en dessous et tu te rhabilles. C'est pas si compliqué non?
Je ne bouge pas, mais comme si tout était prévu, ma soeur tire sur le haut tandis que l'autre s'attaque aux boutons de mon short.
- Ca va, je vais le faire, c'est bon !!!!!!!!
Il n'y a pas une circulation très dense sur cette route mais on croise quand même des voitures. J'enlève mon T-shirt puis mon short, mais c'est moins facile dans cet espace restreint. Je dois me tortiller dans tous les sens. Marc ne doit plus regarder la route… Il ralenti d'ailleurs. Je m'arrête à nouveau, je ne peux pas me mettre nue comme ça. Ils vont arrêter ce jeu stupide.
- Tu te magnes ou on va être à l'hôtel avant que tu aies fini.
Je vois en effet le début de station balnéaire à l'horizon, mais ce qui m'inquiète encore plus c'est le feux rouge qui est à mi-chemin entre nous et les premiers hôtels. Le temps m'est compté et il accélère le bougre. J'enlève mon soutient et repasse mon T-shirt presque aussi vite. Je tire sur ma culotte et l'enlève tout aussi rapidement, mais j'ai de la peine à faire passer mes genoux au short. Et pendant que je me débats avec le tissu de manière de plus en plus stressée la voiture s?immobilise. A cote d?un 4X4 avec des jeunes dedans, ils sont surélevés et doivent avoir une jolie vu sur le dessus de mon minou tout lisse. Marc baisse la vitre électrique pour nous faire profiter des cris, insanités et autres compliments qui nous viennent d'à coté. J'arrive enfin à me rhabiller. Le feu passe au vert et on avance de nouveau, mais le 4X4 reste près de nous. Les mecs ne semblent pas près à lâcher l'affaire. J'ose enfin relever les yeux vers eux. Ils sont 4, assez mignons et de notre age. Ils crient et gesticulent. Je dois être rouge comme une pivoine. Marc roule lentement et je voudrais qu?on soit déjà dans ce maudit hôtel.
- Donne moi ton T-Shirt ! Marc on change de route, tu continues, trouves un endroit tranquille.
Alors que je ne bouge pas, ma soeur saisit le bas du vêtement et commence à tirer fort dessus. Elle va finir par le déchirer, alors au milieu des applaudissements de nos voisins je lève les bras et me retrouve aussitôt seins nus. La honte me gagne encore plus mais je sens aussi l'excitation qui renaît en moi. Je me concentre pour ne pas la laisser m'envahir. Je ne suis pas de celle là, je ne suis pas comme ma soeur. Je dois garder le contrôle. Nous traversons maintenant la ville. Avec le tintamarre de la voiture voisine, tous les touristes regardent vers nous, et ma poitrine ne peut pas leur échapper. Ca ne doit pas être extraordinaire ici, le sein nu est une pratique courante mais pour moi ! Dès que nous sortons de l'agglomération, Mes efforts pour rester insensible sont mis à mal quand me soeur passe ses bras autours du siège et me prend les deux lobes en main. Les 4 jeunes deviennent fous et je me sens de plus en plus mal. Elle me caresse très délicatement, mes tétons lui répondent immédiatement. La main de Marc sur ma cuisse est de plus en plus haute, il glisse le début de ses doigts sous mon short. Je ferme les yeux, je ne veux plus penser. Mais le régime moteur qui baisse et le bruit du clignoteur me ramène vers la terre. Notre voiture s'engage sur une voie de terre. Je suppose que l'autre voiture est juste derrière nous. Après quelques centaines de mètres, on se retrouve devant une belle falaise. La vue est splendide, les mouettes nous regardent de haut et le bruit de la mer sonne faux au milieu du bruit de nos nouveaux amis tellement il est doux. Ma soeur est la première dehors et elle ouvre ma porte :
- Tu sors, tu obéies et tu ne dis rien compris ! Je ne veux pas non plus que tu regardes par terre, sinon il y a assez de mecs ici pour te le faire regretter ok?
Je sors donc, torse nu, mes seins gonflés pointant fièrement. Et je regarde donc les gars s'extirper rapidement du 4X4.
- Salut les gars, on a un petit service à vous demander… Mais y faudra bien respecter les règles hein… Sinon on arrête tout ok?
- Tout ce que tu voudras beauté, explique !
- Voilà, ma petite soeur n'a jamais sucé, elle a besoin d?entraînement ! Mais vous la touché pas ok. Vous nous prêter juste vos queues et en échange vous avez une pipe ! Ok?
- On lui touche juste les seins d'accord? Ils sont trop biens pour ne pas y toucher.
- Ok, marché conclu.
Je n'ose pas croire ce que j'entends. Elle ne veut quand même pas faire ça… Mais je n'ai pas le temps de douter longtemps ! Alors qu'elle revient vers moi je vois les gars qui tombent le short et les caleçons et qui avancent doucement, les membres en main vers moi. Ma soeur passe derrière moi et pendant qu'elle fait doucement descendre mon short dévoilant encore une fois mon sexe :
- Tu vois soeurette, c'est pas drôle de sucer une queue molle, alors en te déshabillant comme ça devant eux, on va essayer le leur filer tout de suite la gaulle.
Ils sont maintenant tous les 4 devant moi et en quelques secondes je me retrouve complètement nue et offerte. La peur à pris le pas sur l'excitation de tout à l'heure et je me demande vraiment ce qui va arriver. Elle recommence à me caresser mais cette fois, ces mains venant toujours de derrière passe sur tout l'avant de mon corps. Elle est délicate et sait y faire. Ses caresses se font de plus en plus appuyées et précises. Ses mains se plaquent sur le haut de chacune de mes cuisses et les tirent pour qu'elles s'ouvrent. A quoi bon résister, je ne peux que perdre. Je laisse donc mes jambes s'ouvrirent pensant que ses doigts allaient venir s'y introduire :
- Toi, tu bandes bien maintenant, tu seras le 1er. Avances toi !
Il a un plus petit membre que Marc, il avance pendant que Virginie appuie sur mes épaules pour que je me mette à genoux.
- Vas-y maintenant, madame je sais tout.
Mais là je ne sais pas quoi faire. Je prends cette chose du bout des doigts, c'est le premier que je touche. Ma soeur s'impatiente :
- Alors ! Tu veux qu'il débande?
Je m'apprête donc à prendre ça en bouche quand me soeur me tire la tête en arrière :
- C'est pas possible… Laisse moi te montrer, mais regarde bien.
Elle prend ma place, et en regardant le gars dans les yeux, elle commence à le lécher. Avec une main elle joue avec ses bourses et avec l'autre elle lui tient le sexe. Elle lui titille maintenant les testicules avec sa langue, il semble aimer. Ensuite elle remonte d'un coup et avale l'objet. Elle entame un mouvement long mouvement de va et vient tout en continuant à le caresser avec une main. Elle lui lèche le gland de temps à autre avant de l?enfourner complètement de nouveau. Apres quelques minutes de ce traitement, l?homme vibre de tout son corps. Elle se relève :
- J'arrête ou il va jouir… T'as bien vue, à toi maintenant. Et tend bien tes fesses en arrière.
Je reprends ma place, et m'applique sur le sexe du gars, je le lèche d'abord prudemment puis de plus en plus goulûment. Il me malaxe les seins, de manière plus brutale que ma soeur, j'aime moins. Je commence à aimer ce que je fais, j'en suis la première surprise. Ca me plait mais mon ventre n'est pas en feu. Tant mieux, je maîtrise mieux. Au plus ça me plait et au mieux je dois le faire car il a aggripé mes cheveux et tremble.
- On dirait que ça vient vite… ça doit être dans les gènes ! Ne me fais pas honte, avale tout !
Et je sens son membre tressaillir dans ma bouche, les spasmes se succèdent et le liquide afflue dans ma gorge. J'avale ce que je peux mais j'en recrache. Le goût est spécial. Je ne peux pas dire si j'aime ou pas. En tout cas, assez paradoxalement vu ma situation, je suis assez fier de moi. Mais ma mâchoire commence à me faire mal.
- C'est pas mal ma puce, mais pour les prochains, pense un peu plus aux couilles et à bien lécher le gland. Et n'hésite pas à saliver dessus !
Un cours de fellation, en pleine nature. Je suis nue, du sperme au coin des lèvres, à sucer des inconnus et je commence à y trouver une certaine satisfaction. Le deuxième avance, il en a vraiment une petite, ça sera moins éprouvant. Je commence à m'occuper de lui quand je sens quelque chose sous moi. Ma soeur est passé sous moi et commence immédiatement à me lécher. Mon dieu que c'est bon, et ce sexe dans ma bouche devient de plus en plus excitant. Celui là me caresse beaucoup mieux les seins et ma soeur s'acharne sur mon clito. Je redeviens folle, je dévore cette bite, j'ai envie de juire encore ! Elle passe maintenant de mon clito à mon anus, c'est la première fois qu'on me touche là, c'est exquis. Je n'en peux plus, lui non plus ! Je lui caresse les boules et il vient encore en moi. Cette fois j'avale tout et j'aime ça. Le sperme augmente encore mon plaisir. Je me sens partir quand d'un seul coup je sens un doigt dans mon anus, il commence un va et vient. Je me retourne, je vois Marc agenouillé à coté de la tête de ma soeur. Ca fait mal au début et puis ça passe assez vite. Les deux suivants sont maintenant devant moi, en même temps. Ils ont déjà eu le temps de bien se commencer j'espère car malgré le plaisir, je ne sais presque plus ouvrir la bouche. Le doigt coulisse tout seul et le plaisir remonte maintenant. Je ne peux plus que les lécher timidement l'un après l'autre en les masturbant mais ça ne semble pas suffire :
- Elle triche, le deal c'était une pipe et pas une branlette ! C'est pas correct.
Ma soeur m'abandonne au bord de l'orgasme pour constater le fait :
- C'est vrai, et les tricheuses sont toujours punies ! Venez avec moi… Marc appliquera la sentence et moi je m'occupe de vous pendant que vous regardez ça !
Elle les prend par la main et les entraîne derrière moi. Je tourne la tête pour juste avoir le temps de voir Marc cul nu, à 4 pattes derrière moi. En une seconde son doigt est remplacé par son gros manche. Ca me déchire ça fait mal. Ma soeur m'appelle, je me retourne. Elle est en train de les sucer :
- Touche toi le clito, ça passera mieux…
J'ai les larmes aux yeux tant le douleur est forte mais j?obéis encore. Je commence à me caresser. Et tout le plaisir accumulé qu'elle n'avait pas laisser se libérer remonte vite. Et les coulissements de Marc sont de moins en moins désagréable. Que du contraire… D'un coup j'imagine la scène de plus loin. Je suis nue devant 5 mecs en tout et ma soeur, à 4 pattes avec un sexe dans l'anus et en train de me caresser. C'est tellement honteux mais délicieusement bon. Je sens que mon petit trou est encore plus écartelé par les contractions du sexe de mon tortionnaire. Il va jouir et je perds pieds aussi. Je suis secouée par de long spasme, nous jouissons ensemble et pour la deuxième fois je sens son liquide couler en moi. Il se retire comme la première fois, sans même s'occuper de moi. Mon cerveau reprend enfin le contrôle. Je vois ma soeur recevant le plaisir des deux hommes en pleine face et elle semble apprécier. Le sperme dégouline entre mes fesses comme sur son visage. Les autres se gavent encore de ma nudité en me détaillant sans retenue. Celui avec la plus petite bite s'approche de moi et me tend un mouchoir avec un sourire gentil. Je suis traitée gentiment, ça faisait longtemps… Je le prends, je suis vraiment honteuse maintenant et j'aimerais partir, ou tout du moins m'habiller. Je m'essuie, ma soeur aussi. Elle remercie les gars de nous avoir aider. Je ne crois pas que ce fut vraiment désagréable pour eux mais bon… Une fois qu'ils sont remontés dans leur 4X4, elle me tend mes vêtements :
- Tiens petite traînée, mais ne t'en fais pas, tu ne les garderas sans doute pas très longtemps, la journée ne fait que commencer ! On va aller à l'hôtel, même si on a du rater le début des festivités.
- Merci…
Mon arrière train me fait mal mais je grimpe dans la voiture. J'appréhende le reste de la journée.



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 02:01

La première des choses à faire quand on rencontre quelqu'un n'est-elle pas de se présenter ? Je le pense, et cette règle est aussi valable avec des lecteurs, aussi puisque vous vous apprêtez à suivre la première des mes histoires, je vais commencer par cela :
Je m'appelle Vanessa et suis une jeune fille de 20 ans, une étudiante en commerce appartenant à une famille bourgeoise, je suis de nature curieuse et plutôt aventurière mais aussi très gentille et assez sympa paraît-il. Je suis brune, avec des cheveux assez courts à la garçonne mais très féminine, de toute façon, mes formes ne me laissent pas le choix ! Disons que la nature m'a fait très femme, je suis pulpeuse, des fesses et des seins à damner un saint, pas de fausse modestie, pas entre nous ! Qui plus est, j'ai un visage tout en finesse, qui donne envie de me protéger si j'en crois les hommes qui peuplent ou ont peuplé ma vie.


Mais venons en à l'épisode de mes frasques que je vais partager avec vous cette fois. Je vais simplement vous le narrer au présent, je trouve cela plus vivant.


Ma famille est très unie, et les vacances d?été sont sacrées, c'est le moment de l'année où tout le monde se rejoint, impossible d'y échapper et de toute façon, je ne le voudrais pas. C'est donc tous les 5 (mes parents, mon frère et ma soeur) que nous prenons pied dans la magnifique villa que mon père nous a louée sur la côte tunisienne. Il n'est que neuf heures du matin et l'air est déjà délicieux. J'adore la chaleur mais à la seule condition qu'elle soit rendue supportable par le vent de la mer et c'est le cas. Le choix des chambres pour les enfants? se fait comme ce fut toujours le cas : ma grande soeur, aînée du groupe pour une malheureuse année, prend la plus belle, celle qui donne sur la mer, mon petit frère, toujours compatissant à mes déceptions prend la plus petite pour me laisser l'intermédiaire, ce qui m'offre une vue somme toute agréable sur des oliviers. Je défais mes valises et reste immobile quelques instants quand vient l'instant de ranger mes sous-vêtements, pas de problème avec mes culottes et soutiens gorge normaux, mais je ne sais pas où mettre l'ensemble en dentelle que mon meilleur ami m'a offert. Je ne sais pas pourquoi je l'ais pris en fait ?

(Nico est un ami d'enfance, on se connaît depuis toujours et il ne se passera jamais rien entre nous, mais on ne se cache rien et on délire souvent à propos du sexe. Nos vies à ce niveau sont encore très sages, moi par choix et lui par obligation, il est obèse.)


Enfin, il faux que je range ce cadeau d'anniversaire dans un endroit où aucun regard indiscret ne se perdra. Et je le mets donc au-dessus de l'armoire, sous ma valise vide. Maintenant que tout est rangé, il est 11 heures et j'ai un coup de barre… J'ais envie de dormir, j'allais m'allonger sur le grand lit moelleux quand mon père nous convie tous au premier apéritif des vacances. Il est si enthousiaste que je ne peux pas lui refuser ça ! Mais je ne peux plus supporter ces vêtements qui m'étaient indispensables à Bruxelles. Je m'éjecte donc de mon jeans et de mon chemiser à la vitesse grand V et me retrouve en sous vêtements dans ma chambre. Mon regard croise immanquablement le grand miroir et je ne peux m'empêcher de penser à Nico qui trouve ridicule que je ne porte que des culottes en coton et les soutiens gorges qui vont avec. C'est vrai que cet accoutrement de pré pubère ne cadre pas vraiment avec ce que je dois mettre dedans… Mais je n'ai pas le temps de m'épandre sur le sujet, la deuxième somation vient déjà de tomber, j'ôte donc ce qu'il me reste pour enfiler mon maillot de bain. Un joli maillot une pièce, avec le dos nu mais qui a bien fait rire ma soeur quand on l'a acheté ! Sous prétexte qu'elle est la définition vivante de la dépravation, elle se croit habilitée à se moquer de moi qui suis, je veux bien l'admettre, un peu de l'autre côté de la moyenne. De toute façon, je ne lui porte que très peu de crédit, elle ne le vaut pas ! J'arrive le long de la piscine et comme pour confirmer mes pensées, mon père est en train d'essayer d'expliquer à ma soeur que les quelques cm carrés qui couvrent son corps ne peuvent pas décemment être appelé maillot mais ma soeur ne veut rien entendre et répond sans cesse que c'est le seul moyen d'optimiser son bronzage. Je ne suis pas sûr que cela soit son unique motivation, ou seulement quand nous sommes en famille ! Quoi que… En tournant les yeux, je vois mon frère qui ne la regarde pas vraiment fraternellement. Et je ne peux pas lui en vouloir, il n'a que 18 ans le pauvre, et il est si timide qu'il en connaît encore moins sur les femmes que moi sur les hommes. Et ma soeur vient promener son corps si peu couvert devant son nez. Elle, en dehors de son caractère que je vous ai un peu détailler avant, elle est comme moi, on nous prend souvent pour des jumelles, des corps si ressemblant pour des esprits si différents… Heureusement, elle porte les cheveux bien plus long et ça évite au moins toute confusion ! En tout cas, elle n'a que faire des remarques de mon père, prend le verre de Porto qu'on lui a servi et va s'asseoir sur un transat le long de la piscine. Ma mère qui elle s'est fait une raison passe devant moi et me propose un verre de Batida. En temps normal je ne bois jamais, mais les vacances sont une période particulière et j'accepte donc. Je m'installe à l'ombre de la tonnelle, à côté de mon père. Dimitri prend une bière et va s'asseoir près de Virginie. Ma mère s'installe enfin et les discussion s'enchaînent, on parle de tout et de rien, on est ensemble et pendant ces instants, Virg semble oublié de joué son personnage et devient une personne intéressante, presque sensible par moment. Mes parents sont heureux, ça se voit, les vacances commencent ! Nous passons ensuite à table où quelques verres de rosé se vident encore et c'est en me levant du banc que je me rends compte comme ces quelques malheureux verres ont de l'effet sur moi : mes jambes me semblent faibles et ma tête tourne, cela ne doit pas passer inaperçue car le reste de la table rentre dans un long fou rire. Je suis vexée, ils ont bu 2 fois plus que moi et c'est moi qui ait de la peine à me déplacer jusqu'au transat ! Je le met de suite en position couchée, pose une serviette sur mon visage et décide de dormir un peu. Je suis réveillée par la voie de mon père qui demande aux deux autres d'être sage et de ma laisser dormir pendant qu'il va faire les courses avec ma mère. Je suis donc éveillée sous ma serviette mais ne bouge pas, je suis encore fâchée pour tout à l'heure. Je les entends arriver en discutant, et je n'ose pas croire ce que mes oreilles me rapportent quand j'entends Virginie expliquer qu'elle va profiter de cette absence pour faire du top less et de demander à Dimitri de bien vouloir la prévenir si il entend les parents avant elle. Il semble trop d'heureux de cette nouvelle perspective pour lui refuser ça. Je ne vois rien mais je ne doute pas que les gestes aient accompagnés la parole. J'imagine ses seins libres devant notre frère qui doit sans doute faire des efforts pour ne pas laisser apparaître son émoi sous son maillot. Les transats bougent délicatement autour de moi, je vais finir par croire qu'elle essaye vraiment de ma laisser dormir, ce n'est pourtant pas son style. Que peut elle bien avoir dans la tête? J'entends Dimi rentrer dans l'eau qui doit être bonne. La situation semble se figée et je suis un peu surprise que tout se passe si calmement. Je commence à me rendormir lorsqu'une phrase éveille toute mon attention. Elle lui demande de lui passer de la crème dans le dos, elle ne recule devant rien, elle va donc jouer avec son propre frère… Elle sait que de nous trois elle est la seule à ne plus être vierge, et que si moi c'est parce que je le veux, lui c'est parce qu'il ne peut… Il m'a déjà dit qu'il en pouvait plus, que les femmes le rendaient fou et elle le sait aussi, mais elle lui demande de lui caresser le dos en toute fraternité et sans arrière pensées bien sûr ! Mais je ne peux pas penser plus longtemps car je l'entends sortir de l'eau, ses pas sont brouillant, je sens une goutte ou deux tombées sur mes jambes quand il passe près de moi et il s'arrête peu après, elle c'est donc installée tout près de moi la cochonne. Elle lui demande de s'essuyer correctement et lui indique de s'asseoir par terre près d'elle pour faire son travail. Elle lui parle comme un contremaître à ses ouvriers alors que c?est sensé être lui qui lui rend service et il ne bronche pas. Et la voilà qui ronronne presque :  hummm, plus haut… Tu es adroit ! ? et vas-y que j'en remet une couche. Je suis révoltée mais je ne sais pas quoi faire, je cherche un moyen de faire stopper ça quand soudain je n?entends plus rien. Le silence ne dure que quelques secondes avant que mon frère ne laisse échapper un ? mais ? ? très interrogateur. Elle lui réponds d'une voie plus douce que d'accoutumé :
- Quoi ? On est frère et soeur non ?
- Ben justement, je peux quand même pas faire ça, et puis cette partie tu peux la faire toute seule non ?
- Mais je suis une fainéante, et puis comme ça, tu me fais un câlin de frère à soeur et tu peux t'entraîner à toucher une femme, des seins… Et puis ça ne va quand même pas t'exciter de toucher ta propre soeur ?
Je ne peux pas croire ce que j'entends. Je dois être en plein rêve psychédélique à cause de ce que j'ai bu au repas ! Elle n'est pas en train de lui proposer de l'huiler de l'autre côté ?
- Bon, après tout tu as raison, et puis c'est toi qui vois !
- Bonne décision, et puis ça ne doit pas être si déplaisant…
Et il va le faire ! Je voudrais me lever, pour les obliger à cesser, mais quelque chose me paralyse, je ne bouge pas, je me surprends à attendre la suite. Et elle vient vite, j'entends les clapotis de l'huile solaire. Je ne peux plus me contenter du son, je me tourne et bouge la serviette dans le même temps pour me dégager un angle de vue, le temps que mes yeux s'habitue à la lumière et je les vois. Ma soeur allongée sur le dos, les yeux clos et ses seins arrogants exposés, je ne pense plus les avoir vus depuis nos 12 ans mais en fait si, ils exactement comme les miens ! Et lui, il me tourne le dos, je voudrais bien voir les expressions de son visage. Il lui passe le produit sur le ventre, il passe lentement. Il remonte doucement, comme si il n'était pas sûr qu'il puisse, il lui frôle le bas des seins. Cette situation me répugne mais je ne peux pas empêcher mon bas ventr'e de se réchauffer, je suis parcourue de sensations étranges. Il remonte maintenant plus franchement et palpe tout le bas du sein, ça lui remplie bien la main. Il lâche ses nouveaux jouets un instant pour remettre de l'huile, puis il passe sa paume sur les tétons déjà bien dardés. La bouche de ma soeur est mis ouverte, elle tient sa lèvre inférieure entre ses dents et mon frère la caresse maintenant ouvertement, plus rien à voir avec de l'huile solaire. Il ne semble pas aussi gauche que je l'imaginais. C'est de plus en plus révoltant mais ces sensations dans mon ventre s'accentuent, je sens mon intimité s'humidifier et j'ai honte de cette situation. Ma main se dirige inconsciemment vers le bas de mon maillot, elle passe sur mon sexe au dessus du tissu et ça me fait du bien. Mon doigt passe sous l'élastique quand le coffre de la voiture nous rappelle tous à l'ordre. Ma soeur se relève comme un soldat pour remettre la deuxième partie de son maillot, mon frère saute dans l'eau et mes bras reprennent leur position le long de mon corps !
Mes parents arrivent, mon père crie depuis le garage qu?il a besoin d'aide pour décharger, que tout le monde est de corvée. Je feinte de ma réveiller, ma soeur à un sourire jusqu'au oreille, elle fixe mon entrejambes :
- On dirait que tu as fait de beaux rêves?
Mon maillot laisse paraître l'humidité de mon sexe, je ne peux rien répondre, je suis confondue, je la déteste ! Je me retourne et commence à marcher vers la voiture, 200 choses se bousculent dans ma tête : ma soeur est une salope, j'ai été excitée par cette situation, elle le sait… Quand tout à coup, deux mains dans mon dos me pousse à l'eau :
- Comme ça, ça ne se verra plus, il ne faudrait pas que quelqu'un d?autre le remarque !
- Remarquer quoi?
Mon frère n'avait rein compris et c'était déjà une bonne chose, quand à ma soeur, j'allais presque lui dire merci! pour m'avoir jetée à l'eau. Cette eau dont je sortais en même temps que mon frère qui avait encore une bosse sous le maillot. On a tous déchargé la voiture et passé une après-midi tranquille. C'est la tradition de nos vacances, on reste ensemble toute la première journée. C'est donc avec surprise que j'ai accueillie la nouvelle quand mon père nous a dit vers 18 heure qu'il avait rencontré un ami de lycée au super marché, que cet homme était avec sa famille dans un hôtel tout proche et que pour cette circonstance exceptionnelle, on ne resterait pas seul pour notre première soirée mais que nous les recevrions. Je dois bien avouer que ce n?est pas une idée qui m'enchante mais bon, je n'ai pas vraiment le choix, alors pendant que ma soeur fait une vie à mon père parce qu'elle n'aura qu'une petite heure pour se pouponner, je me dirige vers la salle de bain. Je passe avant dans ma chambre, prends une robe d'été. Je prends une douche rapide où tous les évènements de la journée me reviennent en tête ! Je n'arrive pas à chasser ces images qui me troublent malgré moi ! Je baisse un peu la température de l'eau pour me rappeler à l'ordre. Je me regarde encore dans le miroir et me trouve belle. Je suis à nouveau de bonne humeur et un joli sourire s'imprime sur mon visage. Ma soeur tambourine déjà sur la porte pour avoir la place mais je ne l'entends que d'une oreille. Je me dirige vers ma robe et suis obligée de me rendre à l'évidence ! J'ai oublié de prendre des sous vêtement, et l?autre qui tape de plus en plus sur la porte. Je ne sais pas quoi faire, mon maillot est encore mouillé car j'ai été nagé en fin de journée. Je n'arrive pas à prendre de décision quand la voie de mon père m'ordonne :
- Tu laisseras quand même la place à ta soeur, sinon elle m'en voudra pour toutes les vacances !
Je décide dans la précipitation de passer la robe d'aller chercher le nécessaire dans ma chambre. J'ai l'impression d'être nue quand je franchie la porte de la salle de bain et que ce détail ne peut échapper à personne. Pourtant ma soeur rentre juste comme une furie dans la pièce sans même m'adresser un regard, mon frère me croise sans beaucoup plus d'attention qu'un sourire. Parfois mon corps trop femme me gêne, même dans cette robe sage, qui me couvre du bas des genoux jusqu'au cou, je me trouve trop provocante ! En effet, mes seins n'ont pas besoin d'un décolleté pour s'imposer et malgré leur volume, ils se tiennent bien sous ma robe, mes fesses n'ont-elles pas besoin d'être moulées, mais je ne peux pas faire moins. J'avance donc nue, sous ce fin tissu dans les couloirs vers me chambre quand ma route croise celle de ma mère qui elle est en sous vêtement justement. Le timbre de la sonnette retentit :
- Mon dieu, ils sont en avance ! Ton père est au magasin pour acheter du vin, je ne peux pas y aller comme ça, tu es la seule à être prête, tu peux les accueillir stp ?
- Bon, j'y vais…
Etait-ce possible de dire non ? Je ne pense pas, mais je suis embarrassée. Même si il semble que je sois la seule à savoir ce qu'il y a sous ma robe, ça me gêne et je voudrais y remédier au plus vite. J'ouvre donc la porte et me retrouve nez à nez avec un petit gros chauve, on le croirait tout droit sorti d'un film. La femme derrière lui est son alter ego féminin. Ils se sont échappé d'un cirque ou quoi ?
- Bonjour, vous devez être l'ami de mon père.
- C'est moi ! Enchanté de vous rencontrez, vous êtes ravissante.
Et j'accueille bobonne, ils sont mal habillés, pire que les touristes classiques. La soirée est prometteuse, merci papa !
- Notre fils est encore à la voiture qu'on a louée, il a oublié ses lunettes, il arrive.
Parce qu'ils ont procréé en plus? Je crains le pire mais j'attends devant la porte. Le courant d'air passe sous ma robe et me caresse délicatement, c'est agréable mais je garde une main sur ma cuisse, je ne voudrais pas que cette robe légère s'envole, surtout pas maintenant ! Je vois le gars arriver au bout de l'aller. Je ne le détail pas encore mais il semble clair qu'il est beaucoup plus grand que son père, par contre, plus il s'approche, plus je constate qu'il est aussi mal habillé. Etonnament, il est pas mal fait. Il semble bien musclé, dommage qu'il ait cette sale tête et ces laides lunettes. Il me serre la main délicatement et entre. C'est encore plus flagrant vu de derrière, il doit faire de la natation ou de la musculation. Je le guide vers la terrasse et en arrivant je me rends compte que tout le monde est là, et plus une chaise. On essuie quelques remarques bien grasses de la part du petit gros qui se demande pourquoi on a mis tant de temps.
- Installer vous sur les deux transats qu'on a rapprochés, il manque des chaises !
Il me faut un prétexte pour aller dans ma chambre tout de suite :
- J'ai oublié mon GSM dans ma chambre, j'arrive !
- Ah oui, je m'en suis servi pour envoyer un message, j'ai pas l'international sur le mien… Tiens, le voilà !
Même quand elle ne le fait pas exprès elle m'embête celle là. Je suis donc obligé de prendre place dans ce piège de transat. Je le fais avec 1000 précautions et finalement j'aboutis dans une position avec les jambes droites et serrées devant moi et mes deux mains sur mes cuisses. Ce n'est pas très commode mais c'est une garantie maximum ! Et mon père de m'amener un verre comme pour se faire pardonner de ne pas pouvoir m'asseoir avec eux. Et ça commence, les vieilles histoires, ce que les gens sont devenus etc… Je sirote mon verre en essayant de m'évader mentalement mais l'autre essaye de lancer la conversation avec moi sans cesse. Mon frère, pour tout obsédé qu'il semble être n'en est pas moins très prévenant à mon égard et après m'avoir fait un petit clin d'oeil lance :
- Il y a un goal de foot au fond du jardin, tu veux qu'on aille taper la balle ?
- Pourquoi pas, ça nous ouvrira l'appétit !
Je le remercierai pour ça. Je me lève avec toujours autant de précaution et prends la place à table de mon frère. Les deux garçons s'en vont en courrant. La conversation passe, c'est long, j'ai faim et il ne semble pas prêt à passer à table, mon père n'a même pas encore allumé le barbecue. ça dure tellement que sans y prendre garde, les verres commencent à s'accumuler et moi qui ne bois jamais, je commence à me sentir saoule pour la deuxième fois de la journée. Je crois que ma soeur est aussi fatiguée que moi de la conversation des adultes et alors que je venais de me décider pour retourner dans ma chambre m'invite à aller voir les gars au foot. On dirait qu'elle sait et qu'elle ne veut pas que je m'habille. Je ne peux rein prétexter pour refuser et la suit donc. Le soleil entame sa descente vers la mer et le paysage est magnifique. En marchant les quelques centaines de mètres qui nous sépare du goal, ce paysage et l'alcool m'emmène ailleurs. Mais on arrive déjà et mon attention revient sur terre, les gars jouent torses nus, et je ne m'étais pas trompée ! Qui plus est, sans ces lunettes, son visage est plutôt mignon !

- Vous venez voir les bêtes ?
- C'est ça frèro, on s'est surtout échappées !
- Je veux bien croire… Vous voulez jouer ?
- Non merci, je vais on va juste
- MOI JE VIENS
ça faisait longtemps qu'elle m'avait pas coupé elle, j'aurais du me douter qu'elle se serait jetée entre deux mâle en sueur. Je m'assois donc sur la table, les pieds sur le banc. Et je repars dans mes songes, je suis même à 2000km de là quand encore une fois je suis ramené sur terre brutalement. Le grand dadais est sous le banc, sous mes jambes, il reprend le ballon sous la table !!! Si il tourne la tête, il verra mes fesses… Et sous un judicieux conseil de ma soeur, il la tourne sa tête et doit avoir une agréable surprise avant que je ne bouge !!! Pourquoi n'aie je pas une robe serrée! Quelle honte ! Il ressort de sous la table. Si j'avais eu une culotte je l'aurais incendié mais là je reste sans voie. Lui aussi d'ailleurs, il me le paiera ! Ma soeur rie comme une folle, et si elle savait je crois que ça serait encore pire… Le grand se met à rire aussi. Je ne sais toujours rien dire ! Mon frère avance vers lui et alors que le grand allait parler il lui met tout bonnement une droite en pleine mâchoire. L'autre s'écroule et mon frère m'emmène par la main vers les parents. Je me retourne et vois me soeur se porter au chevet de l'autre.
- Vous tombez bien, on va passer à table ! Ta soeur arrive ?
- Oui, elle ne va pas tarder, elle ramasse nos déchets et elle vient !
Le repas se déroule bien avec des conversations plus agréables mais par contre, les bouteilles continuent de se vider sans relâche. Les vieux sont de plus en plus en forme et en ce qui concerne les jeunes, je crois pouvoir dire que je ne suis pas la seule à être de moins en moins sobre. Je crains leur conversation mais le grand qui s'appelle Marc et ma soeur, qui sont l'un à coté de l'autre n'arrête pas les messes basses et rigolent sans cesse en regardant dans ma direction ! Dimi lui boit de plus en plus et les vieux en rigolent en prévoyant sa chute dans les prochaines minutes… Je vois ma soeur partir aux toilettes et ça me donne une idée au travers du brouillard qui s''nstaure dans mon esprit. Dès qu'elle revient, je simule un besoin urgent pour passer dans ma chambre et me couvrir le minou. Chose dite chose faite, je me dirige dans la pénombre vers la maison, arrive dans la cuisine et prends le couloir vers ma chambre. Je clinche mais la porte ne s'ouvre pas ! J'essaye encore, pas moyen. Elle est fermée à clef, comment est-ce possible! Je me dirige alors vers la chambre de ma soeur me disant qu'un string vaut mieux que rien mais elle est fermée aussi ! Trop pour être une coïncidence, je n'ose pas comprendre. Cet imbécile a bien vu mes fesses mais ne l'a pas gardé pour lui, et ma soeur ne pouvait pas rester sans exploiter ça. Je retourne donc à table, toujours cul nu. Et Dimi lui est bel et bien tombé, il est sur un transat inerte. ça lui arrive de temps en temps. Je m'assois et je vois les deux du fond avec des sourires béats, Marc lève la main, l'ouvre et je vois les deux clés. Il descend alors la main vers son short et me la remontre ensuite sans rein dedans. Pendant ce temps mon père s'est levé avec le gnome obèse pour mettre mon frère dans son lit. Et quand il revient il me donne un coup de masse :
- On va aller boire un verre en ville, vous venez avec?
- Non merci papa, je suis un peu fatiguée, je vais rester là.
- Je reste là avec Marc, on ne va pas laisser Van toute seule ici !
La garce, moi qui me croyais tirée d'affaire. Les parents partent en nous promettant de ne pas être long. Ils ne le croient pas plus que nous mais bon. Et me voilà seule avec les deux pervers, j'appréhende. Et j'ai raison, à peine la porte fermée :
- Alors petite soeur sainte nitouche! J'en apprends des choses…
- De quoi tu te mêles ?
- Disons que ça surprend, tu me surprends 2 fois sur la journée, déjà toute à l'heure au bord de la piscine !
- Qu'est ce qui c'est passé au bord de la piscine, raconte, j'étais pas là !!!!
De quoi il s'occupe l'autre abruti, il a l'air encore pire qu'elle… Et moi je ne sais plus quoi dire, elle n'assène que des vérités. Je n'ai pas de culotte et pour la piscine c'est vrai aussi !
- Cette cochonne s'est touchée en regardant notre frère me mettre de l'huile solaire !
- Mais ce n'est pas vrai !!!!!!!!!!!
- Ouah, elle est terrible ta soeur ! C'est une chaude.
- Toi ta gueule, rends moi plutôt ma clé !
- Viens la chercher, tu sais où elle est !
- JAMAIS, je ne mettrai jamais les mains là-dedans…
J'étais au bord des larmes, je ne voulais qu'être dans mon lit, dans ma robe de nuit !
- Bon, et bien pas de clé alors !
- Attends, c'est ma soeur quand même, on peut trouver un compromis… Tu nous donnes ta robe et on te rend la clé !
- Tu rêves ou quoi ? Que je me mette nue ici? Devant lui? Plutôt mourir ! Si il faut j'attendrai le petit matin que les parents rentrent ! Je vais aller dormir avec Dimi et c'est tout.
- Mais c'est ce qui va arriver, tu vas te faire tuer si tu ne fais pas d'effort! Marc dira que dès qu'ils sont partis, tu as essayé de l'emmener dans ta chambre, que tu étais comme folle, que tu t'es montrée sous toutes les coutures que tu ne portais pas de sous vêtements.
- Je dirai le contraire, papa me croira ! Qui pourrait croire à cette histoire ?
- Je serai obligée d'appuyer la version de Marc, à contre coeur car tu es ma soeur, et je dirais que ça m'a choqué de voir ça mais que c'est tout bonnement inacceptable.
Je suis désemparée, comment les parents vont-ils réagir! Me croire moi ou ces deux cinglés! Je devrai admettre que je n'avais pas de sous-vêtements, qu'il a vu mes fesses ! Et même si ils ne les croient pas, il y aura toujours un doute… Mais d'un autre côté me mettre nue, devant ma soeur et lui ! Alors qu'aucun homme ne m'a vue en tenue d'Eve ! Quel dilemme… Les secondes me paraissent des heures, je ne bouge plus, j'attends que quelque chose arrive !
- Bon, je vais aux toilettes, quand je reviens tu prends une décision ! C'est la dernière limite, après il faudra qu'on travaille notre histoire avec Marc pour être crédible au maximum !
- Tu me le paieras ! Je te le jure…
- Mais oui… Bien sûr !
Elle s'en va, sans même me regarder pour me parler ! L'autre est là, planté en face de moi, les yeux tout brillant. Si il savait comme je le hais à cet instant, ça calmerait sans doute ses pulsions d'animal en rute. Le bruit de la chasse d'eau m'indique que je dois me décider !
- Alors tu fais quoi? Tu t'es décidée ?
- …
- Fais vite ma belle, t'inquiètes pas pour moi, on est fait pareil, c'est comme si je me regardais dans un miroir avec une nouvelle coupe.
- Dis lui de dégager et je le fais !
- C'est lui qui a les clés ma puce…
Je suis a bout, l'alcool n'aide pas mes réflexions…J'agis sans m'en rendre compte, je suis comme un robot. Je défais la tirette sur le côté, je laisse les bretelles tombées sur mes épaules toutes seules, la robe tient toute seule sur mes seins. J'aurai préféré qu'elle tombe toute seule, là, je dois utiliser une main pour lui faire passer ma poitrine. Je mets aussitôt mon bras devant mes seins, ça ne cache pas tout, loin de là mais c'est déjà ça. Avec ma main libre je fais péniblement glisser la robe le long de mes hanches. Ils me regardent tous les de manière presque étonnée, ils ne ratent pas une miette de ce que je suis obligée de leur offrir. La robe glisse jusque sur mes chevilles, mon autre main cache maintenant ma toison. Je dégage mes pieds de la robe et garde la tête vers le sol. Je ne veux pas affronter leurs regards une seconde de plus.
- Tu dois lui donner ta robe petite soeur, pas la laisser traîner par terre comme ça !
- C'est bon là non ? Allez donne moi la clé toi !
- Donne moi la robe alors…
Au point où j'en suis, je me baisse en continuant de cacher mes seins et utilise mon autre main pour prendre la robe et la tendre à cette espèce d'animal.
- Ouh là là ! Ne me dis pas que tu ne rase pas ça ma puce ? C'est une vraie forêt vierge… C'est pas possible ça. Tu as 20 ans, il faudrait penser à devenir une femme.
Pendant ce temps l'autre a déjà reculé de 2 mètres avec ma robe puis fait demi tour et pars vers les chambres !
- Bon, y fait quoi là! Et ma clé?
- Attends, il est parti mettre ta robe en lieu sûr. C'est incroyable comme tu es crédule !!! Tu crois vraiment qu'il y avait UNE chance pour que les parents nous croient! Pas une non ! Et t'as vraiment cru qu'on allait arrêter de jouer alors que te voilà seulement vraiment vulnérable? Toutes les fois où tu as mis ton grain de sel pour dire que j'étais une vraie salope dans les discussions de familles, toutes les fois où tu m'as balancée… C'est le début de l'addition aujourd'hui, et la note est lourde !
Mais ce n'est pas vraie cette histoire, elle est folle, je n'ai jamais fait tout ça ! Ou je ne m'en rendais pas compte, ce n'était pas fait exprès ! Jusque où ils vont aller… J'en ai complètement oublié que je suis nue, c?est quand l'autre imbécile, outil heureux de ma soeur, est revenu que je me suis de nouveau senti gênée. Il me regarde, me détail tant qu'il peut. Je me sens de plus en plus étrange, de nouvelles émotions s'ajoute à la honte, j'ai peur que la situation m'excite ! Mon bas ventre est de nouveau chaud, je repense aux images de cet après midi tout se mélange.
- Tu as l'air troublée ? J'ai une idée, vu que tu te promènes sans culotte, on va commencer par te raser ! Qu'est ce que t'en pense Marc ?
- Excellent, je n'aime pas les chattes poilues !
- Non… Svp
- Ce n?est pas à toi que je posais la question ! Tout le monde est d?accord, A LA SALLE DE BAIN ! Et toi tu arrêtes de te cacher, tu mets les bras le long de ton corps. Marc tu prends la vidéo, faut pas louper ça!
- Ok !
- Quoi la vidéo ? Non !
En me retournant, je me rends compte que cette catin avait tout prévu, elle pense vite bon dieu. Elle vient de filmer tout ça avec la caméra de papa ! C'est l'apocalypse !!! Cette fois je suis male. Je ne peux que suivre pour le moment. Marc est derrière, il doit filmer mes fesses, puis je l'entends se rapprocher, il passe à notre hauteur, me touche les fesses et nous double pour me filmer de face ! Ce contact m'a fait sursauter. Je crois bien que je suis de plus en plus excitée, ces deux là me dégoûtent profondément mais je ne peux pas contrôler cette sensation nouvelle qui met le feu en moi. C'est la première fois que ça m'arrive, je ne sais pas quoi faire ! On arrive, il film toujours. Ma soeur me fait signe de m'asseoir dans le bidet pendant qu'elle fouille dans les affaires de toilette de mon père. Et revient avec des ciseaux, et elle commence ma nouvelle coupe, alors que l'autre est à moins de 50cm en train de filmer mon intimité. Cette situation est surréaliste et l'excitation est de plus en plus forte.
- Tu vois Marc, regarde comme son clito gonfle, on dirait que sous ses faux airs, cette situation lui plaise plus qu'elle ne veuille bien le dire.
- C'est vrai qu'on commence à bien le voir, et on dirait qu'elle commence à mouiller non ?
- Attends…
Et ma soeur écarte mes lèvres en passant l'extrémité de son doigt, elles se décollent toutes seules, je suis en effet mouillée. Leur commentaire à voie haute, la caméra, les ciseaux, je ne veux pas leur montrer mais je suis en émoi ! Malheureusement, mon corps parle pour moi !
- Oui, elle mouille un peu ! C'est mieux avec les lèvres entrouvertes pour le film ! Bon, c'est assez court, on peut passer le rasoir maintenant !
Et je n'ai pas le temps de dire ouf qu?elle passe déjà de la mousse partout, et elle me rase, devant cet inconnu, puis elle rince et passe une crème adoucissante.
- Regarde moi le bel abricot qu'elle a !
- J'ai envie de le manger !!!!
- Je ne crois pas qu'elle soit contre…
En disant ça, ma soeur se recule et passe derrière le bidet, elle a pris la caméra à Marc en passant et celui-ci à maintenant la tête entre mes jambes. Je serre tant que je peux mais il pousse avec ses mains sur mes genoux pour écarter et je sens déjà son souffle sur mon minou. Ma soeur a la caméra dans une main et caresse les seins avec l'autre. Marc pousse trop fort, mes jambes me lâchent. Et là où aucun homme n'avait posé le regard avant, la où j'avais toujours refusé de mettre mes doigts, il y avait une langue… Qu'est ce que c'est bon, le plaisir me vient de partout, Marc se concentre sur mon clitoris, il le lèche délicatement, l'aspire puis le lèche frénétiquement. Ma soeur me caresse les seins, elle s'occupe de mes tétons, j'oublie tout, je crois même que je les incite, que j?en demande ! Il a maintenant un doigt en moi, il me lèche encore, c'est divin.
- Elle en veut la cochonne, c'est bien ma soeur finalement!
- Je crois que je sens son hymen !
- Dis lui qu'il va mourir… AH AH AH
- AH AH AH
Il me traite comme un objet et ça décuple mes sensations, quelle honte mais quel plaisir ! Je n'aurais jamais soupçonné que mon corps puisse me faire tant de bien. Si bien qu'à la place de m'affoler du programme qu'il me réserve, je m'impatiente ! Puis les caresses de Marc cessent et j'ouvre les yeux pour le voir se déshabiller. Je découvre mon premier sexe, bien tendu, ce que je trouvais il y a 5 heures encore répugnant me déchaîne maintenant !
- Comme c'est la soirée des premières, autant en profiter pour qu'elle me tire une petite pipe !
- Non, ça, ça sera pour une prochaine fois ! T'inquiètes pas, tu l'auras… Baise là maintenant, et essaye de faire ça bien, qu'elle y prenne goût !
- Pas de problème !
Il me prend par les hanche et m'installe au bord du bidet, il est grand et son sexe est juste à hauteur, il avance lentement mais d'une traite. ça fait d'abord mal, ensuite malgré la gêne, une onde de plaisir monte en moi, je déconnecte complètement, je tremble je… Quand je reprends un peu mes esprits il est en train de me pilonner, toujours dans cette position. Son visage se crispe, il interroge ma soeur du regard :
- Tu peux y aller, ma mère nous oblige à prendre la pilule et t'as fait du bon boulot !
A peine terminait elle sa phrase que je sentis un liquide chaud au fond de moi. Il se relève, prend ses vêtements et me jette la clé de ma chambre. Ils s'en vont sans même me regarder. Je suis honteuse mais heureuse. Ma soeur me lance sans se retourner :
- On a le film, c'était juste le début, t'as pas fini de déguster !
C'est ce qu'elle croit, elle me le payera de toute façon, un jour l'autre !!!



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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