Jeudi 13 novembre 4 13 /11 /Nov 01:26
Pense à ton bac !


« Allo ! Madame F… Je vous téléphone de la part de Mme V… C’est pour mon fils, Martin. Il vient de rater son bac. Il doit repasser l’oral en septembre Vous pourriez faire quelque chose ? Je suis désespérée. Je connais vos talents. J’ai besoin de votre aide. J’ai cru comprendre que vous ne partiez pas cet été. Vous serait il possible… ? »
« Oui, euh …, pourquoi pas. Passez me voir cet après midi, vers cinq heures, d’accord ? »

Cinq heures dix, coup de sonnette, je vais ouvrir.
La mère : 40 ans, grande belle femme, genre Sophia Lorène, pleine de fric, c’est écrit partout sur elle : bracelets en or, bagues en or serties de diamants et autres cabochons, boucles d’oreilles assorties, sac Hermes etc…fait son entrée poussant devant elle son fils.
Martin est grand, mince, l’allure sportive, la tignasse châtain foncé, les yeux noirs bordés de longs cils, le nez aquilin encadré de hautes pommettes, une bouche charnu aux lèvres délicatement ourlées que surmonte l’ombre d’une moustache encore en duvets, imberbe, musclé mais finement, l’air un peu buté des enfants contraints à accompagner leurs parents dans les musées. Il est vêtu d’un short bleu foncé et d’une chemisette à manches courtes d’un bleu plus claire. Aux pieds il chausse de fines sandales de cuir fauve.
Je n’assiste naturellement pas à l’entretien mais l’affaire est bouclée en moins d’une demi heure. Rendez-vous est pris avec le jeune Martin pour le jour suivant à cinq heures.


Quatre heures cinquante huit le lendemain.
Entre, Martin. (Joli nom pour un cancre)
F…le dirige vers son bureau et lui désigne l’endroit où il doit s’asseoir. Il prend place et ce faisant son short dévoile des cuisses longues et musclées. F…s’assied sur son siège ergonomique norvégien qui la forçant à se tenir droite fait ressortir sa poitrine et remonte sa jupe.
« Alors, Martin, pourquoi ça n’as pas marché au bac, dis moi ? »
« J’sais pas m’dame, euh. Un trou, des trous pleins la tête. J’ai pas pu me concentrer ».
Martin est un grand timide mais quand, par chance, son regard croise le votre, c’est un regard franc et direct dans un visage ouvert. Pour l’instant on peut voir sa pomme d’Adam monter et descendre, signe d’un trouble grandissant. Malgré lui, il ne peut s’empêcher de jeter de longs regards à sa nouvelle maîtresse.
« Racontes moi, je suis sur que nous allons trouver la solution, pas toi ?
Allons, allons on se détend, hein ? ». Silence… « Une histoire de filles, non ? »
« Ben, oui, enfin, non, si, si »
« Oui ou non, tu es grand, presque adulte. Il faut parler, sortir tout ce qui te semble poser un problème »
« Bon, ben oui, c’est à cause de Léna. Elle veut pas »
« Ah ! Elle ne veut pas. Elle ne veut pas quoi ? »
« Elle veut pas que j’ l’a touche. J’ peux juste l’embrasser… Et encore »
« Martin, nous allons essayer de bien nous exprimer. On dit : Elle ne veut pas que je la touche, je peux juste l’embrasser, compris ? »
« Oui, m’dame, euh, madame »
« Appelles moi F…, tu veux bien ? Tu n’as jamais eu de rapports sexuels ? »
« Ben, non, m’dame, euh, madame F…»
« F…tout court, c’est mieux »
« Oui,F… ! »
« Voila, bravo ! Bon, au travail maintenant »

F…retire son mince boléro de soie bleu et apparaît avec un haut transparent où l’on distingue nettement ses aréoles et la pointe de ses seins qui pointe dans la soie.
Le visage de Martin passe du blanc laiteux au rouge pivoine. F…fait semblant de ne pas s’en apercevoir.
La leçon se déroule normalement et Martin s’en va avec une pile d’exercices à rendre ce mercredi.

Mercredi
Il fait une chaleur torride et le ventilateur dans le bureau de F…brasse un air moite et brûlant. Les persiennes ont été tirées et la pièce est plongée dans la pénombre. Martin dégouline de sueur sous les effets conjugués de la touffeur et du stress. Ses doigts collent aux papiers.
« Martin ! Va prendre une douche, tu te sentiras mieux. Je vais te donner une serviette, tu en as pour cinq minutes. Viens, je vais te montrer où se trouve la douche ».
Martin entre dans la salle de bain et ferme la porte derrière lui.
F…sort dans le jardin et, grâce à l’effet miroir de la vitre entre ouverte de la salle de bain, peut admirer, tout à son aise et avec émotion, le corps svelte et musclé de son jeune élève. Son regard s’attarde longuement sur son sexe qu’il est entrain de laver avec une application suspect.
La leçon reprend. C’est au tour de F…de faire une pause pour la même raison : prendre une douche. Elle laisse la porte de la salle de bain entrebâillée et, après quelques minutes, appelle Martin.
« Martin, soit gentil, apporte moi une serviette sèche. Elle se trouve dans la malle qui se trouve dans le petit hall, merci ! »
Bien sur, Martin s’exécute et apporte la serviette demandée. F…ouvre la porte en grand et tend la main pour s’en saisir. Elle est donc totalement exposée aux regards de Martin vers qui elle se tourne. Elle se saisit de la serviette et referme la porte lentement.
La leçon reprend et se termine presque normalement. Décidemment Martin a du mal à se concentrer malgré les exhortations véhémentes de F…. Il repart avec de nouveaux exercices sous le bras pour vendredi, sans faute !

Vendredi

« Si tu as chaud, Martin, tu peux retirer ta chemise. D’ailleurs tu es tout en sueur. Allez, retire ta chemise, ne fait pas ton timide avec moi »
La leçon se déroule suivant les règles, ou presque. Pendant un quart d’heure, Martin, torse nu, s’acharne sur les participes passés.
De temps en temps F…redresse le buste et fait saillir sa superbe poitrine. Elle croise et décroise les jambes remontant sa jupe, déjà courte, à la limite du supportable. Pauvre Martin.
« Martin, comment écris-tu au féminin : Je suis toute mouillée, et, j’ai été toute mouillé ? »
« Mais non, mouillé ne s’écrit pas mouyé avec un y grec mais avec un I et deux L et s’accorde avec le genre du sujet : mouilléE dans le premier cas car c’est le verbe « être », et mouillé dans le deuxième cas, car il s’agit du verbe « avoir », donc… ? » Pauvre Martin…
« Maintenant nous allons essayé le verbe sucer dont le participe passé est sucé. Ex : La poire qu’elle a sucée. Comment écris tu le verbe sucer au participe passé dans ce cas ? »
Et ainsi de suite avec les verbes : lécher, mordre, caresser, jouir, bander, branler etc…mais toujours dans un contexte anodin comme : Elle avait joui de toute son affection, ou : Il avait bandé tous ses muscles. Tous ses muscles étaient bandés etc…
F…prend son air sévère. Quand la réponse n’est pas la bonne elle le corrige d’une voix un peu sèche, bref, la prof parfaite.
De temps à autres, elle se lève, passe derrière Martin, se penche sur son épaule, qu’elle frôle de ses seins, pour mieux pointer une faute et du même coup lui faire humer son parfum. Elle pose parfois la main sur sa nuque puis la retire en laissant traîner ses ongles pointus jusque sous l’omoplate On peut imaginer le frisson, l’onde de plaisir, la chaire de poule qu’il doit éprouver dans son corps moite et dans son esprit surchauffé.
« Tu veux boire quelque chose ? Un jus d’orange, peut-être ? Moi, oui. »
F…se lève, la sueur plaque son chemisier, désormais transparent, contre ses seins.
Martin, seul, se masse la bite à travers le short.
Pauvre Martin !
Retour de F…dans la chambre de tortures.
Elle pose les verres devant eux mais, faux mouvement voulu ou non, le jus d’orange de Martin se renverse et éclabousse abondamment son short.
Cri d’horreur !
« Mais tu es tout mouillé. Vite lève toi et enlève ton short on va le laver »
« Mais, c’est que, que… »
« Quoi, c’est que, que ? Enlève ton short, vite »
Pauvre Martin, après un bref moment d’hésitation, s’exécute et baisse son short pour révéler une énorme érection que contient à peine son slip.
« Mais, tu bandes, mon grand ? Et ton slip est trempé aussi. Allez, allez, enlève aussi. Non, je vais te l’enlever moi-même »
Martin est debout, tout gauche, gêné mais bandant de toutes ses forces. Il ne sait que faire.
F…se met à genoux et lentement baisse le slip mouillé et dévoile un superbe pénis turgescent, au gland décalotté rouge violet, qui oscille à la cadence de la pulsion sauvage du sang qui l’irrigue.
Du bout des doigts elle se saisit de cette verge, l’approche de sa bouche, de la langue elle en titille le méat où brille une large goutte de liquide lubrifiant et voracement l’enfourne jusqu’à la racine.
Elle pompe, une fois, deux fois et…
Un jet impétueux et abondant inonde sa bouche, son cou, ses cheveux, ses mains. D’autres jets, moins puissants, éclaboussent son corsage, ses genoux. Elle est couverte de sperme. Elle a juste le temps de sucer une fois encore ce formidable geyser avant que Martin ne s’écroule sur sa chaise.
« Regarde ce que tu m’as fait ! Non mais regarde mon corsage, ma jupe. Il faut que le les enlève maintenant »
F…, mon adorable épouse, en deux gestes rapides ôtent le haut et le bas. Naturellement elle ne porte pas de culotte.
Martin un peu hébété, les deux mains plaquées en coquille sur son membre ne dit rien mais dévore du regard le corps de F….
F…, nue, s’avance vers lui et lui plaque ses seins sur le visage. De ses mains elle lui caresse les cheveux.
« Il va falloir t’excuser maintenant, il va te falloir faire ce que je vais te dire de faire, hein, Martin ? Réponds moi, mon grand, réponds moi en me suçant les seins. Allez, suce, mon grand. Tète moi »
Martin pose ses mains sur les belles fesses de ma femme et commence à les pétrir avec ardeur. F…entrebâille les cuisses et frotte sa vulve enflammée contre le torse du jeune homme.
« Tu sais, Martin, je mouille. Tu veux voir comment je mouille ? Je vais te montrer comment mouille une femme »
F…se dégage et, à reculons, va s’asseoir sur sa chaise, ou plutôt sur le bord de la chaise, le haut du dos bien calé au dossier, les reins bien cambrés. Elle écarte largement les cuisses et, de ses doigts, ouvrent les grandes lèvres de son adorable con.
« Viens ici, mets toi à genoux entre mes cuisses, pose tes mains sur elles »
Martin ne se le fait pas dire deux fois et se jette à genoux. Obéissant le Martin mais qui pourrait le lui reprocher devant un tel festin des yeux.
Maintenant F…parle, elle enseigne.
« Là, tu vois, l’ensemble c’est ma vulve, avec ici les grandes lèvres, là, les petites lèvres, là encore, l’entrée de mon vagin où tu enfonceras ta belle bite plus tard, avec plus haut l’urètre, par où je fais pipi, et plus haut encore, mon clitoris recouvert de son petit capuchon »
De son doigt, F…désigne chaque point de sa géographie intime. Martin, dont la verge a repris un volume considérable, a les yeux qui lui sortent légèrement de la tête. Sa main droite quitte la cuisse de F…, empoigne sa bite et commence à la branler.
C’est un bon élève, Martin, il ne perd rien de la leçon.
F…, dont la voix n’est plus aussi assurée, n’en continue pas moins à faire son cours.
« Le clitoris, Martin, c’est lui qui est au centre de moi, c’est lui le maître de mon plaisir, de la jouissance de la femme. C’est lui que tu vas lécher doucement du bout de ta langue, que tu vas gentiment prendre entre tes lèvres et sucer comme un bon élève. Tu m’écoutes, Martin ? Masturbe toi, mais attention, pas d’autre accident. Allez, viens… »
F…attire lentement la tête de Martin vers sa vulve. Il commence à la lécher.
« Non pas ta langue dessus. Fais de petits cercles autour. Oui, oui c’est bien. Maintenant, met la profond dans mon vagin, suce, aspire. Remonte, aspire mon joli bouton. Là, là, plus vite »
Les doigts de mon aimée se crispent dans la chevelure de pauvre Martin. Apparemment c’est un élève attentif car F… halète et pousse de petits gémissements de plaisir. De son autre main, elle se caresse les seins, tire sur les bouts ou les excite délicatement de ses ongles.
« Encore, encore, oui comme ça, ouiiiiiiiiii, OUiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »
Les muscles des cuisses de F…se contracte, son bassin se soulève pour un meilleur contact avec cette bouche qui la fouille. La tête renversée sur le dossier de la chaise, les yeux fermés, la bouche ouverte, les narines frémissantes, mon aimée atteint enfin l’orgasme dans un long cri…
Elle garde, un long moment la tête de Martin enserrée dans l’étau de ses cuisses fuselées.
Enfin elle le libère et Martin émerge le visage luisant des sucs marins de F…. Il se met lentement debout et présente son membre palpitant à mon adorable femme. Elle se penche, fait d’abord tourner sa langue autour du gland puis mordille la verge sur toute sa longueur et enfin la prend entièrement dans sa bouche qu’elle fait aller et venir lentement. Puis F…se met debout, se retourne, pose les avant bras sur le plateau de la chaise et offre son splendide cul à la verge tendue de Martin.
« Prends moi maintenant, enfonce profond ton dard dans mon con, je veux te sentir aux tréfonds de moi. »
Elle passe une main entre ses cuisses, prend la bite de Martin et la dirige vers sa vulve où elle s’enfonce jusqu’à la garde, d’un seul coup puissant et long.
Martin saisit les hanches de F…et laboure ce con, que je chéri, avec toute l’ardeur de ses dix sept ans. Dix fois seulement, car c’en est trop pour lui, et il éjacule en poussant un grognement de félin en rut.
Il se retire. F…le nettoie une dernière fois de sa langue et d’une légère poussée le renvoie sur sa chaise ou il s’affale à bout de souffle.
« Attend moi, ne bouge pas, je vais me laver et te trouver des vêtements secs »
Martin, plus si pauvre que ça, se recroqueville sur sa chaise et attend patiemment.
F…revient en kimono avec un de mes slips et un de mes shorts, tous les deux un peu petits pour lui, mais que faire ? Il enfile l’un et l’autre, remet sa chemise et attend silencieux…
Bon, où en étions nous ? Ah, oui, les participes passés…Mais je vois que l’heure est largement dépassée. Ta mère va arriver. Nous reprendrons la leçon lundi mais Il va falloir être sérieux, Martin. Ton avenir est en jeu. Au revoir et… pense à ton bac ! »
Pauvre Martin, trois jours à attendre…


Par Monsieur XYY - Publié dans : histoires coquines
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