Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 23:07

J’ai revu régulièrement le curé de ma paroisse après cette première séance. C’était notre petit secret à tous les deux. De toute manière, j’étais majeure et consentante, je n’avais rien à me reprocher. Pendant les semaines qui ont suivi, je suis allée le voir à plusieurs reprises. A chaque fois, j’enfilais la tenue de jeune paroissienne qui le faisait tellement bander. Je me montrais assez soumise avec lui, mais, aussi bizarrement que cela puisse lui paraître, très vicieuse. J’aimais bien jouer à la petite musicienne dévergondée et, quand je laissais tomber ma guitare, c’était souvent pour me mettre à jouer du pipeau avec sa belle bite d’homme mûr.


Il appréciait ma façon de lui sucer le bout en léchant son gland. Après, il s’empressait de me fourrer son engin dans le sexe et me baisait longuement. Pour un religieux, il était étonnamment endurant. En plus, en attendant ma venue, je le soupçonnais de s’abstenir de toute éjaculation car il jutait copieusement au moment fatidique.


Après quelques semaines, j’ai décidé de lever le pied et de le voir un peu moins souvent. Je n’avais pas envie de me lier à un amant plus qu’à un autre. Même si mon type d’homme est bien défini, j’aime la diversité. Il fallait que je passe plus de temps à faire de nouvelles conquêtes, à dégotter des hommes âgés qui sauraient bien me faire jouir. J’avais encore tant de choses à découvrir, tant de fantasmes à mettre en pratique. J’ai fini par trouver mon nouveau partenaire dans la rue, un soir où je promenais mon chien.


Richard, c’était son prénom mais je ne l’ai appris que plus tard, baladait lui aussi son toutou, un braque de belle allure. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, juste assez vieux pour me plaire. Il n’était pas très élégant mais je le trouvais excitant dans sa façon de marcher. Je ne saurai pas expliquer pourquoi. Cela faisait déjà quelques jours que je n’avais pas baisé et je commençais à ressentir un besoin bien connu au fond de mon ventre. Mon sexe réclamait d’être rempli à nouveau. J’étais résignée à me branler en rentrant chez moi quand j’ai vu une belle opportunité dans ma rencontre fortuite avec Richard. Nous étions vers la fin de l’automne. Il était dix-huit heures et il faisait déjà sombre. Sous mon duffle-coat, j’étais habillée comme une salope. Je portais de hautes bottes qui montaient jusqu’au-dessus de mes genoux et un petit-short écossais qui cachait à peine mes fesses. Quand je sors, j’aime bien être parée à toute éventualité.


Ce sont nos chiens qui ont sympathisé. Richard m’a parlé et j’ai tout de suite senti que notre relation avait du potentiel. Je me suis montrée très chaleureuse. J’ai minaudé pour l’appâter. Je lui ai fait comprendre que j’étais chaude et en un rien de temps, nous nous sommes retrouvés derrière un buisson après avoir attaché nos clebs à un banc. Nous n’étions qu’à quelques mètres du chemin de graviers qui serpentait dans le square heureusement largement déserté à cette heure. Il ne faisait pas chaud et les passants qui, pour la plupart, rentraient chez eux après une journée de boulot, ne s’attardaient pas dans les allées du parc. C’est moi qui ai entraîné Richard derrière les fourrés.


Là, je me suis accroupie devant lui et j’ai ouvert la braguette de son pantalon. Vous savez maintenant comme je suis gourmande et combien j’aime sucer les bonnes queues des papys vicieux que je croise sur ma route. Celle de Richard était courte mais épaisse. Je l’ai d’abord léchée un peu avec la pointe de ma langue, pour la réchauffer et goûter le suc qui n’a pas tardé à s’en écouler. Ca m’a tout de suite donné des frissons. L’homme avait posé ses mains sur le dessus de mon crâne et attendait patiemment que je me fasse plus enveloppante encore. Je l’ai fait languir un peu, pour qu’il sente bien le désir monter dans ses couilles et dans son manche. Son gland forcissait sous l’influence bienveillante des petits coups de langue que je lui donnais. Quand je me suis aperçue qu’il était prêt, j’ai ouvert mes lèvres en grand un moment avant de les refermer sur sa tige dressée. Il me remplissait toute la bouche avec son chibre massif et large. Jamais encore je n’avais englouti un aussi gros morceau dans ma bouche. J’ai pris quelques secondes pour bien respirer et m’adapter à cette intromission buccale impressionnante. Je commençais à être très excitée car j’imaginais ce bel engin dans un autre de mes orifices et cette perspective me réjouissait d’avance. Pour tout dire, je mouillais déjà !


Richard était adossé contre un arbre et se laissait faire. Il devait être content d’avoir trouvé une jeune cochonne telle que moi pour lui pomper le dard. Pour lui, c’était inespéré. Il accompagnait les mouvements de ma bouche sur son sexe en me tenant toujours la tête. Parfois, il lançait également son bassin en avant, comme si la tension devenait trop forte dans son bas-ventre. Je bougeais peu sur sa pine. Je la gardais au chaud, baignant dans ma salive entre mes lèvres gourmandes. J’insistais surtout sur son bout que je lapais avec ma langue. Mon petit organe devenait de plus en plus agile au fil du temps et des fellations. J’avais beaucoup appris en suçant monsieur le curé. J’observais ses réactions lorsque je le léchais avec la pointe de mon muscle. Je savais maintenant combien il était agréable à mes amants de sentir ma langue sur l’extrême pointe de leur nœud, là où le trou à pisse est très sensible. Je mettais en pratique sur Richard les enseignements que j’avais tirés de mes observations et cela avait l’air de tout à fait le satisfaire.


Pour ma part, je restais un peu sur ma faim. Même si j’adore tailler des pipes, il n’en reste pas moins qu’arrive généralement un moment où je ressens le besoin de sentir qu’on s’occupe de moi. Ce n’était pas facile pour Richard dans notre situation et je ne lui en voulais pas de me négliger. Cette fellation était pour moi une sorte d’investissement. Il ne faisait pas de doute que Richard saurait me payer en retour si j’arrivais à m’attirer ses bonnes grâces. Néanmoins, il fallait que je prenne aussi ma part de plaisir. Alors je me suis branlée tout en continuant à la sucer. Je crois que ça l’a beaucoup excité car, quand il s’en est aperçu, il est subitement devenu beaucoup plus agité et son souffle s’est accéléré.


Jusque là, j’étais accroupie à même le sol. C’était une position un peu instable pour ce que je voulais faire. Je me suis donc agenouillée, non sans avoir au préalable déboutonné mon petit short. Une fois en place, sur les genoux, j’ai glissé ma main dans mon slip et je me suis masturbée. Ma jeune chatte était toute trempée, comme ma culotte d’ailleurs. Mon index est entré dans mon trou sans crier gare. Je l’ai agité quelques temps dedans, avant de le faire remonter plus haut sur ma vulve, là où ne se cachait déjà plus mon clitoris dardé. Je me suis astiqué le bouton en rythme avec les agissements de ma bouche sur le pieu bandé de Richard. Le quinquagénaire a essayé de me toucher les nichons à travers mes vêtements, mais ce n’était pas très pratique. Je me suis légèrement redressée pour lui faciliter la tâche. Alors il a pu me tripoter un peu mieux et j’ai senti ses doigts sur mes petites tétines.


Quand j’ai commencé à lui masser les testicules avec le bout de mes doigts et la paume de ma main, Richard est subitement devenu plus gros encore dans ma bouche. J’ai laissé aller mon index sous son paquet, histoire de lui caresser le périnée. Là, il est devenu très expansif. A tel point que j’ai eu un peu peur que quelqu’un nous entende depuis le chemin ou nous attendaient nos chiens. Pourtant, j’ai continué à le sucer en lui touchant les boules. Il était trop tard pour être prudente. Mon ventre réclamait d’être satisfait et je savais bien qu’il en allait de même pour le vieux cochon dont la bite chaude fourrait ma bouche. Plutôt que de me calmer, j’ai intensifié les attouchements que je lui prodiguais et j’ai accéléré la cadence de ma branlette. Je me suis mis deux doigts dans la chatte que j’ai bourrée violemment. Pour finir, c’est la jouissance de Richard qui a entraîné la mienne. Son manche s’est raidi brutalement, tandis que son gland était pris de convulsions dans ma gueule. Sous mes doigts, j’ai senti ses burnes qui se contractaient, juste avant d’expulser leur contenu directement au fond de ma gorge. Je n’ai même pas eu le temps d’éviter le jet brûlant qui a envahi ma bouche. De toute façon il valait mieux qu’elle soit pleine, sans cela j’aurai sans doute hurlé mon bonheur de jouir sans prendre garde de ne pas ameuter les passants. Entre mes cuisses, dans mon slip, ma minette était dévastée par un orgasme hors du commun. Et dire qu’avec Richard, le meilleur était à venir !



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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