Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 00:53

Khadija est une fille vraiment bandante… A chaque fois que je la vois, ma queue se dresse sauvagement dans mon pantalon. C'est une belle beurette aux formes plus qu'attirantes, avec de longs cheveux noirs encadrant un visage d'ange. Son sourire suffit à damner un saint et ses grands yeux clairs vous traversent le coeur d'une flèche de désir…
Nous travaillons tous les deux comme surveillants dans un lycée. Khadija a vingt-et-un ans, soit trois de moins que moi. Et jusqu'à hier, je n'imaginais pas un seul instant m'envoyer réellement en l'air avec elle !

Hier matin, donc, alors que les élèves venaient d'entrer en classe et que finissions tous deux le tour des couloirs du lycée pour vérifier que personne n'y traînait, je constate que Khadija est congelée… L'hiver touche à sa fin et je sais comme elle peut être frileuse, alors sans hésiter, en vrai gentleman, je retire ma veste et la lui pose sur les épaules. Surprise, elle se retourne vers moi en arborant son fameux sourire et me glisse un voluptueux ' Merci ! ' à l'oreille. Je saisis l'occasion pour balancer une connerie :
- Je peux allumer un feu si tu veux… Quoique, j'ai oublié mes allumettes ! Mais je peux au moins te frictionner le dos
Et elle accepte ! Nous nous arrêtons au milieu du couloir et je me met à lui frotter énergiquement le dos…
… Et j'ai une putain de gaule en lui faisant ça ! J'essaye tant que mal de contenir mon organe et de penser à autre chose (je suis un obsédé timide). Tandis que je la réchauffe, elle me susurre un :
-Mmh, c'est bon…
- Il y a d'autres manières plus agréables de se réchauffer…
C'est sorti tout seul… Je m'en veux presque d'avoir lâché cette phrase et j'attends sa cinglante répartie… Mais rien ne fuse.
- Ah oui, de quel genre ?
Je ne vais pas me dégonfler maintenant… Tentons le tout pour le tout. Je glisse mes mains sous ses bras et les remonte lentement vers ses seins généreux. Elle se laisse faire. Je remonte encore et sens ses tétons durs sous le pull… Elle penche sa tête en arrière et me présente son cou. J'y pose des lèvres tremblantes et l'embrasse délicatement. Elle prend mes mains et les presse fort contre ses seins, et d'une voix à peine audible me dit :
- J'ai envie de toi…
O.K, les dés sont jetés. Je la pousse doucement vers la porte la plus proche et l'ouvre. Une fois dans la pièce, je referme à clé derrière nous. C'est une salle de classe ordinaire. Khadija se tourne face à moi et s'appuie contre la table la plus proche en me jetant un regard espiègle. Je la rejoins et l'embrasse goulûment. Nos langues se rencontrent et s'emmêlent entre nos lèvres excitées. Elle pose une main sur mon entrejambe et tâte la bête… Je cherche la ceinture de ma belle, l'ouvre, et déboutonne son pantalon. Elle m'aide à l'enlever. Dessous, elle porte une petite culotte blanche adorable que je m'empresse de lui retirer. Sa chatte est accueillante, surmontée d'une petite touffe soyeuse. Khadija mouille déjà. Je passe un doigt, puis deux, sur le clitoris et je la sens se raidir de plaisir…
Elle écarte les jambes et guide mes doigts un peu plus bas, vers son trou de balle, en me murmurant :
- Par ici…
Je crois rêver ! C'est la première fois qu'une fille me demande de la sodomiser ! D'habitude elles sont plutôt réticentes mais Khadija semble être une vraie salope ! Je ne vais pas me priver…
Alors que nos bouches continuent à jouer, je passe un doigt autour de son anus avant de l'y enfoncer lentement. Je le ressors et recommence mon manège plusieurs fois, de plus en plus profondément, pour bien dilater l'anus. Khadija gémit de plaisir. Elle se caresse le sexe et porte ses doigts mouillés à ma langue que je lèche avidement. Je lui enfonce un deuxième doigt dans le cul, puis un troisième. Son orifice est suffisamment dilaté pour que j'y enfonce ma machine à jouir… Khadija se retourne et pose ses coudes sur la table, m'offrant une splendide vision de sa sexualité… Je m'accroupis et passe ma langue autour de son anus, tout en promenant quelques doigts dans sa chatte. Elle jouit en me suppliant de l'enculer…
Je me relève et libère mon sexe en érection ; je pose le gland sur le cul de ma cochonne et appuis lentement pour enfoncer ma queue. Khadija frémit de plaisir. Je continue ma sodomie et lui remplis bientôt entièrement l'anus de mon sexe.
Je commence mes va-et-vient, Khadija pousse un long gémissement de jouissance. Je suis aux anges, ma bite glisse facilement, gonflée à bloc. Je lime de plus en vite, Khadija jouit en continu tout en se masturbant énergiquement la chatte ; elle pousse enfin un délicieux ' jouissement ' d'orgasme. Le plaisir monte en moi. Je demande à Khadija si je peux me lâcher dans sa bouche, elle acquiesce.
Après un ramonage intensif, je me retire, à son grand dam… Elle en veut encore ! Mais avant, elle se met face à moi, s'accroupit, prend ma queue d'une main et l'approche de sa bouche. Tout en me branlant, elle donne quelques coups de langue. Le sperme jaillit brusquement, elle l'accueille dans sa bouche et l'avale sans cesser sa masturbation. Je gémis à cet orgasme divin… Khadija me lèche la bite pour ne pas en perdre une goutte. En plus d'aimer les sodomies, elle aime les fellations juteuses ! Décidément, c'est une fille de ressources !
Elle se relève et se retourne à nouveau. D'une main, elle guide ma bite jusqu'à son anus… Pour la seconde fois, je l'encule, avec un peu moins de vivacité mais autant de plaisir. Mon sexe glisse sans problème, je la ramone longuement tandis qu'elle se caresse la moule. Elle a rapidement un second orgasme. Je me retire enfin, mon sexe et son trou de balle sont en feu. Mais quel délice !
Un dernier baiser et nous nous rhabillons bien vite sans échanger un seul mot. Khadija n'a évidemment plus froid. En descendant les escaliers pour rejoindre la vie scolaire, elle me chuchote à l'oreille :
- Le reste la prochaine fois…
Je suis impatient d'y être !



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 00:21

Je désire partager une expérience vécue en 1980 et qui restera à jamais gravée dans ma mémoire tellement elle fut exquise. J'avais alors 16 ans, et me découvrais un côté légèrement 'dominatrice' que je décidai d'expérimenter avec le gars qui dans mon entourage m'attirait le plus à l'époque.


L'une de mes copines les plus proches était Nathalie. étudiante, elle partageait son appartement avec son cousin Jean, qui était apprenti-mécanicien. Nous vivions à Vaudreuil, à l'ouest de Montréal. Âgé de 18 ans seulement, Jean était un super beau mec déjà très viril pour son âge. Ses cheveux bruns et abondants lui donnaient un séduisant air de rocker, avec un début de moustache, les yeux noirs et perçants, le corps ferme comme celui d'un nageur, en plus d'avoir un caractère de doux et gentil macho, Jean avait tout pour faire craquer n'importe quelle fille.


À chaque fois que je visitais Nathalie et que Jean était là, il était évident que je ne lui déplaisais pas du tout, et quand nos regards se croisaient, nous sentions une aimantation mutuelle. Mais durant une longue période, Jean se contentait de me fixer du regard tout en esquissant un sourire narquois et, plus intimidée que gênée, je n'osais trop aller de l'avant, me disant que c'est à lui de prendre l'initiative. Bien sûr, ce petit jeu du regard me fit visiter de plus en plus souvent leur appartement, afin de voir Jean le plus souvent possible.


Un soir, vers 8 heures, je décide de visiter Nathalie. Je donne un coup de fil, et c'est Jean qui répond. Il me dit que Nathalie est retenue plus longtemps que prévu au restaurant où elle travaille, qu'elle ne rentrera pas avant 10 heures, mais il me dit aussi que je peux arriver avant son retour pour l'attendre si je veux bien. Sautant sur cette occasion de passer un peu de temps seule avec lui, j'accepte et me dépêche de me rendre là-bas.


Me voici arrivée. Je sonne. Jean ouvre la porte et ce que je vois me laisse toute surprise et interloquée: Jean est vêtu seulement de son petit caleçon. Je reste paralysée quelques secondes, ce que Jean semble apprécier puisqu'il affiche un léger air provocateur tout en esquissant un sourire en coin. Puis je me ressaisis et tente de faire mine de rien, sans exprimer la moindre remarque. Il me fait entrer et je m'asseois sur un divan. Jean me dit qu'il se préparait à prendre une douche juste avant mon arrivée. Mais au lieu d'aller aussitôt sous la douche où de revêtir une robe de chambre, il m'offre une limonade et discute avec moi comme si de rien n'était.


Je sens que je rougis en le voyant ainsi dévêtu, et malgré mes efforts, je ne peux m'empêcher de regarder son corps. Jean semble bien s'apercevoir de mon malaise, et paraît même y prendre plaisir. Il me semble plus beau que jamais en caleçon. Son slip, du modèle taille basse, est très sexy et se moule parfaitement à son sexe et ses fesses. Et sa couleur bleu ciel, avec des contours blancs à la taille et aux cuisses, fait un contraste attrayant avec sa peau légèrement bronzée. De plus, le fait que Jean semble tout à fait à l'aise d'être en petite tenue devant moi, comme si c'était la chose la plus normale du monde, le rend encore plus irrésistible à mes yeux.


Au bout d'un peu plus d'une heure, Jean se décide à passer sous la douche. J'entends le bruit de l'eau qui coule, tout en réfléchissant à ce qui vient de se dérouler. Je suis pénétrée d'un sentiment trouble à l'idée que Jean semblait s'être délibérément déshabillé juste avant mon arrivée, mais je ne veux pas oser lui demander s'il l'a fait exprès, d'autant plus que notre conversation s'est avérée des plus banales, malgré ses regards amusés et légèrement provocateurs qui semblaient scruter mes réactions en le voyant vêtu dans cette petite tenue intime. Il s'est mis en robe de chambre en sortant de la douche, et Nathalie est arrivée un peu plus tard. Je n'ai pas parlé à Nathalie de ce qui venait de se produire, trop intimidée et gênée, mais aussi voulant en garder le secret entre Jean et moi. Vers minuit, je suis retournée chez moi, plongée dans mes pensées et repassant dans ma tête les images de Jean en petit caleçon, goûtant la douce sensation que cela me procurait.


À partir de ce jour, un changement important s'opéra. À chaque fois que je me rendais à leur appartement et que Jean y était, il s'arrangeait toujours pour déambuler à un moment ou à un autre en caleçon devant moi, et ce même quand Nathalie était là. Je me dis que Jean pourrait bien avoir un côté exhibitionniste, mais je n'osais introduire le sujet avec Nathalie, et encore moins avec lui, car je ne voulais pas que cela cesse. Mais à chaque fois qu'il surgissait en caleçon, Jean me fixait toujours du même air provocateur et en esquissant le même sourire narquois. Il était évident qu'il devinait l'effet qu'il provoquait en moi, et je me convainquis avec le temps qu'il le faisait exprès. Mais durant longtemps je n'évoquai pas le sujet, préférant faire durer ce jeu implicite entre Jean et moi. Et l'effet sur moi ne fit que s'accroître, tellement j'aimais voir Jean en caleçon. Je remarquai qu'il portait toujours le même modèle de slip, dont la couleur variait selon les jours et, peu à peu, je me mis même à me demander de
quelle couleur serait le caleçon de Jean lorsque je me rendais à leur appartement pour les visiter. Ses caleçons étaient le plus souvent bleu ciel comme la première fois où je le vis, et parfois mauve ou vert, mais toujours avec les mêmes bandes blanches à la taille et aux cuisses.


Ce petit jeu dura environ deux mois, sans que jamais la question soit soulevée. Pour Nathalie, le fait que Jean soit en caleçon ne semblait guère l'importuner. Alors un jour, je me risquai et demandai à Nathalie pourquoi selon elle Jean était si souvent en caleçon en ma présence. Nathalie fut d'abord amusée de ma question, puis elle me dit: 'Ah, y a rien là. Je suis tellement habituée de le voir en caleçon. Depuis qu'on est petits ça ne l'a jamais gêné. Il n'est pas timide du tout, et j'imagine qu'il se sent à l'aise comme ça.' Devant cette réponse, je tentai de passer à autre chose pour ne laisser rien paraître de mes sentiments réels à Nathalie.


Puis, à force de me sentir attirée par Jean, dont, malgré son silence, je suis devenue certaine qu'il recherchait cet effet sur moi, je me suis mise à imaginer un scénario érotique où je pourrais combiner certains fantasmes avec son habitude de se montrer en caleçon. Je voulais posséder Jean, le soumettre tout entier à mes désirs et caprices, et je me suis mise à échafauder un plan que j'exécuterais dès que l'occasion se présentera.

Je décidai d'organiser chez moi un 'party de filles', et j'invitai 7 de mes meilleures copines, en leur promettant une surprise à la fois amusante et agréable. Bien sûr, Nathalie fut invitée. Puis je téléphonai à Jean. Je pris tout mon courage à deux mains, et lui dis: '?coutes, Jean. Je ne vais pas passer par quatre chemins. Je te veux. Viens chez moi vendredi soir. On va tripper ensemble et je te promets que tu le regretteras pas.' Jean garda le silence quelques secondes, qui me parurent interminables. Puis, en riant, il me dit: 'Hum… C'est intéressant… Mais t'as pas l'air de me laisser grand choix. C'est un ordre?' Je lui répondis sèchement: 'Oui!
Présentes-toi chez moi vendredi à 8 heures pile. Et ne soit pas en retard! Bye!', puis je raccrochai sans même lui laisser le temps de dire quoi que ce soit.


Nous voici enfin au vendredi soir. Mes sept copines doivent arriver vers 9 heures, sans que Jean, qui doit arriver une heure plus tôt, n'en sache quoi que ce soit, car j'ai pris soin de demander à Nathalie de ne rien lui en dire, même si elle ignorait que son cher cousin serait au programme de la soirée. Je me prépare fébrilement.


Peu avant 8 heures, j'entends frapper à ma porte. Je me précipite pour ouvrir. Jean est là, souriant, vêtu d'un jean bleu et d'une chemise noire. Il est séduisant ainsi vêtu, et je peux aussi sentir l'odeur agréable de l'eau de cologne qu'il prit soin de passer à son cou. Il tient dans sa main un joli bouquet de fleurs, et une bouteille de vin, qu'il m'offre gentiment. Je le fais entrer et referme la porte.


Tandis que j'ai encore les fleurs et le vin dans mes mains, il me saisit doucement la taille et, sans mot dire, il m'embrasse avec tendresse. Ce baiser me fit fondre et presque perdre de vue mon plan que je devais pourtant exécuter sans tarder. Je savourai ce baiser intense puis, sans crier gare, je me ressaissis. Je me défis de l'emprise de Jean, le laissant quelque peu décontenancé, je déposai les fleurs et le vin par terre.


Toujours près de la porte, Jean me fait un regard perplexe et me demande pourquoi j'ai cessé de l'embrasser. Pour toute réponse, je sors un bandeau en tissu noir qui était dans la poche arrière de mon pantalon. Je prends Jean par une main pour l'entraîner quelques pas en avant. Puis je lui bande les yeux. Jean murmure un 'Hummm…Excitant…'. Après lui avoir bandé les yeux, je me replace face à lui et lui dit: 'C'est bien comme ça… Maintenant, enlèves tout ce que tu portes sauf tes petites culottes.' Jean esquisse un sourire et dit: 'Ah, tiens, tiens… Pas surprenant, j'étais sûr que t'aimais me voir en petit caleçon…' Je n'ose répondre à cette
remarque, me disant que c'est bien que ses yeux bandés empêchent Jean de voir ma réaction gênée… Alors Jean se déshabille, mais sans se presser, comme pour m'attiser. Il défait un à un les boutons de sa chemise, puis la retire. Torse su, il est déjà si attirant… Puis il se penche pour retirer ses espadrilles, pour ensuite se redresser, dénouer sa ceinture, baisser lentement la fermeture-éclair de ses jeans, prendre ceux-ci par la taille et les baisser lentement, dévoilant son superbe petit caleçon bleu ciel à contours blancs à la taille et aux cuisses. Puis il enlève ses chaussettes blanches.


De regarder Jean se déshabiller à ma demande a été un plaisir inouï. Il est maintenant, enfin, en caleçon, ce qui lui donne une allure si sexy et virile. Il sourit encore, les bras de chaque côté de son corps et l'air satisfait de savoir son beau corps ainsi dévoilé et, les yeux toujours bandés, s'attendant probablement à ce que je le guide sans tarder vers ma chambre. Mais je ne lui laisse guère le temps de trop réfléchir, et lui demande sèchement de se retourner. Son sourire étant maintenant plus narquois que jamais, il se retourne, puis je lui dit: 'Mets tes mains derrière le dos'. Tout en s'éxécutant, Jean me dit: 'Ah, bon… Mademoiselle veut m'attacher… T'es pas mal plus hot que je m'y attendais…' Je place ses poignets en les croisant l'un sur l'autre au bas de son dos, puis je lui dit de ne pas bouger. Avec une corde en nylon que j'avais soigneusement choisie la veille à la quincaillerie, j'entreprends de lui lier les mains. Tandis que j'enroule la corde autour de ses poignets et qu'elle se resserre graduellement, je jette de temps à autre un coup d'oeil vers le miroir qui est face à Jean, et je remarque son sourire amusé et quelque peu défiant. Je découvre aussi combien j'aime cet exercice de lui attacher les mains. Je sens que Jean se livre à ma merci, bien docilement, et cette sensation me paraît des plus intense et agréable.


Ayant terminé de lui lier les mains, je me replace devant lui et le contemple. Il me paraît magnifique ainsi dévêtu, les yeux bandés et les mains attachées derrière le dos. Jean me dit: 'Bon, tu peux faire de moi ce que tu veux maintenant…', et il semble ravi de se retrouver ainsi comme mon prisonnier. Je lui réponds que oui, je veux bien faire de lui ce que je veux, et pour commencer, ce ne sera pas nécessairement ce à quoi il s'attend. Je lui saisis les épaules par derrière et l'entraîne vers le salon, où je le fais asseoir sur le divan. Puis, avec une autre corde, je lui lie les chevilles ensemble, l'une contre l'autre.


Jean est maintenant prêt pour la suite. C'est alors, une fois bien qu'il est bien ligoté et incapable de se libérer, que je lui annonce qu'on aura tout à l'heure de la visite. Jean, surpris et se montrant même nerveux, s'exclame: 'Mais voyons donc, c'est une joke, tu me laisseras pas comme ça, j'espère!'. Je lui réponds: 'Mais oui, mon beau…' 'C'est qui qui s'en vient?', demande Jean. Je lui annonce alors que 7 bonnes copines à moi viennent pour un party de filles, et que lui fera une excellente décoration. Jean, irrité, me dit: 'Es-tu folle? Détaches-moi!' Je lui demande pourquoi il veut être détaché, et il répond: 'Ben, c'est pas évident d'être juste en caleçon devant plusieurs filles…' Je lui dis: 'Ah, tiens tiens, t'aimais pas ça être en petit caleçon devant moi dans ton appartement?' Jean réponds que c'est pas pareil, que c'est seulement moi qu'il voulait exciter, et que ça ne lui tente pas maintenant d'être l'attraction de la soirée pour des filles qu'il ne connaît même pas.


Je le rassure sur un ton taquin: 'Mais non, mon beau Jean, tu es très beau en petites culottes, et mes copines vont bien aimer. D'ailleurs, il y en a 2 que tu connais bien…' Il me demande: 'C'est qui ces deux-là?'. Je lui dis: 'Eh bien, ta cousine, et aussi Annick, la secrétaire du garage où tu travailles…' Jean éclate alors de rire. Il me dit qu'elles vont le trouver ridicule ainsi ligoté et en caleçon. Puis, voyant bien qu'il est piégé, il décide de faire contre mauvaise forture bon coeur et retrouve son sourire et son air amusé. Peu après, Nathalie et Annick arrivent, avec Geneviève. En voyant son cousin ainsi dévêtu et ligoté, Nathalie éclate de rire, ainsi qu'Annick, la collègue de travail de Jean. Elles lui disent qu'il est adorable comme cela. Geneviève, qui voyait Jean pour la première fois, pousse un 'Wow, il est cute le beau petit mec!' T'es pas mal chanceuse ma chère Sonya!' Peu après, les 4 autres copines arrivent. Elles aussi sont ravies de voir ce beau mec en petite tenue et ligoté dans mon salon. Je leur annonce, devant Jean, qu'il est mon prisonnier d'amour pour la nuit, mais que je tenais à leur montrer ma prise en organisant cette petite soirée.


J'enlève à Jean son bandeau, et en voyant les filles, il ne peut s'empêcher d'afficher un air embarrassé, pour ensuite retrouver son fameux sourire narquois.

Les filles passent ainsi quelques heures au salon, s'amusant fort de la situation de Jean. Elles lui disent qu'il est vraiment beau en caleçon, et qu'elles m'envient de l'avoir ainsi à ma merci. Nathalie, quant à elle, me confie qu'elle devinait bien que je n'étais pas insensible à Jean, et elle raconta aux autres comment Jean se mettait en caleçon à chacune de mes visites et que, même si elle et moi n'en avions jamais parlé, elle devinait que cela m'excitait pas mal. On a pris quelques verres, et on a même aidé Jean à boire une bière. Puis, vers minuit, les filles sont parties, me laissant seule avec mon beau prisonnier, mais non sans que Nathalie, avec un sourire complice, me dise: 'Surtout, prends bien soin de lui…'.


J'ai alors détaché provisoirement les chevilles de Jean, puis l'ai emmené à ma chambre, où je l'ai fait s'allonger au lit, sur le dos, puis je lui ai lié de nouveau les chevilles l'une contre l'autre.

Jean est maintenant tout à moi. Je contemple son corps prisonnier, et son torse, à cause de ses bras tendus derrière lui, fait en sorte que se dégage de lui une allure délicieusement virile, mais une virilité soumise. Jean me regarde intensément. Devant lui, lentement, je me mets nue, mon regard restant fixé au sien. Je ressens alors une irrésistible envie de le sucer, de lui donner par ma bouche ce plaisir que tous les gars adorent follement, mais que, jusqu'ici, je n'avais pas encore expérimentée. De voir Jean dans cette posture soumise aiguisait tous mes sens. Allongé sur le lit, il était magnifique et très sexy dans son petit caleçon. Jeune, fort et beau, mais le corps livré et soumis, avec son torse ferme, viril et offert avec ses bras tendus derrière lui par les liens que je ne pouvais voir mais qui enserraient fermement ses poignets au bas de son dos, ses cuisses et ses jambes fortes, ses chevilles liées ensemble et entourées de cette corde blanche que je pouvais voir, Jean était ainsi des plus désirable et c'est ce qui fit monter en moi le désir d'honorer son membre avec ma bouche. C'était comme si je voulais le récompenser pour s'être livré à mes caprices, en acceptant si docilement de se dévêtir et de se laisser ligoter, tout en sachant qu'il serait complètement à ma merci et, aussi, après s'être soumis de bonnes grâces à l'humiliation qu'il venait de subir devant mes copines.Je m'allongeai près de Jean, dont le regard intense ne cessait de m'envelopper. Je ne lui dis rien de mon désir de le sucer, préférant lui en laisser la surprise. Il était détendu, tout en affichant une assurance et, fidèle à sa nature fantasque, même un léger air de défi, qui faisaient un agréable contraste avec sa posture soumise. Doucement, je caressai d'abord son torse, je palpai ses épaules rondes et fermes et sa nuque solide, pour ensuite caresser à deux mains sa chevelure abondante qui lui tombait au bas du cou. Je sentais son corps comme étant pleinement mien, il était désormais mon objet, mon jouet dont je pouvais me servir à ma guise. Sublime sensation que celle-là, jusqu'alors inégalée. Mon regard fixa le sien durant quelques secondes qui parurent éternelles, puis je posai mes lèvres sur les siennes, qui d'évidence étaient avides des miennes.C'est alors que je découvris combien il est bon d'embrasser un gars ayant les mains attachées derrière le dos: je sentais alors avec délices Jean tendre son torse, son cou et sa tête vers le haut pour mieux coller ses lèvres aux miennes, tout en subissant la contrainte que lui imposaient les liens qui maintenaient ses poignets réunis au bas de son dos, de sorte que, constamment, son torse retombait d'un mouvement sec sur l'oreiller peu après chaque tentative qu'il faisait de tendre son torse vers moi. Je me sentais ainsi pleinement en contrôle de Jean et en possession de son corps ligoté, ce qui donnait à notre baiser un caractère intense et des plus sensuel. Mais cela me rendit justement des plus généreuse sensuellement, et la privation de mouvement que lui imposaient les cordes qui lui liaient les poignets et les chevilles se traduisait en moi par un élan consacré à lui donner les plus exquis plaisirs, en d'autres mots de lui procurer une jouissance digne de le faire monter au 7e ciel.
Je lui présentai ensuite à ses lèvres chacun de mes seins, qu'il put embrasser et lécher longuement avec ardeur, tout en me procurant des frissons qui avivèrent encore plus mes sens pourtant déjà bien éveillés. Ce faisant, je le taquinai en éloignant de temps à autre de sa bouche le sein sur lequel ses lèvres et sa langue s'activaient, et là encore son torse se tendait vers le haut pour ensuite retomber mollement sur l'oreiller. Puis je me mis à palper son torse, pour ensuite lécher ses oreilles et son cou.


Et, peu à peu, je commençai une longue descente à coups de petits baisers à travers son torse, et vers l'objet de ma convoitise qui, sous le petit caleçon de mon amant et esclave, laissait deviner sa forme raidie par le désir.
Mes lèvres s'activaient alors autour de son nombril, donc à quelques centimètres à peine du but, mais je décidai de rester silencieuse et de poursuivre ma descente vers le caleçon et son contenu, laissant ainsi Jean dans son espérante perplexité. Après tout, ligoté comme il l'était, il ne pouvait que se contenter d'attendre mes gestes…
Je fit alors passer mes doigts le long des contours de la taille et des cuisses de son caleçon, tout en contemplant la forme de son sexe sous le tissu bleu ciel. De toucher du tissu doux et soyeux tissu fut une sensation bien agréable. Puis, je posai mes doigts de chaque côté de ses hanches sous l'élastique de la taille du petit caleçon, j'attendis quelques secondes et, d'un geste sec, je baissai le caleçon jusqu'aux genoux de Jean. Le sexe de Jean, maintenant entièrement offert à ma vue et raide de désir, me parut si beau et, admirative, je sentis à nouveau, mais encore plus intensément, qu'il méritait ma bouche. Je le caressai d'abord délicatement et entendit
Jean pousser un premier mais faible gémissement, puis je sentis son corps se tortiller dans une première tentative de se détacher les mains, probablement parce qu'il aurait voulu saisir ma tête, mais en vain, ce qui excita mes instincts les plus sensuels. Le paradoxe dans lequel Jean se trouvait me fascina: réduit à l'impuissance par les cordes, mais en même temps avec son membre doté d'une évidente puissance face à l'imminence de recevoir les plus doux plaisirs.


Jean abandonna rapidement, du moins pour l'instant, cette première tentative présomptueuse de se détacher. JC'est à cet instant précis que je décidai que le moment était venu de goûter le fruit de ma convoitise. Gardant une main sur le membre soumis à mes bons soins, j'approchai ma bouche sur le gland et y déposai un petit et bref baiser. Après quelques légers et taquins coups de langue, je l'enfouis enfin entre mes lèvres. J'appréciai la sensation, toute nouvelle pour moi, que fit dans ma bouche le membre de chair bien ferme mais douce. Bien que novice en fellation, je découvris que j'avais tout à fait l'instinct requis et que mon apprentissage m'était d'une aisance insoupçonnée.. Attentive aux réactions de Jean, dont le corps se tortillait de nouveau pour tenter de se libérer de ses liens, et dont la respiration haletante exprimait l'intensité de la jouissance qu'il 'subissait', je devinais parfaitement comment faire. J'activai d'abord mes lèvres autour du gland, puis ma langue, puis, prenant soin de bien refermer ma bouche autour du pieu de chair, j'entrepris un mouvement de va-et-vient du haut vers le bas du membre prisonnier de mes lèvres, pour ensuite m'attarder sur le gland. J'aimais aussi, tout en maintenant son sexe bien enserré entre mes lèvres, jeter un coup d'oeil furtif vers le visage de Jean, appréciant de voir ses yeux fermés et sa bouche entrouverte.


Je fis aussi bien attention de faire durer le plaisir de Jean, en prenant de temps à autre des pauses lorsque je le sentais proche du jaillissement. Puis je reprenais l'exercice, pour m'arrêter de nouveau, et ainsi de suite. Jean, dont les gémissements s'accentuèrent et la respiration devant de plus en plus saccadée, réussit à me dire: '?a n'a jamais aussi bon… T'es la meilleure…' Je me souviens m'être alors dit en moi-même: 'Tiens, tiens, c'est pas la première fois qu'il se fait sucer…'


Peu à peu, le corps de Jean devint plus tendu, toujours à cause des liens qui le maintenaient pieds et poings liés, et plus ma bouche s'activait, plus je sentais ses chevilles et ses bras se tortiller pour se défaire de leurs liens. De mon côté, je sentis peu à peu la sueur couler de mon front sur mes joues, sous le coup de mes efforts attentifs à lui procurer le plus intense des plaisirs..


Je poursuivis la 'torture' que lui 'imposait' ma bouche refermée sur son membre. Cela dura, dura et dura encore. Puis je sentis approcher l'instant où je récolterai enfin le fruit de mes efforts. J'accentuai la succion puis, sachant que le moment était enfin arrivé, j'introduisis le gland plus au fond dans ma bouche et serrai mes lèvres encore plus autour du pieu de chair. Jean poussa un râle profond, et je sentis ma bouche s'emplir de sa semence qui jaillit à grands jets chauds et crémeux. Le goût âcre et un peu amer me surpris, mais me parût délicieux. Je pris soin de tout avaler, et léchai soigneusement le membre pour ne rien gaspiller de cette précieuse liqueur.
Tout autant épuisée que Jean, mon torse s'affalla ensuite sur sa taille. Après avori repris mon souffle, je remontai le petit caleçon de Jean, qui, la respiration toujours haletante, me dis: 'Je savais pas que ça pouvait être si de se faire sucer quand on es attaché… ?a multiplie le plaisir par 100. T'es merveilleuse…' Je serrai dans mes bras mon amant soumis, fière de ce que je venais d'accomplir. Bien sûr, j'ai ensuite laissé Jean ligoté (ce dont il ne se plaignit absolument pas), et j'ai même vérifié si ses liens étaient toujours bien solidement en place. Puis, comme il se faisait déjà très tard et que nous étions rassassiés tous les deux, nous nous sommes paisiblement endormis.

Durant la nuit, je me réveillai et, sentant à nouveau le désir monter en moi, j'embrassai Jean, qui se réveilla en gémissant doucement. Il ne tarda pas à bander. Je baissai son caleçon et, cette fois, j'enfourchai Jean en introduisant son sexe dans le mien. Je jouis alors d'une façon si intense, et Jean, bien qu'il soit encore ligoté, déploya toute la puissance de son sexe malgré les liens qui lui attachaient les mains et les pieds. Nous atteignimes ensemble l'orgasme, dans un concert de cris de jouissance.


Au matin, je me réveillai, et le réveillai de la plus douce des façons, c'est-à-dire en le suçant de nouveau. Il était encore à demi endormi au moment où son sexe, bien bandé, se trouvait dans ma bouche. Encore une fois, je fis durer le plaisir jusqu'à ce qu'il jaillisse dans ma bouche, au plus grand bonheur de Jean. Puis ensuite, je me levai, le laissant seul dans la chambre, toujours ligoté sur le lit, pour lui faire un petit déjeuner, que je lui apportai sur un plateau, et que je lui fis prendre toujours ligoté. Nous nous amusâmes fort durant ce repas, où je lui faisait manger comme à un bébé ses oeufs, son bacon et ses rôties.


Après le petit déjeuner, je le détachai. Jean me serra alors dans ses bras, m'embrassa longuement, et me remercia de lui avoir fait passer de si bons moments, et il me dit que je venais de lui donner le meilleur sexe qu'il n'a jamais eu. Je lui ai redonné ses vêtements, il s'est habillé et, en me faisant promettre de recommencer, il m'embrassa une dernière fois et retourna chez lui.


Dans l'année qui suivit, j'ai reçu Jean de la même manière, en le faisant se déshabiller en caleçon et le ligotant pour lui faire l'amour. Il adorait ces moments où il était prisonnier de mon plaisir, au bénéfice aussi du sien. Il me visitait souvent, et à chaque fois je l'obligeais à se mettre en caleçon, même quand on ne faisait pas l'amour, lui rappelant ainsi les conséquences de la provocation qu'il me faisait en se dévêtant ainsi durant mes visites chez lui et Nathalie. D'ailleurs, il devait rester en caleçon même lorsque je recevais des gens chez moi et qu'il y était, ce à quoi il se plia de bonne grâce, sachant que mes cordes lui seraient destinées dès mes visiteurs partis.


Après environ un an, Jean quitta notre ville pour aller travailler en Colombie- Britannique. Je ne l'ai jamais revu depuis, mais je sais qu'il est marié, avec 2 enfants et qu'il est heureux. Et je suis sûre que lui aussi se rappelle avec délices ces moments intenses vécus ensemble, et qu'il est nostalgique d'avoir été mon prisonnier…



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 23:07

J’ai revu régulièrement le curé de ma paroisse après cette première séance. C’était notre petit secret à tous les deux. De toute manière, j’étais majeure et consentante, je n’avais rien à me reprocher. Pendant les semaines qui ont suivi, je suis allée le voir à plusieurs reprises. A chaque fois, j’enfilais la tenue de jeune paroissienne qui le faisait tellement bander. Je me montrais assez soumise avec lui, mais, aussi bizarrement que cela puisse lui paraître, très vicieuse. J’aimais bien jouer à la petite musicienne dévergondée et, quand je laissais tomber ma guitare, c’était souvent pour me mettre à jouer du pipeau avec sa belle bite d’homme mûr.


Il appréciait ma façon de lui sucer le bout en léchant son gland. Après, il s’empressait de me fourrer son engin dans le sexe et me baisait longuement. Pour un religieux, il était étonnamment endurant. En plus, en attendant ma venue, je le soupçonnais de s’abstenir de toute éjaculation car il jutait copieusement au moment fatidique.


Après quelques semaines, j’ai décidé de lever le pied et de le voir un peu moins souvent. Je n’avais pas envie de me lier à un amant plus qu’à un autre. Même si mon type d’homme est bien défini, j’aime la diversité. Il fallait que je passe plus de temps à faire de nouvelles conquêtes, à dégotter des hommes âgés qui sauraient bien me faire jouir. J’avais encore tant de choses à découvrir, tant de fantasmes à mettre en pratique. J’ai fini par trouver mon nouveau partenaire dans la rue, un soir où je promenais mon chien.


Richard, c’était son prénom mais je ne l’ai appris que plus tard, baladait lui aussi son toutou, un braque de belle allure. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, juste assez vieux pour me plaire. Il n’était pas très élégant mais je le trouvais excitant dans sa façon de marcher. Je ne saurai pas expliquer pourquoi. Cela faisait déjà quelques jours que je n’avais pas baisé et je commençais à ressentir un besoin bien connu au fond de mon ventre. Mon sexe réclamait d’être rempli à nouveau. J’étais résignée à me branler en rentrant chez moi quand j’ai vu une belle opportunité dans ma rencontre fortuite avec Richard. Nous étions vers la fin de l’automne. Il était dix-huit heures et il faisait déjà sombre. Sous mon duffle-coat, j’étais habillée comme une salope. Je portais de hautes bottes qui montaient jusqu’au-dessus de mes genoux et un petit-short écossais qui cachait à peine mes fesses. Quand je sors, j’aime bien être parée à toute éventualité.


Ce sont nos chiens qui ont sympathisé. Richard m’a parlé et j’ai tout de suite senti que notre relation avait du potentiel. Je me suis montrée très chaleureuse. J’ai minaudé pour l’appâter. Je lui ai fait comprendre que j’étais chaude et en un rien de temps, nous nous sommes retrouvés derrière un buisson après avoir attaché nos clebs à un banc. Nous n’étions qu’à quelques mètres du chemin de graviers qui serpentait dans le square heureusement largement déserté à cette heure. Il ne faisait pas chaud et les passants qui, pour la plupart, rentraient chez eux après une journée de boulot, ne s’attardaient pas dans les allées du parc. C’est moi qui ai entraîné Richard derrière les fourrés.


Là, je me suis accroupie devant lui et j’ai ouvert la braguette de son pantalon. Vous savez maintenant comme je suis gourmande et combien j’aime sucer les bonnes queues des papys vicieux que je croise sur ma route. Celle de Richard était courte mais épaisse. Je l’ai d’abord léchée un peu avec la pointe de ma langue, pour la réchauffer et goûter le suc qui n’a pas tardé à s’en écouler. Ca m’a tout de suite donné des frissons. L’homme avait posé ses mains sur le dessus de mon crâne et attendait patiemment que je me fasse plus enveloppante encore. Je l’ai fait languir un peu, pour qu’il sente bien le désir monter dans ses couilles et dans son manche. Son gland forcissait sous l’influence bienveillante des petits coups de langue que je lui donnais. Quand je me suis aperçue qu’il était prêt, j’ai ouvert mes lèvres en grand un moment avant de les refermer sur sa tige dressée. Il me remplissait toute la bouche avec son chibre massif et large. Jamais encore je n’avais englouti un aussi gros morceau dans ma bouche. J’ai pris quelques secondes pour bien respirer et m’adapter à cette intromission buccale impressionnante. Je commençais à être très excitée car j’imaginais ce bel engin dans un autre de mes orifices et cette perspective me réjouissait d’avance. Pour tout dire, je mouillais déjà !


Richard était adossé contre un arbre et se laissait faire. Il devait être content d’avoir trouvé une jeune cochonne telle que moi pour lui pomper le dard. Pour lui, c’était inespéré. Il accompagnait les mouvements de ma bouche sur son sexe en me tenant toujours la tête. Parfois, il lançait également son bassin en avant, comme si la tension devenait trop forte dans son bas-ventre. Je bougeais peu sur sa pine. Je la gardais au chaud, baignant dans ma salive entre mes lèvres gourmandes. J’insistais surtout sur son bout que je lapais avec ma langue. Mon petit organe devenait de plus en plus agile au fil du temps et des fellations. J’avais beaucoup appris en suçant monsieur le curé. J’observais ses réactions lorsque je le léchais avec la pointe de mon muscle. Je savais maintenant combien il était agréable à mes amants de sentir ma langue sur l’extrême pointe de leur nœud, là où le trou à pisse est très sensible. Je mettais en pratique sur Richard les enseignements que j’avais tirés de mes observations et cela avait l’air de tout à fait le satisfaire.


Pour ma part, je restais un peu sur ma faim. Même si j’adore tailler des pipes, il n’en reste pas moins qu’arrive généralement un moment où je ressens le besoin de sentir qu’on s’occupe de moi. Ce n’était pas facile pour Richard dans notre situation et je ne lui en voulais pas de me négliger. Cette fellation était pour moi une sorte d’investissement. Il ne faisait pas de doute que Richard saurait me payer en retour si j’arrivais à m’attirer ses bonnes grâces. Néanmoins, il fallait que je prenne aussi ma part de plaisir. Alors je me suis branlée tout en continuant à la sucer. Je crois que ça l’a beaucoup excité car, quand il s’en est aperçu, il est subitement devenu beaucoup plus agité et son souffle s’est accéléré.


Jusque là, j’étais accroupie à même le sol. C’était une position un peu instable pour ce que je voulais faire. Je me suis donc agenouillée, non sans avoir au préalable déboutonné mon petit short. Une fois en place, sur les genoux, j’ai glissé ma main dans mon slip et je me suis masturbée. Ma jeune chatte était toute trempée, comme ma culotte d’ailleurs. Mon index est entré dans mon trou sans crier gare. Je l’ai agité quelques temps dedans, avant de le faire remonter plus haut sur ma vulve, là où ne se cachait déjà plus mon clitoris dardé. Je me suis astiqué le bouton en rythme avec les agissements de ma bouche sur le pieu bandé de Richard. Le quinquagénaire a essayé de me toucher les nichons à travers mes vêtements, mais ce n’était pas très pratique. Je me suis légèrement redressée pour lui faciliter la tâche. Alors il a pu me tripoter un peu mieux et j’ai senti ses doigts sur mes petites tétines.


Quand j’ai commencé à lui masser les testicules avec le bout de mes doigts et la paume de ma main, Richard est subitement devenu plus gros encore dans ma bouche. J’ai laissé aller mon index sous son paquet, histoire de lui caresser le périnée. Là, il est devenu très expansif. A tel point que j’ai eu un peu peur que quelqu’un nous entende depuis le chemin ou nous attendaient nos chiens. Pourtant, j’ai continué à le sucer en lui touchant les boules. Il était trop tard pour être prudente. Mon ventre réclamait d’être satisfait et je savais bien qu’il en allait de même pour le vieux cochon dont la bite chaude fourrait ma bouche. Plutôt que de me calmer, j’ai intensifié les attouchements que je lui prodiguais et j’ai accéléré la cadence de ma branlette. Je me suis mis deux doigts dans la chatte que j’ai bourrée violemment. Pour finir, c’est la jouissance de Richard qui a entraîné la mienne. Son manche s’est raidi brutalement, tandis que son gland était pris de convulsions dans ma gueule. Sous mes doigts, j’ai senti ses burnes qui se contractaient, juste avant d’expulser leur contenu directement au fond de ma gorge. Je n’ai même pas eu le temps d’éviter le jet brûlant qui a envahi ma bouche. De toute façon il valait mieux qu’elle soit pleine, sans cela j’aurai sans doute hurlé mon bonheur de jouir sans prendre garde de ne pas ameuter les passants. Entre mes cuisses, dans mon slip, ma minette était dévastée par un orgasme hors du commun. Et dire qu’avec Richard, le meilleur était à venir !



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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 22:27

Je ne me suis pas arrêtée en si bon chemin, vous vous en doutez bien. Cette première expérience dans les toilettes du salon de thé m’a au contraire confortée dans mon goût pour les vieux bonshommes un peu vicieux. J’avais pris beaucoup de plaisir à sucer la queue de l’inconnu dans les W-C. La saveur légèrement aigre de sa bite noueuse restait gravée dans ma mémoire comme les gestes salaces qu’il avait eus pour ma petite chatte. Le soir, en rentrant chez moi, je me suis touchée comme il me l’avait fait l’après-midi même, et plus encore. Je m’imaginais ses doigts un peu gras et fripés de papy cochon qui glissaient sur les abords immédiats de ma fente, qui venaient tripoter mes lèvres et s’humectaient de ma mouille abondante.


Je me souvenais de la manière si délicieuse dont il m’avait astiqué le clitoris et je regrettais juste de ne pas avoir eu le temps de le sentir plus au fond de moi avant de jouir avec lui. Tout en me branlant, je me suis promis d’être plus endurante la prochaine fois et de faire mon maximum pour me faire enfiler par la main d’un gros pervers mûr.


Mon problème du moment, c’était de trouver ma prochaine victime, si l’on peut dire ainsi. Dans les milieux que je fréquentais, les hommes de plus de cinquante ans n’étaient pas légion. Il y avait bien l’un ou l’autre prof mais je ne voulais pas mêler trop intimement ma vie au lycée à mes besoins strictement sexuels. J’étais prudente et je ne souhaitais pas passer pour une salope auprès de mes camarades. Alors, j’ai pensé au prêtre de la paroisse. Je le connaissais depuis de longues années car j’accompagnais souvent la chorale de l’église à la guitare. Il correspondait tout à fait à ce que je recherchais : un homme bien foutu et présentable, sans doute proche des soixante ans et pas insensible à mes charmes juvéniles. Ca j’en étais certaine depuis que j’avais remarqué qu’il essayait de reluquer sous ma jupe pendant que je jouais de mon instrument de prédilection, lors des répétitions. Autres avantages indéniables, j’étais sûre qu’il saurait rester discret sur notre relation et il était totalement libre de toute attache par ailleurs. J’ai profité d’un moment de répit dans mon planning hebdomadaire chargé pour aller lui rendre visite.


J’avais enfilé la tenue que je portais le dimanche, lors des offices : un chemisier bleu ciel, une jupe grise qui m’arrivait aux genoux et de longues chaussettes bleu-marine, quelque chose de très sage. En plus de ça, j’arborais deux magnifiques couettes qui me rajeunissaient encore plus. Sous mes vêtements, j’avais enfilé de la dentelle, une délicate parure de lingerie, bleue elle aussi. Avant d’enfiler mes habits, je me suis admirée, en chaussette, slip et soutien-gorge dans le miroir du placard de ma chambre. Je me trouvais vraiment craquante et j’étais persuadée que le curé ne saurait pas me résister quand il me verrait dans un tel accoutrement. Je me prenais pour le diable en personne.


Tout se passa à merveille pour moi. J’étais allée voir le prêtre avec ma guitare, sous le prétexte fallacieux de lui demander son avis concernant un morceau que je souhaitais ajouter à mon répertoire. Il était lui-même un excellent guitariste et j’en ai profité pour lui demander des conseils sur ma façon de jouer, la position de mes doigts sur les cordes. Evidemment, j’ai aussi abusé de l’occasion pour croiser mes cuisses et lui dévoiler ma culotte. C’était devenu une habitude chez moi et je savais qu’elle était l’effet de ce genre de comportement sur les hommes que j’allumais. Quand monsieur le curé se plaça derrière moi pour m’indiquer la position idéale de mes mains, je sentis son souffle court sur ma nuque. Je tirai aussitôt avantage de notre proximité physique pour toucher la boule de son sexe avec mon coude, l’air totalement innocent. Au bout d’un moment, voyant qu’il ne disait rien et qu’il ne semblait pas pressé de quitter sa place dans mon dos, j’ai intensifié mes caresses. Je lui massais la verge avec mon bras. Je la sentais qui durcissait sous l’action de mon coude. Il était temps d’agir si je ne voulais pas perdre mon précieux avantage.


J’ai lâché ma guitare et j’ai pris la main du curé pour la porter sur mes nichons. Je l’ai fourrée sous mon chemisier de paroissienne modèle. Je ne le regardais pas pendant ce temps-là. Il était toujours dans mon dos. Au début, ses doigts restèrent immobiles. C’était moi qui faisais bouger sa main sur mes seins, à travers l’étoffe du soutien-gorge. Mais bien vite, il est devenu autonome. Ses phalanges un peu rêches de sexagénaire se sont mis à tripoter la peau encore tendre de mes petits lolos. C’était presque gagné ! Il ne me restait plus qu’à lui porter l’estocade, le coup fatal qui l’empêcherait définitivement de faire machine arrière. Je me suis levée en veillant bien à garder sa main dans mon chemisier. En même temps, j’ai posé ma guitare et je lui ai collé ma main au panier. J’ai soupesé sa bite et ses couilles avant de faire glisser mes doigts dessus.

D’un geste agile que j’avais répété cent fois dans l’intimité de ma chambre, j’ai dégrafé la fermeture de ma jupe de l’autre main. Prestement, j’ai aussi ôté mon haut. Je suis apparue dans ma petite tenue, uniquement vêtue de mes sous-vêtements et de mes mi-bas. Là, je savais parfaitement l’effet que je lui faisais. Il était impossible qu’il demeure insensible à mes charmes de grande gamine vicieuse. Le contraste entre ma lingerie érotique et mes hautes chaussettes de collégienne était trop fort pour qu’il puisse demeurer sans réaction. J’ai vérifié du bout des doigts l’état de son sexe et j’ai eu la confirmation que je ne me trompais pas. Alors mon sang n’a fait qu’un tour et je lui ai ouvert son pantalon pour extraire sa bite de sa prison de tissu. Elle a jaillit aussitôt dans ma main. J’ai tout de suite tiré dessus, en faisant glisser ma paume tout le long du manche et je me suis rapidement mise à branler le prêtre qui ne disait plus un mot.


Il continuait par contre de toucher mes petits nichons de salope. Mes tétons bandaient et le vieux cochon en profitait pour tirer dessus et les faire rouler sous ses doigts. Ca me faisait mouiller. J’ai mis son autre main sur ma chatte pour qu’il le sente. Immédiatement il a commencé à me tripoter, comme je l’espérais. Il a fourré son index dans mon slip et m’a caressé la fente. Contrairement au type des toilettes, il a vite introduit son doigt dans mon trou. J’étais tellement mouillée que cela a été très facile. J’étais encore debout mais j’écartais déjà les cuisses pour qu’il me pénètre bien à fond. J’ai même levé une jambe pour poser le pied sur la chaise qui m’accueillait encore peu de temps auparavant. Le vieux curé a compris que je voulais être fourrée et il a mis un deuxième puis un troisième doigt dans mon trou de gamine vicieuse. J’ai enlevé ma culotte pour pouvoir mieux m’ouvrir encore. J’étais complètement remplie par la moitié de la main du prêtre. De mon côté, je lui astiquais toujours le manche et il commençait à devenir très gros. J’avais envie de le sucer, au moins un moment, avant qu’il ne me le mette dans la chatte. Je me suis penchée pour l’engouffrer dans ma gueule et le pomper de mon mieux. Le vieux était maintenant courbé sur mon dos et me fouillait le vagin par derrière. Il avait les yeux juste au-dessus de ma fente et du sillon de mon cul. Le pervers ne devait rien rater du mouvement de ses doigts dans mon orifice.


C’est moi qui lui ai demandé de me prendre. Je l’ai imploré d’aller me piner avec sa grosse bite, de me baiser par derrière. Je n’ai pas eu à le prier davantage. Je suis restée courbée en avant, les mains sur la table, un pied sur la chaise, le cul cambré au maximum. Il m’a d’abord caressé les jambes un peu : je suis sûre que mes chaussettes l’excitaient. Puis il est remonté vers ma vulve qu’il a élargie encore une fois avec ses gros doigts. Il les faisait tourner dedans pour me dilater. Ensuite, il a pointé son nœud baveux sur mon trou et il a poussé en douceur, sans me brusquer. J’ai eu tout le loisir de sentir le long cheminement de sa tige entre mes lèvres gorgées de désir, jusqu’à ce que son gland touche le fond de mon petit puits d’amour.


Il m’a pistonnée de plus en plus vite. Ce n’était pas la première fois qu’il baisait, loin de là. Son vœu de chasteté ne devait plus être qu’un très lointain souvenir. Il m’a fait gueuler de plaisir en me limant. Ce salaud m’astiquait le clitoris pendant qu’il me pistonnait et, de temps en temps, il me touchait les nichons. Moi-même, je me branlais les tétons en prenant sa queue dans mon ventre. J’ai beaucoup joui sous ses coups de boutoir. J’avais l’impression qu’il lâchait des quantités phénoménales de foutre dans mes entrailles.



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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 21:41

Je me regarde dans le miroir, je suis belle
26 ans, mince, sportive, sensuelle
Brune, Petits seins très fermes, cambrure et cul de rêve
Toujours soignée, tirée à quatre épingles, épilée
Femmes et hommes superbes sont passés dans mon lit.

Je suis aussi une libertine connue dans ma ville. Désirée.
Mais je suis hautaine, du haut de ma beauté
J'aime renvoyer bouler ces hommes que j'estime laids, disgracieux
Quel plaisir je prends à refuser leurs avances en club, de façon humiliante
Mais ce soir…

Ce soir le ventre me brûle, ma chatte ruisselle.
Je me suis godée, branlée, rien à faire.
Une envie ancienne étrange
Je ne contrôle plus mon corps…

Décidée. Plus fort que moi,
La trouille. Presque du dégoût.
Pourtant d'y penser
Je mouille et mon cul a faim.

Je m'enfonce dans mon canapé. Ecarte mes cuisses.
Je me plais, je suis bonne.
Ma petite chatte, toute épilée, luit de ma mouille
Combien paieraient pour simplement me caresser
Pour simplement me bouffer ma chatte.

Téléphone d'une main. Clito de l'autre.
J'appelle. J'explique qui je suis.
Inutile de me décrire. Il me connaît.
Entre ma réputation de libertine et le porno…
Je demande. Oui, c'est bondé de monde.
Non, pas encore de femmes.

Je lui explique mon souhait.
Ok, il fera comme convenu.
Mais Il est surpris.
Si je lui faisais une mauvaise blague ?
Je lui réponds qu'il verra bien.

Douche. Lavements intenses.
Tous mes orifices doivent être nickel
Propre de partout..
Je dois être disponible.
Plug anal. Jusqu'au bout

Maquillage outrancier. Une salope
Un collier en cuir. Accessoires.
Talons aiguilles très hauts,
A plateforme transparente, de chienne.
Puis un 3/4 par dessus.
C'est tout.

Dernier coup d'oeuil au miroir. Une bombe !

Voiture. Parcours. Ca se rapproche.
La trouille. Inconscience.
Besoin. Besoin Viscéral.
Mais l'estomac noué. Presque envie de vomir.
J'y suis. Une porte discrète.
Dernière chance de faire marche arrière.
Pas question. Je suis attirée.
Je le mérite après tout. Ma décadence.
Je sonne.

Je suis devant le sauna le plus glauque de ma ville
Et sa porte s'ouvre…

Le patron est surpris. Me fait rentrer.
Nous restons dans les coulisses.
Echangeons quelques mots sur la suite.
Il veut être sur de ce que je veux.
Je lui tends mon 3/4.
En sort une laisse et une enveloppe.
Je m'attache la laisse au collier. .
Tend l'enveloppe au patron.

Je passe dans la grande salle.
Ce lieu est comme je le pensais..
Ca pue le sperme et la transpiration.

C'est bondé d'hommes. De désespérés.
Une bonne quarantaine…
Deux ou trois hommes potables, et encore
Surtout des vieux, des gros, des regards vicieux,
Des moches, des frustrés.

Je suis nue devant eux. Je ne bouge pas.
Vide dans ma poitrine. Peur.
La situation me répugne.
Ils me dégoûtent presque tous.

Moment Convenu. Le patron sourit.
Demande l'attention, se racle la gorge.
il lit la lettre à voix haute. Une lettre qui explique…

Que ce soir je m'offre à eux. A eux tous.
Sans exceptions. Moches. Beaux. Vieux. Jeunes.
Gros, minces, Poilus, Rasés.
Je suis leur objet. Leur esclave.
Je ne veux que leur jouissance. La mienne je m'en fous.
Un par un, ou en groupe. Comme ils veulent.
Ma bouche, ma chatte et mon cul sont à eux ce soir.
Autant qu'ils veulent, comme ils veulent.
Leur chienne. Leur salope. Voilà ce que je suis ce soir.
Qu'ils assouvissent sur moi leurs envies. Toutes.
Qu'ils me souillent.
Je ne me plaindrai pas. Je ne parlerai pas.
Un objet ne parle pas.
Ils me prendront avec capotes,
Mais mon cul et ma bouche pourra être le réceptacle de leur sperme.
Ma langue est là pour leur plaisir
Elle léchera et sucera ce qui passera devant.

Moi qui ne leur adresserait même pas un regard en temps normal
Serai leur esclave ce soir.
Leur dévidoir…

Puis il demande à un homme de me badigeonner tout le corps d'huile
Il en profite pour me doigter. Je ne bronche pas.

Au centre de la pièce, des tapis sont posés au sol.
Je serre le bout de la laisse entre mes dents.
Me mets à quatre pattes
Et marche vers le centre du tapis.

Arrivée, je me mets de suite en levrette.
Mes longues jambes musclées et fines écartées.
Très écartées.
Cambrure au maximum. Je lâche la laisse.
Je baisse la tête. Entre ouvre ma bouche.
Croise mes bras derrière mon dos.
Puis plaque ma poitrine contre le sol.

J'attends.

Ils s'approchent. Ils ont compris.

Je suis à quatre pattes. Je suis offerte.

Des mains se posent sur moi
Jouent avec le plug planté dans mon cul.
On m'écarte les fesses.
Les insultes fusent à propos de mon orifice béant.
On me force le plug dans ma bouche.
Pendant que des doigts labourent mon cul.
Certains me font mal.
Je me tais. Je n'ai rien à dire.

Ca se branle autour de moi. Ca commente…
Ca insulte…

On tire ma laisse vers le haut.
Je suis à quatre pattes.
Des bites s'approchent. Ca sent la transpiration.
On me les enfonce dans la bouche.
je lèche. Je suis à eux.
Des doigts partout. Chatte, cul.
Les insultes fusent

Je réponds oui à tout. On gicle dans ma bouche. J'avale.
Je. leur lèche des couilles, les orteils.
Je léche tout, je suce tout.
Ca y est. On m'nencule.
On me tire la tête. On retourne une capote usée dans ma bouche.
Je tends ma langue et récolte. J'avale.
On me demande de remercier. Je le fais.

je suis leur trainée.. D'ailleurs, je suis traînée vers un canapé.
A sa demande, je lèche le cul d'un vieux. ses couilles sont énormes.
Il se branle et gicle sur son gros ventre poilu. Une énorme quantité de sperme jaunatre.
Je lèche, nettoie avec soin. Il y en a sur le matelas. Je lèche aussi.
Je suis obligée de lui dire combien j'aime son sperme. Combien je suis une chienne.

Un autre vieux me demande de lui lécher ses pieds.
Toujours en levrette, je me plaque. M'éxecute.

A ce moment, une bite énorme me transperce le cul. Il pilonne.
Pas longtemps. Il veut me jouir dedans. Bien sur
Mes trous sont pour lui.
Je me plaque, cul en l'air, écarte mes fesses, cul béant
Lui réclame de se branler dehors et de me gicler dedans
Ca coule, c'est chaud.
je le remercie.

Ils imiitent. Ils m'enculent.. Encore. Et encore
Des giclées de sperme dans mon cul.
Oui je répète ce qu'ils veulent entendre
Je suis leur sac à foutre.

On me demande d'aller vider mon cul aux toilettes.
Quand presque tout le sperme est écoulé, je ressors.

Un groupe d'homme m'attend à la sortie des WC
Ils sont sept.
Ils ont discuté entre eux, m'ont reconnue.
Il y a des mois, je les avais provoqués dans un club
Puis m'étais ensuite moqués d'eux à voix haute
Leur disant que je ne me tapais pas des lards
Ils me demandent de m'excuser, de dire que je suis une pute
Et que j'ai envie de leurs bites
J'obéis.
Ils tirent sur la laisse pour me mettre à genoux
Je dois leur demander l'autorisation de leur lécher leurs culs
Leur demander de me punir.
Je le fais…
L'un deux me claque. Pas trop fort. Je le remercie.
Puis il me tire par les cheveux.
Et me plaque la tête dans le cul de son ami.
J'étouffe. Mais lèche. Nettoie. Agite ma langue.
J'ai des hauts-le-coeur.
Mais je suis un objet. Leur objet.

Tir violent sur ma laisse. On m'ordonne de marcher à quatre pattes.
Ils vont s'occuper de moi en privé.

Parcours dans le labyrinthe des pièces.
La salle “SM”
Une banquette ronde au milieu.
Posée sur le dos. Mon cul et ma tête dépassent.
On m'attache avec des accessoires de la pièce
Jambes relevés et pliées, écartées au maximum
Bras en croix, mains immobilisées
Des doigst de partout. Des insultes. Des crachats
on me traite de salle allumeuse.
Puis on se relaie à la chaîne dans mon cul
Pendant qu'on me pilonne le cul, on vient se positionner sur ma tête
Leurs jambes écartées, je lèche leurs culs, leurs couilles, leurs bites
On me déverse des capotes pleines en me forçant la bouche ouverte

Puis l'un d'entre eux force 3 puis 4 doigts. Ils les retourne dans tous les sens
Douleur. Jouissance. Je hurle des deux.
Un homme à l'haleine pestilentielle me parle à 2 centimètres du visage.
A sa demande, je lui lèche le visage, demande de me cracher dans la bouche
J'ouvre grand ma bouche, il laisse couler un énorme filer.
Je le prends, me lèche les lèvres, le remercie.

Ils me détachent. Me font regarder l'entrée de la pièce.
Un autre groupe d'homme était entrain de mater.

Je suis à nouveau attachée, mais en levrette
Mes poignets liés le long de mes jambes.
Je perds le compte des bites qui me baisent
je me tords le cou pour récupérer leur sperme

Je suis épuisée. Toujours attachée. Un répit soudain.

La voix du patron. Il est 2 heures. Voilà 4 heures que je suis là.
Il va fermer l'établissement. Soulagement inconscient.
Raté… il fait rentrer un dernier groupe. Puis oui il va fermer.
Mais la fête continue dedans. A huis clos.

La patron s'en va. J'entends de nouveaux pas.
Je tremble. Nausées… Je ferme les yeux.

une voix de femme…
C'est donc elle ? Quelle chienne !
Tu as vu son cul comme il est ouvert ?
Chéri va me chercher sa laisse.

Elle se place derrière moi. je ne la vois même pas.
“Alors petite salope. On se la pète sur Netchangisme ? On ne me répond jamais ? Je suis trop vieillie ? Trop grosse ?”
“Tout ça pour finir offerte comme une vulgaire pute à deux balles ? Tu vas voir”

Elle se met devant moi. Me détache.
Elle n'est pas très belle. Agée.
Elle me fait me mettre à quatre genoux.
Me plaque la tête contre sa chatte poilue
Je la bouffe. Elle appuie encore. Elle m'étouffe.

Puis me traîne par les cheveux jusqu'à une alcôve.
Son mari nous rejoint. Un vieux. Puant.
Elle se couche. M'ordonne de lécher son mari.
Il bande. Elle se fait prendre par son mari.
Elle me demande pendant ce temps là de lui lécher son cul
Son mari l'encule. Il jouit dans son cul.
Elle me couche sur le dos. S'assied sur ma tête.
Et m'ordonne de nettoyer ce qui en coule.
En me traitant de tous les noms.
Je m'éxecute. Fourre ma langue dans son cul, cherche le sperme.
Son mari est parti

Par la laisse elle m'entraîne jusqu'au bar
Elle s'assoit sur l'une des chaises hautes.
Me fait rester à genoux, pour lui lécher la chatte.
Je met à genoux.
Du sperme coule de mon cul par terre. Elle le voit.

Elle m'ordonne de le lêcher. Je m'éxecute.
Elle en profite pour enfoncer son talon dans mon cul.

Des hommes regardent…
Elle se lève.
Reprend la laisse.
Elle se pose dans un canapé, une bouteille de bière à la main.
Elle me fait mettre à quatre pattes devant elle. Puis pose les pieds sur mon dos..
Elle rigole vulgairement

Elle demande à tous les hommes de s'approcher.

Elle se lève, me plaque au sol, levrette, cul offert et buste plaqué
Elle me demande si mon cul est un vide couilles
je luis dis que oui

Elle éclate de rire.Se déchausse.
Enfonce un orteil dans mon cul. Rigole.
Puis le doigte. me l'ouvre. M'oblique à me l'écarter…
Elle y verse le fond de bière
Je serre les dents. Mais je mouille.

Elle me caresse la chatte, elle s'en rend compte.
Le dit aux autres hommes.
Elle prend sa bouteille vide et me l'enfonce dans le cul
Allers retours violents, retraits soudains, puis l'enfonce à nouveau
Je suis prise de spasmes. Je jouis.
La mouille coule à flots de ma chatte.

Elle invite les hommes à m'enculer ou à me gicler leur sperme dedans
Ils s'éxécutent. Giclades. Claques. Sodomies. Mon cul me fait mal
Mais je suis leur chose

Elle trempe un doigt dans mon cul
Le ressort couvert de sperme
Me commande de venir la nettoyer
Je le fais. Elle me demande si j'aime nettoyer
Je réponds que oui
Elle prend des capotes retournées ou pleines qui traînaient par terre,
Me les retourne ou me les fait sucer

Elle rigole et m'insultant
Elle susurre quelque chose à l'oreille de son mari, rigole à nouveau
Elle se lève.
Me prend par la laisse, m'entraîne vers les douches.

Me hurle de me mettre à quatre pattes avec mon trou du cul bien pointé vers le haut
Et de bien m'ouvrir
Elle me fait crier que je suis une traînée et que je veux qu'ils se vident tous en moi

Elle se positionne sur mon cul
S'adresse aux hommes, leur expliquant
Qu'elle va leur montrer comment on traite une souillon comme moi
Elle urine sur moi, dans mon cul, sur mon visage
M'oblige à crier encore, que j'aime ça
Que j'en veux encore.

Quelques hommes s'approchent
Elle me tire par les cheuveux, me met genoux
M'ouvre la bouche
Et invite les hommes à m'uriner dedans

Quand le dernier a fini, elle me pousse par terre
Sur le sol de la douche
Et allume le jet d'eau…

Je tremble. De bien. De douleur.
Spasmes orgasmiques.
Sperme et urine s'écoulent de mes orifices

J'ai été une chienne, un garage à bittes
Et j'ai aimé ça…



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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  • 07/01/1981
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