Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 22:27

Je ne me suis pas arrêtée en si bon chemin, vous vous en doutez bien. Cette première expérience dans les toilettes du salon de thé m’a au contraire confortée dans mon goût pour les vieux bonshommes un peu vicieux. J’avais pris beaucoup de plaisir à sucer la queue de l’inconnu dans les W-C. La saveur légèrement aigre de sa bite noueuse restait gravée dans ma mémoire comme les gestes salaces qu’il avait eus pour ma petite chatte. Le soir, en rentrant chez moi, je me suis touchée comme il me l’avait fait l’après-midi même, et plus encore. Je m’imaginais ses doigts un peu gras et fripés de papy cochon qui glissaient sur les abords immédiats de ma fente, qui venaient tripoter mes lèvres et s’humectaient de ma mouille abondante.


Je me souvenais de la manière si délicieuse dont il m’avait astiqué le clitoris et je regrettais juste de ne pas avoir eu le temps de le sentir plus au fond de moi avant de jouir avec lui. Tout en me branlant, je me suis promis d’être plus endurante la prochaine fois et de faire mon maximum pour me faire enfiler par la main d’un gros pervers mûr.


Mon problème du moment, c’était de trouver ma prochaine victime, si l’on peut dire ainsi. Dans les milieux que je fréquentais, les hommes de plus de cinquante ans n’étaient pas légion. Il y avait bien l’un ou l’autre prof mais je ne voulais pas mêler trop intimement ma vie au lycée à mes besoins strictement sexuels. J’étais prudente et je ne souhaitais pas passer pour une salope auprès de mes camarades. Alors, j’ai pensé au prêtre de la paroisse. Je le connaissais depuis de longues années car j’accompagnais souvent la chorale de l’église à la guitare. Il correspondait tout à fait à ce que je recherchais : un homme bien foutu et présentable, sans doute proche des soixante ans et pas insensible à mes charmes juvéniles. Ca j’en étais certaine depuis que j’avais remarqué qu’il essayait de reluquer sous ma jupe pendant que je jouais de mon instrument de prédilection, lors des répétitions. Autres avantages indéniables, j’étais sûre qu’il saurait rester discret sur notre relation et il était totalement libre de toute attache par ailleurs. J’ai profité d’un moment de répit dans mon planning hebdomadaire chargé pour aller lui rendre visite.


J’avais enfilé la tenue que je portais le dimanche, lors des offices : un chemisier bleu ciel, une jupe grise qui m’arrivait aux genoux et de longues chaussettes bleu-marine, quelque chose de très sage. En plus de ça, j’arborais deux magnifiques couettes qui me rajeunissaient encore plus. Sous mes vêtements, j’avais enfilé de la dentelle, une délicate parure de lingerie, bleue elle aussi. Avant d’enfiler mes habits, je me suis admirée, en chaussette, slip et soutien-gorge dans le miroir du placard de ma chambre. Je me trouvais vraiment craquante et j’étais persuadée que le curé ne saurait pas me résister quand il me verrait dans un tel accoutrement. Je me prenais pour le diable en personne.


Tout se passa à merveille pour moi. J’étais allée voir le prêtre avec ma guitare, sous le prétexte fallacieux de lui demander son avis concernant un morceau que je souhaitais ajouter à mon répertoire. Il était lui-même un excellent guitariste et j’en ai profité pour lui demander des conseils sur ma façon de jouer, la position de mes doigts sur les cordes. Evidemment, j’ai aussi abusé de l’occasion pour croiser mes cuisses et lui dévoiler ma culotte. C’était devenu une habitude chez moi et je savais qu’elle était l’effet de ce genre de comportement sur les hommes que j’allumais. Quand monsieur le curé se plaça derrière moi pour m’indiquer la position idéale de mes mains, je sentis son souffle court sur ma nuque. Je tirai aussitôt avantage de notre proximité physique pour toucher la boule de son sexe avec mon coude, l’air totalement innocent. Au bout d’un moment, voyant qu’il ne disait rien et qu’il ne semblait pas pressé de quitter sa place dans mon dos, j’ai intensifié mes caresses. Je lui massais la verge avec mon bras. Je la sentais qui durcissait sous l’action de mon coude. Il était temps d’agir si je ne voulais pas perdre mon précieux avantage.


J’ai lâché ma guitare et j’ai pris la main du curé pour la porter sur mes nichons. Je l’ai fourrée sous mon chemisier de paroissienne modèle. Je ne le regardais pas pendant ce temps-là. Il était toujours dans mon dos. Au début, ses doigts restèrent immobiles. C’était moi qui faisais bouger sa main sur mes seins, à travers l’étoffe du soutien-gorge. Mais bien vite, il est devenu autonome. Ses phalanges un peu rêches de sexagénaire se sont mis à tripoter la peau encore tendre de mes petits lolos. C’était presque gagné ! Il ne me restait plus qu’à lui porter l’estocade, le coup fatal qui l’empêcherait définitivement de faire machine arrière. Je me suis levée en veillant bien à garder sa main dans mon chemisier. En même temps, j’ai posé ma guitare et je lui ai collé ma main au panier. J’ai soupesé sa bite et ses couilles avant de faire glisser mes doigts dessus.

D’un geste agile que j’avais répété cent fois dans l’intimité de ma chambre, j’ai dégrafé la fermeture de ma jupe de l’autre main. Prestement, j’ai aussi ôté mon haut. Je suis apparue dans ma petite tenue, uniquement vêtue de mes sous-vêtements et de mes mi-bas. Là, je savais parfaitement l’effet que je lui faisais. Il était impossible qu’il demeure insensible à mes charmes de grande gamine vicieuse. Le contraste entre ma lingerie érotique et mes hautes chaussettes de collégienne était trop fort pour qu’il puisse demeurer sans réaction. J’ai vérifié du bout des doigts l’état de son sexe et j’ai eu la confirmation que je ne me trompais pas. Alors mon sang n’a fait qu’un tour et je lui ai ouvert son pantalon pour extraire sa bite de sa prison de tissu. Elle a jaillit aussitôt dans ma main. J’ai tout de suite tiré dessus, en faisant glisser ma paume tout le long du manche et je me suis rapidement mise à branler le prêtre qui ne disait plus un mot.


Il continuait par contre de toucher mes petits nichons de salope. Mes tétons bandaient et le vieux cochon en profitait pour tirer dessus et les faire rouler sous ses doigts. Ca me faisait mouiller. J’ai mis son autre main sur ma chatte pour qu’il le sente. Immédiatement il a commencé à me tripoter, comme je l’espérais. Il a fourré son index dans mon slip et m’a caressé la fente. Contrairement au type des toilettes, il a vite introduit son doigt dans mon trou. J’étais tellement mouillée que cela a été très facile. J’étais encore debout mais j’écartais déjà les cuisses pour qu’il me pénètre bien à fond. J’ai même levé une jambe pour poser le pied sur la chaise qui m’accueillait encore peu de temps auparavant. Le vieux curé a compris que je voulais être fourrée et il a mis un deuxième puis un troisième doigt dans mon trou de gamine vicieuse. J’ai enlevé ma culotte pour pouvoir mieux m’ouvrir encore. J’étais complètement remplie par la moitié de la main du prêtre. De mon côté, je lui astiquais toujours le manche et il commençait à devenir très gros. J’avais envie de le sucer, au moins un moment, avant qu’il ne me le mette dans la chatte. Je me suis penchée pour l’engouffrer dans ma gueule et le pomper de mon mieux. Le vieux était maintenant courbé sur mon dos et me fouillait le vagin par derrière. Il avait les yeux juste au-dessus de ma fente et du sillon de mon cul. Le pervers ne devait rien rater du mouvement de ses doigts dans mon orifice.


C’est moi qui lui ai demandé de me prendre. Je l’ai imploré d’aller me piner avec sa grosse bite, de me baiser par derrière. Je n’ai pas eu à le prier davantage. Je suis restée courbée en avant, les mains sur la table, un pied sur la chaise, le cul cambré au maximum. Il m’a d’abord caressé les jambes un peu : je suis sûre que mes chaussettes l’excitaient. Puis il est remonté vers ma vulve qu’il a élargie encore une fois avec ses gros doigts. Il les faisait tourner dedans pour me dilater. Ensuite, il a pointé son nœud baveux sur mon trou et il a poussé en douceur, sans me brusquer. J’ai eu tout le loisir de sentir le long cheminement de sa tige entre mes lèvres gorgées de désir, jusqu’à ce que son gland touche le fond de mon petit puits d’amour.


Il m’a pistonnée de plus en plus vite. Ce n’était pas la première fois qu’il baisait, loin de là. Son vœu de chasteté ne devait plus être qu’un très lointain souvenir. Il m’a fait gueuler de plaisir en me limant. Ce salaud m’astiquait le clitoris pendant qu’il me pistonnait et, de temps en temps, il me touchait les nichons. Moi-même, je me branlais les tétons en prenant sa queue dans mon ventre. J’ai beaucoup joui sous ses coups de boutoir. J’avais l’impression qu’il lâchait des quantités phénoménales de foutre dans mes entrailles.



Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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